[CAS CLIENT] Sherco : Comment TopSolid accompagne la croissance d’une marque française au rayonnement international

[CAS CLIENT] Sherco : Comment TopSolid accompagne la croissance d’une marque française au rayonnement international

Marque de référence dans l’univers de la moto trial et enduro, Sherco connaît une très forte phase de développement ces dernières années avec une croissance à deux chiffres pour les motos qui sortent de ses ateliers. Elle réalise en interne la fabrication de ses moteurs et le montage de ses modèles.

 

Afin d’accompagner la croissance de l’activité tout en conservant la qualité et la fiabilité pour lesquelles sont connues les motos Sherco, il était devenu nécessaire d’optimiser les techniques d’usinage en s’équipant d’une solution CFAO permettant de mettre en place un programme complet, produisant des résultats suffisamment aboutis et des modélisations 3D exploitables par les fournisseurs d’outillages.

 

Le passage à la version 7 de TopSolid’Cam a permis de réduire drastiquement le temps nécessaire aux réglages et contrôles dans les phases de démarrage de lancement de nouvelles séries. La solution offre, en plus, des résultats très aboutis des fonctionnalités intéressantes comme le multifenêtrage qui a permis un bon niveau d’adoption chez les jeunes collaborateurs. Pour René Gerber, Responsable Usinage « c’est devenu pour nous un outil indispensable qui permet d’aller plus loin dans la mise en route des programmes. On ne pourrait plus se passer de TopSolid aujourd’hui ! »

FAO : Comment simuler vos projets de fabrication en amont ?

FAO : Comment simuler vos projets de fabrication en amont ?

À l’ère du numérique, les processus de production traditionnels sont bouleversés par de nouvelles pratiques. La FAO (Fabrication Assistée par Ordinateur) gagne du terrain. L’utilisation de programmes pour piloter les machines offre de nombreux avantages, tant du côté de la flexibilité que de la fiabilité. Encore faut-il anticiper les bonnes programmations pour les bons projets !

Comment tirer profit de la FAO et simuler vos projets de fabrication en amont ? Pour bien saisir les enjeux et être guidé pas à pas dans cette étape cruciale de la production, suivez notre guide !

FAO et simulation de projet : de quoi parle-t-on ?

 

Qu’est-ce que la simulation appliquée à la FAO ? Concrètement, il s’agit de simuler des trajets d’usinage, calculés en tenant compte de facteurs précis (machine, outils, montages d’usinage, pièce finie et brute). Le programmeur est chargé de réaliser ces simulations. Généralement, il est intégré à l’équipe des programmeurs mais peut aussi être rattaché au service méthode.

La simulation permet d’anticiper la production. Le coût horaire d’une machine étant élevé, l’objectif est d’économiser du temps en préparant les programmes d’usinage. Le temps consacré à la simulation de projet, c’est autant de temps épargné sur la mise au point et la préparation de la machine dans l’atelier. Ainsi, si certaines pièces ne demandent que dix minutes pour l’usinage à proprement parler, il faut parfois prévoir deux heures pour les étapes successives de préparation, vérification, contrôle et ajustement des machines.

La valeur ajoutée de la simulation en FAO se trouve donc dans la réduction du temps de monopolisation de la machine pour des activités qui ne sont pas directement productives.

 

À quoi sert la simulation de projet ?

 

Les avantages offerts par la simulation de projet sont nombreux :

  • Contrôler l’état final de la géométrie à usiner en tenant compte des cotes, des tolérances et de l’état de surface. Avez-vous usiné une pièce conforme aux attentes du client ?
  • Prendre en compte les contraintes cinématiques de la machine, c’est-à-dire limiter les courses et l’amplitude des axes de rotation. Cela évite à la machine de se retrouver dans une position hors course qui rend la réalisation du programme impossible par manque de place. Les angles sont clairement définis pour empêcher les positions impossibles à atteindre.
  • Veiller à la faisabilité de l’usinage en réglant le positionnement de la pièce avant de lancer la machine. Si vous lancez l’usinage d’une pièce complète sans vous assurer en amont que la machine dans l’atelier sera capable de supporter les paramètres de production, vous prenez le risque de devoir tout recommencer. Ce qui représente à la fois une perte de temps et d’argent.
  • Prendre en compte l’environnement de la machine, notamment le palpeur, le magasin d’outils ou encore le montage d’usinage. Cela permet non seulement de définir et concevoir les bons montages, mais aussi d’optimiser la programmation pour éviter toute collision.
  • Prendre en compte l’encombrement des outils coupants et leur capacité à ne pas collisionner, tout en s’assurant qu’ils puissent atteindre la zone à usiner. Ainsi, un outil trop court n’est pas adapté pour usiner le fond d’une poche. À l’inverse, un outil trop gros risque de collisionner avec la pièce ou le montage d’usinage. La préparation des outils avec la FAO permet d’éviter ces risques.
  • Prévisualiser les mouvements de la machine avant de lancer la production. Il y a un côté rassurant à savoir à l’avance ce qu’il va réellement se passer une fois le programme de fabrication lancé sur la machine. Cette étape préalable permet de veiller à la fluidité des mouvements dans l’atelier. Des mouvements trop rapides et soudains peuvent prendre la machine de court et laisser des marques sur la pièce.

 

Simuler ses projets de fabrication : une étape cruciale

 

Si la simulation est une étape cruciale du projet de fabrication, c’est parce qu’elle permet de contrôler la gamme d’usinage de A à Z. Concrètement, la simulation des projets de fabrication permet de :

  • Confirmer le bon usinage de la pièce, conformément aux spécificités techniques attendues ;
  • S’assurer de la bonne préparation des montages d’usinage et des outils ;
  • Veiller à l’absence de collision, en particulier les collisions machines, celles avec le produit fini ou le produit brut en cours d’usinage ou encore avec les montages d’usinage.

Grâce à la simulation en amont des projets de fabrication, la machine est capable de réaliser le programme d’usinage dans son ensemble sans risque de blocage à cause de limitations cinématiques ou mécaniques.

TopSolid’Cam et la simulation

 

En avance sur son temps, le logiciel FAO et CFAO TopSolid’Cam intègre plusieurs niveaux de fonctionnalités :

  • Un premier niveau de simulation, rapide d’accès pour s’assurer des bonnes trajectoires d’usinage. Le calcul doit tenir compte de la mise en situation dans l’atelier (machine, montage, outils, pièce brute et finie), mais aussi éviter tout risque de collision.
  • Un niveau de vérification, conçu à l’origine pour calculer l’état de surface de la pièce finie après l’usinage. Au fil du temps, cet outil s’est perfectionné. Aujourd’hui, il permet aussi de simuler la machine en mouvement. Si des collisions sont détectées, le programmeur en est aussitôt informé.
  • Un niveau de simulation du code ISO. Le code ISO (ou G-code en anglais) désigne la description du programme en langage machine dans le logiciel TopSolid’Cam. Le fichier ISO intègre l’ensemble des instructions indispensables pour mettre la machine en mouvement. Autrement dit, c’est ce programme qui sera communiqué à la machine dans l’atelier.

Concrètement, l’objectif est de simuler le fichier écrit en G-code généré par le post-processeur. Il existe un grand nombre de langages machines. L’originalité de TopSolid’Cam réside dans sa capacité à s’adapter au bon langage machine en fonction des caractéristiques techniques de l’atelier. Pour une flexibilité optimale, TopSolid’Cam propose plusieurs post-processeurs capables de traduire le programme réalisé avec le logiciel dans le bon langage machine.

Totalement indépendant du logiciel TopSolid’Cam, l’outil de simulation est 100 % impartial. Son rôle consiste à relire et simuler le code ISO tel qu’il est écrit. Avant d’exécuter le programme sur la machine, il effectue une dernière vérification pour plus de sécurité. Cet outil de vérification est désormais indispensable dans certaines entreprises, dans le cadre de leur processus de qualité et de validation de programmes.

 

 

Alors, comment simuler vos projets de fabrication en amont ? Tout simplement en passant à la FAO ! TOPSOLID SAS vous propose une solution dédiée. TopSolid’Cam permet de simuler et vérifier les caractéristiques d’usinage avant de lancer la production. Vous souhaitez en savoir plus sur la simulation de projet en FAO ? Contactez nos équipes dès aujourd’hui !

Préparation, contrôle et qualité : tout savoir sur le palpage sur machine avec TopSolid’Cam

Préparation, contrôle et qualité : tout savoir sur le palpage sur machine avec TopSolid’Cam

 

Ce n’est pas un secret, juste une logique industrielle : les fluctuations de procédé, lors de l’usinage d’une pièce, nuisent à la compétitivité et à la rentabilité. Sources d’erreurs, d’arrêts machines, de mises au rebut du fait de réglages et contrôles manuels, elles entraînent de colossales pertes de temps et de matière. Conséquence : une explosion des coûts liés à la qualité et la main d’œuvre, des retards de livraison et une traçabilité très approximative. L’utilisation d’un système de palpage, permet de comprendre ces variations de procédé et les corriger, pour parvenir à un usinage cohérent, automatisé et productif.

Maintenant, allons plus loin et imaginons une CFAO vous permettant de programmer et simuler vos cycles de palpage – préparation, contrôle, qualité, sécurité – et garantissant une fiabilité optimale … C’est le package que propose la solution CFAO TopSolid’Cam, et que nous vous proposons de découvrir …

I – Palpage sur machine : de quoi parle-t-on ?

 

Le palpeur est un outil fonctionnant le plus souvent par commutation, qui, activé au contact d’une surface de pièce, permet des activités de réglage et de contrôle lors des opérations d’usinage. Les données géométriques restituées sont précises et répétables. Cela signifie qu’elles indiquent l’erreur définie en palpant la pièce dans différentes directions, ainsi que les écarts lors du palpage d’une pièce de manière répétée, et dans une même direction.

L’objectif du palpage sur machine est d’obtenir des pièces conformes aux exigences, et d’optimiser le processus d’usinage. Le palpeur est utilisé de manière générale, pour les mesures dimensionnelles (métrologie) ou sur les machines à mesures tridimensionnelles (MMT), afin d’étalonner des pièces ou des outils. Il peut cependant profiter à l’ensemble du cycle de fabrication, tant les informations dimensionnelles et les mises à jour collectées pendant l’usinage, sont riches. On pense à l’adaptation automatique des machines outils à l’ensemble du procédé d’usinage, à la limitation des interventions humaines, à une production toujours plus précise, et à la possibilité de contrôle directement sur l’outil de production.

Un must have flagrant, semblerait-il …

 

II- Le palpage sur machine avec TopSolid’Cam : pour quoi faire ?

 

Dans l’ère du (presque) tout manuel, l’opérateur devrait lire le plan d’usinage pièce pour envoyer les coordonnées de palpage, avec tous les risques d’erreurs d’interprétation et de frappe que le procédé comporte.

Avec TopSolid’Cam, les processus de contrôle et de vérification sont réalisés en amont et en aval des opérations d’usinage. La simulation et la trajectoire du palpeur sont effectuées dans l’environnement machine, de manière simple et sécurisée, en utilisant la géométrie de la pièce pour palper.

Efficacité et fiabilité au rendez-vous !

III- Quels sont les bénéfices de cette fonctionnalité ?

 

Les bénéfices liés à l’utilisation du logiciel TopSolid’Cam lors du palpage machine, concernent la préparation et le contrôle et sont définitivement orientés « qualité ».

Illustration :

Lors de l’opération de préparation dans l’espace machine, la pièce est positionnée de manière précise, dans une zone de plus ou moins 5mm3 par rapport à la position programmée dans TopSolid’Cam. Le logiciel permet d’identifier la pièce et détecter la présence d’un brut ou d’un outillage, comme une vis ou une bride, afin d’écarter tout risque de collision.  Enfin, le dégauchissage est automatique.

Le rapport de contrôle sortie machine généré, identique à celui que produirait une machine à mesures tridimensionnelles, tient compte du défaut géométrique de celle-ci : l’outil est donc corrigé de manière dynamique. On obtient ainsi une cote sans interprétation ou erreur de lecture. Avec TopSolid’Cam, la précision est au cœur du processus de contrôle.

La qualité pour résultat : obtenir une pièce conforme dans l’état géométrique de la machine est 100% garanti !

 

IV- Un palpage plus productif avec TopSolid’Cam

 

En ayant recours à la solution TopSolid’Cam, l’opérateur évite d’éventuelles erreurs lors de la prise d’origines et de fait, les risques de crash, de collision dus à la présence d’éléments indésirables en machine, ou la mise au rebus de pièces résultant d’une correction d’outil erronée, sont supprimés.

 

Vous cessez de perdre du temps, vos coûts matière ainsi que vos frais de main-d’œuvre directs et d’assistance en atelier diminuent, vous usinez – et donc livrez – dans les délais impartis : le rendement de votre machine est meilleur et votre productivité s’améliore radicalement !

 

Conclusion

Parce qu’il combine programmation et simulation, et qu’il s’intègre parfaitement au Post Processeur, le logiciel TopSolid’Cam représente une solution unique sur le marché, pour répondre aux problématiques liées au palpage.  En renforçant l’automatisation et en minimisant l’intervention humaine lors du procédé, l’usinage est plus cohérent, qualitatif et productif.

En définitive, TopSolid’Cam dope vos capacités d’usinage, tant en termes quantitatifs que qualitatifs, vous permettant de toujours mieux répondre aux besoins et aux exigences de votre marché… Avec à la clé, la possibilité d’accepter de nouveaux contrats, de travailler sur des concepts novateurs et d’éventuellement offrir à vos équipes, des rôles techniques plus proactifs. Pensez-y ! Il y a fort à parier que vous pourriez encore y gagner !

Devis technique usinage : Panorama des différentes méthodes de réalisation des devis

Devis technique usinage : Panorama des différentes méthodes de réalisation des devis

Diverses composantes entrent dans le chiffrage d’une pièce mécanique : matière première, ressources main d’œuvre, outillage, consommation d’outil coupant, ou encore sous-traitance … lesquelles, pour être calculées, sont combinées à un facteur temps du cycle d’usinage.

L’art d’établir un devis technique complet et fiable, ne saurait cependant suivre une seule et stricte méthode. Les possibilités sont nombreuses, et pour garantir la pertinence du calcul et la qualité de la production, une bonne connaissance de son marché, additionnée d’une solide maîtrise des techniques s’imposent. Il en va de la crédibilité et de la rentabilité de la société !

Pour vous guider, voici un panorama des différentes méthodes de chiffrage, accompagné de nos conseils avisés !

 

Pourquoi la réalisation du devis technique est-elle une étape si importante ?

 

Il se trouve que « tout » en production industrielle, tient au juste calcul du prix de revient de la pièce. Un constat assez binaire mais bien réel : en effet, si un coût sous-estimé permet de remporter une affaire, la baisse de rentabilité, voire le travail à la perte sont à fortement considérer. A l’inverse, un coût surévalué, constitue un risque accru de ne pas remporter la commande.

Entre ces deux extrêmes, le contenu du devis technique est influencé par des facteurs intrinsèques ou extrinsèques à l’entreprise :

La nature de la société émettrice par exemple, est fortement déterminante :

  • Pour un fabricant, il s’agit de déterminer un coût de revient, et maîtriser sa « conception à coût objectif ».
  • Pour le donneur d’ordre, il est plutôt question de proposer un prix objectif aux sous-traitants.
  • Pour le sous-traitant, il faut fabriquer au plus vite et dans les délais.

L’enjeu lié à la nature de la commande détermine également la teneur du devis. S’agit-il de produire une pièce simple ou complexe, unitaire ou de série ? Quel est le degré stratégique du marché en question ? Par exemple, la précision du devis ne sera pas la même pour calculer le prix unitaire d’une pièce unique servant à réparer une grosse machine, ou d’une vis produite en 300 000 exemplaires. Il est donc important de bien remettre l’enjeu de la commande à sa juste place !

La maturité du deviseur (confirmé, novice, non-usineur) peut influer sur la précision de l’estimation des temps, tout comme les moyens technologiques mis à sa disposition. Travailler sur Excel par exemple, ne permet qu’une très faible réutilisation des données, et deviser dans l’ERP reste lourd. C’est pourquoi un logiciel solide, dédié à la réalisation des devis, ainsi que la disponibilité des données, afin de pouvoir bénéficier de leur capitalisation, sont essentiels.

Une fois ces caractéristiques et spécificités bien ancrées dans votre démarche, vient la sélection des méthodes de chiffrage !

 

 

Panorama des différentes méthodes de devis techniques en usinage

 

Un choix large s’offre à vous, et il est rare qu’une seule technique soit utilisée. En effet, pour optimiser un devis, il est judicieux de les combiner … à condition de bien en connaître les usages et subtilités. Passage en revue !

 

Méthode de devis technique n°1 : le jugement d’expert

Estimative, intuitive, par expérience ou empirique … il n’y a pas à dire, ça en jette ! Et pour cause, le prix de la pièce ou le temps de réalisation de celle-ci, sont estimés par un deviseur expert, fort de son expérience. Cette méthode, la plus utilisée par les sous-traitants mécaniques, et ne nécessitant aucun recours à l’assistance informatique, est la plus rapide de toutes. Cependant elle atteint rapidement ses limites en termes de précision, de traçabilité et d’accessibilité aux deviseurs novices.

Un « fonctionnement à l’ancienne » bientôt obsolète

 

Méthode de devis technique n°2 : analogique ou « par comparaison »

Une pièce existante est prise pour référence, afin de réaliser et d’affiner le chiffrage d’une nouvelle, en fonction de ses spécificités. A ce titre, l’ère du Big Data a fait émerger le système de comparaison morphologique des modèles 3D. Le principe est simple : des sociétés spécialistes du traitement de la donnée morphologique, permettent à leurs abonnés de renseigner en ligne un modèle CAO, pour obtenir un prix. Si les temps relevés sont fiables et la méthode rapide, la précision et le choix de paramètres de similitude laissent fortement à désirer.

De plus, la comparaison morphologique ne fonctionne que sur des typologies de pièces bien connues et de forme simple. L’adapter à une méthode industrielle, nécessiterait un système informatique de capitalisation et de recherche, démesurément plus puissant et efficace !

 

Méthode de devis technique n°3 : paramétrique

Basée sur l’analyse statistique, et s’appuyant sur des variables bien identifiées, la méthode paramétrique consiste à calculer le coût à partir de paramètres descripteurs (poids pièce, volume de copeaux, complexité, métrés, …) et d’équations qui bâtissent le « modèle ».

Plus adaptée aux gros ensembles, la technique est assez rapide, précise et facile à implémenter. Cependant, les paramètres exigeant d’être correctement identifiés en amont, chaque implémentation est limitée à un type de pièce bien spécifique. De plus, cette technique de devis étant basée sur l’existant, elle est peu adaptée aux sous-traitants mécaniques.

On la laisse aux autres alors !

 

Méthode de devis technique n° 4 : analytique

Ici, il est question de scinder un ensemble en sous-ensembles, décomposés en éléments de base, dont le coût sera estimé selon différentes méthodes, en analysant chaque opération d’usinage. Le calcul du coût final s’en trouve donc facilité, d’autant que la technique est précise et adaptée à l’entreprise ainsi qu’aux personnels novices.

Toutefois, sans assistance informatique, elle peut rester chronophage

Méthode de devis technique n°5 : le programme pièce

Le nec plus ultra de la précision réside dans la réalisation du programme pièce, une simulation de la fabrication de la pièce sur une CFAO. L’avantage réside dans son ultra précision, puisque c’est le temps réel de fabrication qui est calculé ... mais le temps de réalisation est aussi long qu’inacceptable … un devis, même précis et complet, ne signifiant pas que l’affaire est gagnée ! De plus, le devis en question ne tient compte que des temps d’usinage, les autres coûts étant à calculer en sus dont ceux relatifs à l’intervention du programmateur.

Sur sollicitation + surcoûts en vue !

 

Méthode de devis technique n°6 : TopSolid’PartCosting

TopSolid’PartCosting est une solution logicielle spécialisée dans la réalisation des devis techniques, mise au point par TOPSOLID SAS : du 100% français fort de 35 ans d’expérience et leader mondial en la matière, excusez du peu …

Cet outil révolutionnaire, utilisé indépendamment ou relié à votre ERP, centralise et capitalise toutes les informations de chiffrage, mettant également plusieurs méthodes à la disposition du deviseur.

Qu’elle soit estimative, analogique, paramétrique, analytique, paramétrique par volume copeaux, ou analytique par calcul des parcours d’outil pour les opérations d’usinage, chaque technique peut se combiner à une autre, pour une efficacité et une précision optimales.

Et forcément, les avantages pour le deviseur sont inestimables :

Possibilité de guidage par le logiciel, afin que tous les éléments (matière, gamme, sous-traitance) soient inclus dans le chiffrage.

Utilisation directe du plan de la pièce 2D ou 3D, quel qu’en soit le format (PDF, image, DXF, STEP, IGES), pour calculer les temps.

Accessibilité de l’outil à des utilisateurs non-usineurs.

Fonctionnalités nombreuses et utiles, telles que le calcul des temps ou des coûts non récurrents, la prise en compte des outillages, … souvent mal supportées par l’ERP !

Le graphique ci-dessous illustre le niveau de progression lié à l’usage de TopSolid’PartCosting :  plus vous passez de temps à deviser, plus le chiffrage est précis et le risque d’erreur diminué, même sans logiciel, ce qui exclut les méthodes rapides mais fait exploser le coût de l’estimation. Sauf…

…Si vous utilisez TopSolid’PartCosting, votre risque d’erreur initialement très bas, se réduit progressivement vers une valeur nulle. De plus, l’introduction de systèmes d’assistance permet de parvenir plus rapidement à un chiffrage fiable.

Alors, on vote pour qui ?

 

Conclusion

Dans un contexte où la concurrence fait rage, proposer un prix de pièce juste, est indispensable. Face au départ des générations d’experts, s’équiper d’un logiciel spécialisé devient incontournable.

A ce titre, la solution TopSolid’PartCosting constitue l’arme absolue en matière de chiffrage de devis. Commun à tous les intervenants et proposant différentes méthodes de chiffrage avec assistance, le logiciel, centralisé et entièrement paramétrable, permet des calculs de temps rapides et précis, avec à la clé, un devis technique tenant compte de toutes les spécificités et paramètres.

Au final, le savoir-faire de votre entreprise est capitalisé et vos chiffrages sont uniformisés, délégués et fiabilisés. Vous conservez ainsi la maîtrise des marges et de la négociation !

 

Vous souhaitez deviser avec TopSolid’PartCosting ? Contactez-nous !

Comment gagner du temps dans le processus de contrôle de pièce mécanique ?

Comment gagner du temps dans le processus de contrôle de pièce mécanique ?

Usinage, tôlerie, chaudronnerie … pour les sous-traitants comme pour les industries, le processus de contrôle de pièces mécaniques constitue une étape essentielle de la chaîne de production. Si l’exercice est incontournable, il est également complexe, multiple et bien souvent réalisé à travers des moyens obsolètes et contre-productifs.

Au final, le processus se trouve la plupart du temps, en totale contradiction avec les enjeux d’efficacité et de productivité du secteur industriel. Comment alors gagner du temps dans la validation de la conformité de vos pièces, à moindre frais de personnel et sans erreur s’il vous plaît ? C’est par ici !

 

Processus de contrôle de pièce mécanique : pourquoi et qui ?

Les objectifs du contrôle de pièce mécanique

Le contrôle de pièce mécanique permet dans un premier temps, de vérifier le respect des spécifications du produit au cours de la production, et d’autre part, de prouver au client final, la bonne conformité de ce qui a été fabriqué.

Pour le fabricant, le processus de contrôle représente également une valeur ajoutée. En effet, s’il est bien mené et optimisé, les procédés de fabrication sont mieux maîtrisés, les rebus supprimés, et les futurs défauts anticipés. Un réel atout qui permet de sécuriser et améliorer les productions ultérieures ! Mais nous avons bien dit Si …

Quelles parties-prenantes au sein de l’entreprise ?

Service Qualité, opérateurs et clients : tous orientés qualité !

Le Service Qualité de l’entreprise : chargé de définir et mettre en œuvre les processus, il communique aux équipes les caractéristiques de la pièce, et les informe des spécificités ou difficultés, relatives à sa fabrication. Par exemple, lorsque le service qualité fournit des dimensions, il est de son ressort d’avertir que telle pièce peut être réalisée facilement sur telle machine outil, mais qu’une autre, en raison de tolérances plus serrées, nécessite une surveillance régulière au cours de la production.

Les opérateurs de machines-outils : leur mission consiste à contrôler les cotes sensibles à chaque pièce. Les outils qu’ils utilisent varient, en fonction du lieu du contrôle – au pied de la machine ou dans une salle dédiée – et selon la précision de la mesure désirée, allant du pied à coulisse jusqu’aux machines tridimensionnelles programmables.

Le client quant à lui, peut imposer un compte-rendu de contrôle sur toutes les pièces ou seulement une partie. Par ailleurs, certains domaines d’activité ou normes, requièrent des méthodologies de contrôle spécifiques.

L’ensemble de ces informations est centralisé par le Service Qualité, qui les restitue, et organise les différents procédés de contrôle selon les spécifications. Et la boucle est bouclée !

 

Les étapes clés du contrôle de pièce mécanique

Avant de foncer sur l’inspection de la pièce, il convient de lister les points de contrôle, déterminer leur fréquence, et les moyens à utiliser, afin de construire le plan (ou gamme) de contrôle.

Définition du type de contrôle à mettre en place

A quel niveau de la chaîne de production l’opération de contrôle doit-elle intervenir ?

Selon le domaine d’activité, la complexité de la pièce ou les exigences du client, il sera pertinent de contrôler la première pièce (FAI -First Article Inspection), comme en aéronautique, ou plus indiqué de procéder à un contrôle par l’opérateur au pied de la machine, voire à un contrôle final avant livraison. Il est important à ce titre, de bien évaluer l’efficacité de chaque type de contrôle par rapport au besoin client, en tenant compte de facteurs tels que l’investissement en temps et en ressources humaines, ainsi que les coûts induits.

 

 

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

 

Identification de la meilleure fréquence de contrôle des pièces mécaniques

Contrôle à 100% ou échantillonnage ?

L’inspection de toutes les pièces d’un lot présente un risque de détérioration dû à la manipulation, conjugué à de potentielles erreurs humaines.  L’alternative, moins coûteuse et moins risquée, qui est le contrôle par échantillonnage, consiste à effectuer un prélèvement sur une série (par exemple toutes les dix pièces, ou la première et la dernière), et de juger de sa conformité à partir de modèles probabilistes (loi binomiale, de Poisson, hyper géométrique).

 

Construction du plan de contrôle

Une fois le moyen et les fréquences de contrôle bien définis, le plan de contrôle consiste en une lecture et une interprétation du plan de pièce, ainsi qu’à l’identification des normes à respecter.

A ce titre, le sacro-saint fichier Excel possède encore de belles lettres de noblesse, avec tout ce que le logiciel implique de travail de recherche amont sur plan (cotes, tolérances), de saisie manuelle, de mobilisation des collaborateurs, de temps, … et de coût bien évidemment !

Réalisation des mesures

Le relevé de mesures dans l’atelier conduit à repérer les éventuelles non-conformités de la pièce mécanique, pour les remonter au Service Qualité. Une fois encore, ce relevé est saisi sous Excel, mais la version papier – suivie d’une re-saisie informatique – avec tous les risques d’erreur et la perte de temps qu’elle peut comporter, est cependant toujours d’actualité !

Utilisation des données

L’analyse statistique des mesures doit permettre d’anticiper, en temps réel, les contraintes futures et les possibilités d’erreur, en vue de mettre en place un processus d’amélioration continue. Or bien souvent, les non-conformités sont traitées dans des ateliers parallèles. Difficile dans ce contexte d’imaginer une boucle de capitalisation sur les erreurs existantes.

Excès de mobilisation en ressources humaines et en temps, manque de fiabilité, et lourdeur générale : tel est le paradoxe des étapes d’un processus visant à contrôler… la qualité !

La solution ? L’Automatiser, en s’appuyant sur un outil puissant et adapté.

 

 TopSolid’Inspection : gagner du temps dans le processus de contrôle qualité

 

Véritable assistant du service qualité des entreprises, le logiciel TopSolid’Inspection présente entre-autres, deux fonctionnalités principales, susceptibles de changer la vie de l’atelier et des contrôleurs.

Construction du plan de contrôle : l’application intègre le plan de pièce 2D (sous format Tiff, pdf, dxf ou dwg) au sein d’un projet d’inspection, permettant son utilisation directe par bullage de cote. Une prouesse due à la détection automatique par OCR, de la valeur de la cote et des différents types de tolérances … en un seul mouvement ! Les instruments de contrôle, les fréquences, et même les sigles et les épaisseurs de traitement sont eux aussi gérés par la solution, à travers des règles de gestion personnalisables.

Mais ce n’est pas tout. Il est en effet possible d’imprimer le plan bullé ainsi obtenu, selon plusieurs modèles de mise en page, comme par exemple l’auto-contrôle ou le FAI, ou l’exporter vers différents formats au besoin.

Gain de temps (durée de construction du plan de contrôle divisée par quatre !), propreté des éditions, capitalisation pour une réutilisation ultérieure, et fiabilité optimale … le bénéfice est conséquent !

Relevé de mesures en atelier : la saisie informatisée directement dans l’atelier, permet une dématérialisation complète de la fiche de contrôle. De plus, l’interface de mesure étant compatible avec une tablette, et la plupart des moyens de contrôle connectés, l’opérateur s’affranchit des déplacements répétés vers la salle de contrôle. Le pilotage et la traçabilité des contrôleurs, qui visualisent les dérives et anticipent ainsi les non-conformités, sont ainsi nettement améliorés. Enfin, les résultats fournis par la MTT (machine tridimensionnelle) sont visibles dans un compte-rendu, que TopSolid’Inspection est capable d’exploiter pour enrichir le rapport de contrôle : on peut ainsi retrouver dans le même rapport de contrôle des résultats issus de l’auto-contrôle et des mesures tridimensionnelles.

Ici, la dématérialisation, c’est la vie !

Fonctionnalité MSP (Maîtrise Statistique des Procédés) : l’analyse MSP, couplée à des indicateurs de capabilité, permet d’analyser les résultats pour adapter les fréquences de contrôle sur chaque cote. Un plus de la solution TopSolid’Inspection, destiné une fois encore à optimiser l’efficacité du processus.

Conclusion 

Terminée l’époque où, le gain en temps, en qualité, et en argent, à travers l’utilisation de machines performantes, se perdait à l’occasion du contrôle des pièces. Le logiciel TopSolid’Inspection en automatise toutes les étapes, vous permettant ainsi de gagner en rapidité, en fiabilité et en efficacité.  Sa connectivité avec l’ERP de votre société, unique sur le marché et facile à mettre en œuvre, offre la possibilité d’accélérer également l’initialisation et le pilotage de vos projets d’inspection, avec à la clé, une meilleure productivité et une démarche d’amélioration continue !

Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez-nous !