BCM crée la métallerie « online » grâce à TopSolid

BCM crée la métallerie « online » grâce à TopSolid

BCM Métallerie, filiale de la holding industrielle Global Metal Works, est expert en transformation, usinage et assemblage de métaux. L’entreprise utilise TopSolid depuis près de 10 ans, pour assurer le traitement intégral de ses commandes les plus complexes. Dans sa quête d’innovation, le spécialiste de la métallerie se rapproche de TOPSOLID SAS et plus précisément de TOPSOLID Services pour proposer une nouvelle offre à destination des particuliers : la conception en ligne de clôtures en aluminium sur mesure. Retour sur un partenariat réussi.

BCM Métallerie : expert en conception et fabrication de produits finis ou semi-finis métalliques

 

L’entreprise BCM Métallerie est implantée en région Auvergne-Rhône-Alpes, dans le village de Saint-Rambert-en-Bugey. Depuis plus de 30 ans, la PME familiale prospère dans son domaine d’activité et élargit son offre. A la fois bureau d’étude, atelier d’usinage et d’assemblage, BCM Métallerie met son expertise au service des professionnels, dans les secteurs du bâtiment, de l’énergie, des transports, du mobilier urbain ou encore du luxe. Son savoir-faire en transformation des métaux par usinage et déformation, et en assemblage d’ensembles complexes, positionne l’entreprise comme partenaire de confiance qui prône des valeurs de marque centrées sur le client et sur l’innovation.

 

Les solutions TopSolid au service de l’innovation chez BCM Métallerie

 

Chargé d’affaires chez BCM Métallerie, Adrien Sauvé explique que l’entreprise se distingue par son bureau d’étude, capable de répondre aux cahiers des charges complexes, d’assurer la mise au point des produits et des processus de fabrication performants. En appui, les équipes BCM Métallerie utilisent les solutions TOPSOLID SAS depuis près de 10 ans.

 

Le logiciel CAO TopSolid’Design :

 

La puissance des outils de conception de TopSolid’Design contribue à renforcer l’efficacité et la rapidité de BCM Métallerie dans le domaine de la conception d’ensembles complexes. Adrien Sauvé met notamment en avant le caractère intuitif de l’interface utilisateur, qui permet d’être performant quel que soit le niveau de complexité des modèles. Les fonctions intelligentes du logiciel ainsi que le PDM natif comptent également parmi les avantages notables de TopSolid’Design, au sens du chargé d’affaires qui décrit le logiciel en ces termes : « facile à utiliser, puissant et complet ». Il ajoute que les solutions avancées de simulation s’avèrent particulièrement utiles pour l’usinage de matériaux difficiles, et que les fonctionnalités de classement automatique et de traçabilité des modifications facilitent encore la tâche des équipes.

 

Le logiciel de conception TopSolid’Steel :

 

BCM Métallerie dispose des équipements dernière génération – machines laser et combinées laser-poinçonnage ou encore centres d’usinage multiaxes – pour ses ateliers de transformation de profilé aluminium, de tôlerie, d’usinage des composites et de mécanique de haute précision. L’atelier de mécano-soudure et d’assemblage en outre dispose d’équipements robotisés et de haute technicité. L’entreprise s’adjoint le logiciel TopSolid’Steel en appui. La solution automatique intégrée répond aux besoins de BCM Métallerie dans le cadre du développement de projets de grande envergure. L’entreprise s’assure une production au plus juste, dans un court timing imparti et conformément à des exigences qualité accrues. Adrien Sauvé met particulièrement en avant l’utilité et la performance des fonctions suivantes :

 

  • L’imbrication optimisée pour réduire considérablement les chutes de tôle.
  • La gestion automatisée de la traçabilité matière et documentaire, pour un suivi précis des éléments de chaque projet.
  • La centralisation des données pour gagner du temps dans l’industrialisation des projets.
  • La modélisation de géométries complexes pour éviter des erreurs.

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

BCM Métallerie à la conquête de nouveaux territoires avec la métallerie en ligne grâce à TOPSOLID Services

 

Forte de son succès, l’entreprise en profite pour élargir son activité : avril 2021, BCM Métallerie lance la métallerie en ligne, accessible depuis le site artisancloture.com. L’objectif : permettre aux particuliers de concevoir et d’acheter en ligne leur clôture aluminium, tôle ou composite sur mesure. Un modèle dans l’ère du temps, pour autant innovant. Quelques étapes suffisent à concrétiser le projet des particuliers :

 

  1. Un rendez-vous en visio avec un expert dédié : le particulier prend son rendez-vous en ligne, le rendez-vous se déroule en visio. L’expert, sur la base de l’aperçu du jardin, propose au client, en direct, une simulation de sa clôture. Le visuel en 3D permet au client de se projeter, et ajoute un caractère ludique à l’expérience. Pour une réactivité optimale, l’expert génère instantanément le devis.
  2. L’expert se déplace pour prendre les mesures exactes, afin de lancer la fabrication de la clôture sur-mesure.
  3. Le client bénéficie de la livraison et de l’installation de sa clôture à domicile, pour une prestation clé en main.

 

L’offre est séduisante. Le client s’évite toutes contraintes de déplacements : les démarches de conception sont effectuées en ligne, et c’est le professionnel qui se déplace à domicile pour peaufiner les aspects techniques du projet. Le service en outre est attractif en matière d’expérience client : le client visualise à distance le rendu final de sa composition sur des plans 3D immersifs.

 

Pour développer et mettre en œuvre son nouveau projet, BCM Métallerie a fait appel à TOPSOLID Services, spécialistes des développements d’applications sur mesure. Après plusieurs mois de travail, l’équipe dédiée à ce projet aboutit au résultat : un configurateur capable d’automatiser la création sur mesure de clôtures qui s’intègrent virtuellement dans l’environnement du client. Une nouveauté sur le marché, dont Adrien Sauvé se félicite : « La digitalisation des produits autorise leur intégration dans la photo du jardin des clients afin de leur permettre une immersion totale sans bouger de chez eux ». Le client anticipe l’esthétique de son projet, il contracte avec son fournisseur en toute confiance.

 

Ce partenariat réussi prouve l’expertise de TOPSOLID Services dans la mise au point de projets innovants. Ce département spécialisé au sein de TOPSOLID SAS est mobilisé pour développer les applications technologiques requises, sur la base d’un cahier des charges élaboré par le client. TOPSOLID Services développe et fournit l’outil, l’entreprise l’exploite pour assoir sa propre expertise technique – en l’espèce : étude de faisabilité, devis, métrage, fabrication et installation – et diversifier son activité.

 

Vous souhaitez développer un projet innovant ? Contactez nos équipes !

La gestion des têtes d’usinage multiples sur les MOCN facilitée par la CFAO

La gestion des têtes d’usinage multiples sur les MOCN facilitée par la CFAO

Tournage, fraisage, alésage, perçage, taraudage, galetage…Les axes, outils et types de travaux sont nombreux et variés sur les Machines Outils à Commande Numérique (MOCN). Piliers de la production industrielle, ces centres d’usinage polyvalents sont configurés pour fabriquer plus vite, mieux, et dans la mesure possible en une seule « prise » ! A ce titre, l’utilisation de têtes d’usinage multiples est certes incontournable pour la fabrication d’une même pièce … mais la gestion de ces accessoires se révèle très complexe.

En effet, la programmation doit en orchestrer le ballet avec rigueur et précision, afin de combiner et optimiser les différentes opérations, avec en arrière-plan la course à la productivité. Pas évident alors de faire la chasse aux temps morts tout en maintenant un niveau de performance élevé. Pourtant, cet impératif peut être brillamment relevé, grâce à une CFAO bien adaptée.

Démonstration …

Pourquoi utiliser plusieurs têtes d’usinage sur une MOCN pour fabriquer une seule pièce ?

 

Certaines pièces présentent une taille, un poids et un encombrement très importants. Il s’agit par exemple des châssis mécano soudés des bâtis de pelleteuse ou des machines-outils, mais également de grandes pièces de fonderie -comme les bâtis de pièces d’emboutissage- ou de chaudronnerie. Pour être réceptionnés et usinés, ces éléments nécessitent des Machines Outils à Commande Numérique (MOCN) de forte capacité, qui peuvent atteindre des dizaines de mètres.  On pense par exemple aux aléseuses fraiseuses à montant mobile, dotées de la technologie Speedram chez PAMA ou aux aléseuses fraiseuses horizontales Giddings and Lewis de FIVES, ou encore celles ultra précises pour les secteurs de la mécanique générale ou moulage produites par FPT industries.

La principale problématique réside dans la manipulation de ces grandes pièces, qui est complexe et demande, de quelques heures à quelques jours d’ajustement. D’où la nécessité de bien étudier leur positionnement en amont, de manière à être capable de les usiner au maximum sinon complètement, sans avoir à les déplacer.

Et c’est là que les têtes d’usinages multiples entrent en jeu ! Ces accessoires rapportés sont stockés dans un ou plusieurs magasins dédiés, et utilisés par la machine selon les besoins en usinage, comme c’est le cas avec les outils coupants.  Soit le changement de tête d’usinage est automatisé au travers d’instructions directement inscrites dans le code ISO, soit l’opérateur effectue manuellement les opérations de dépose et repose. C’est dans tous les cas cette multi polyvalence des machines-outils qui permet de maintenir la pièce en place au maximum.

Gestion des têtes d’usinage multiples sur MOCN : une étape complexe

 

Il faut savoir que chaque tête présente des spécificités qui lui confèrent un rôle dans l’usinage de la pièce. Par exemple la tête de type allonge, dont la forme est très fine, est utilisée pour usiner des zones habituellement inaccessibles. La tête à renvoi d’angle à 90°, sert à réaliser des opérations d’usinage dans les différents plans remarquables de la machine (plans orthonormés XY-ZY-ZX) alors que la tête universelle avec deux axes de rotation supplémentaires est destinée à des opérations d’usinage dans des plans inclinés quelconques. Citons également la tête d’Andrea qui permet d’effectuer des opérations d’alésage en tournage, et la tête de tournage, des opérations seules de tournage.

Les constructeurs des MOCN sont en mesure de concevoir et produire des têtes d’usinage spécifiques selon les secteurs d’application et les problématiques technologiques propres de leurs clients. Aussi, les machines-outils sont tellement riches d’outils et fonctionnalités diverses, que l’usineur peut rencontrer des difficultés quant à une programmation précise et optimisée. C’est là l’un des aspects de la complexité relative à la gestion des têtes d’usinage multiples.

 

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

Comment la CFAO facilite la gestion des têtes d’usinage multiples sur une MOCN ?

 

Ce sont surtout les fonctions de simulation, qui font l’intérêt de l’outil CFAO dans le cas d’un usinage multi têtes.

En effet, l’espace entre la tête d’usinage, son outil, la pièce elle-même et son environnement, peuvent parfois être très étroits. Les changements multiples de têtes permettent certes d’effectuer la bonne opération, au bon moment, au bon endroit, et ce même dans les zones les plus difficiles d’accès, mais la casse demeure toujours une possibilité. Imaginez, proportionnellement à la taille des pièces et des machines, la teneur des pertes engendrées ! Dans le contexte actuel où prévaut l’efficacité à moindre coût, l’entreprise ne peut se permettre de tels ratés.

A ce titre, le processus de simulation prend en compte trois facteurs primordiaux :

  • L’environnement machine (palpeur, magasin d’outils et montage d’usinage).
  • Les contraintes cinématiques de la pièce (course et amplitude des angles bien définis) et sa géométrie (cotes, tolérances, état de surface).
  • Les caractéristiques des outils coupants (taille adaptée, encombrement, capacité à ne pas collisionner).

Ainsi, les trajets d’usinage et la coordination des opérations de dépose/repose de chaque tête sont contrôlés du début à la fin, optimisés dans leur intégralité et les reprises en atelier sont évitées.

 

Gestion des têtes d’usinage multiples par la CFAO : quels bénéfices pour l’entreprise ?

 

En anticipant la production par la CFAO sur une MOCN, l’opérateur sécurise la préparation des montages d’usinage et des outils, le positionnement optimal de la pièce, sa conformité aux spécificités techniques attendues et l’absence de collision. Au final, il garantit la faisabilité effective de l’usinage pour chacune des têtes impliquées dans le processus, sans risque d’erreur ou de blocage d’ordre mécanique ou cinématique ! Le gain de temps est colossal pour l’atelier et le coût horaire des ressources humaines et machines diminue.

Pour les entreprises du secteur industriel, l’utilisation de la CFAO pour gérer les têtes d’usinage multiples sur les machines-outils à commande numérique, constitue une réponse parfaitement adaptée aux enjeux de productivité et d’amélioration de la qualité … Des avantages parmi bien d’autres, qui font également toute la force de la solution TopSolid’Cam et ce, même avec des têtes d’usinage rapportées.

 

Valeur ajoutée de TopSolid pour la gestion des têtes d’usinage

 

TOPSOLID SAS va plus loin pour simplifier la gestion des têtes d’usinage multiples. A ce titre, la solution CFAO TopSolid’Cam intègre les fonctionnalités les plus abouties du marché.

En effet, le logiciel permet tout d’abord de bien définir chaque tête dans la cinématique de la machine, et de la représenter en 3D.  Ce premier niveau de simulation permet de s’assurer de la précision des trajectoires d’usinage, en fonction de la mise en situation dans l’atelier (machine, montage, outils, pièce brute et finie). L’outil de vérification simulant la machine en mouvement, les collisions sont détectées et le programmateur automatiquement alerté.  Lors de la programmation, il suffit donc de choisir quelle tête doit être utilisée pour réaliser le prochain trajet d’usinage via une commande dédiée.

Prenons l’exemple ci-dessous : pour une machine donnée, chaque tête est configurée dans le logiciel TopSolid’Cam avec la broche de base. Il suffit ensuite de sélectionner dans un menu déroulant les différentes têtes disponibles et susceptibles d’être utilisées.

 

Ensuite, pour chacune des têtes, en fonction de leurs degrés de libertés disponibles (2 axes de rotation supplémentaires par exemple) et de leurs propres fonctions d’usinage (fraisage, tournage, alésage, …), il est possible d’appliquer les opérations d’usinage dédiées et d’accéder aux différentes zones de la pièce. Pour le programmeur, quelle que soit la tête choisie, le programme d’usinage s’exécute de façon transparente : TopSolid’Cam gère l’ensemble des solutions en adéquation avec la tête choisie. La méthode de programmation ne change pas et se fait aussi facilement que lorsqu’il n’y a pas de tête rapportée.

 

Mais ce n’est pas tout !

 

L’outil de simulation étant indépendant du logiciel, l’impartialité totale est garantie : le code ISO – c’est-à-dire la description du programme en langage machine générée par le post processeur – est relu et simulé tel qu’il est écrit. La grande force de TopSolid’Camréside dans sa capacité d’adaptation à n’importe lequel des langages en fonction des caractéristiques de l’atelier. Et ce, grâce à plusieurs post-processeurs capables de traduire le programme réalisé avec le logiciel, dans le langage reconnu par la machine. Avant toute exécution de programme sur la machine, l’outil effectue une ultime vérification et sécurise l’usinage.

 

Le logiciel TopSolid’Cam garantit donc une véritable simplicité d’utilisation et constitue l’outil idéal pour répondre aux besoins de flexibilité liés à la polyvalence des MOCN et maîtriser la gestion des têtes d’usinage multiples. En permettant de gagner un temps considérable sur les programmations classiques et en sécurisant les processus qualité et validation des programmes, la solution TopSolid’Cam représente à ce jour un levier incontournable à la hausse de la productivité des industries.

Vous êtes intéressé par nos outils ? Contactez nos équipes !

Les solutions TopSolid au service de la conception et production de matériel de haute précision de Sisma

Les solutions TopSolid au service de la conception et production de matériel de haute précision de Sisma

Depuis 2018, la société italienne SISMA utilise TopSolid, solution intégrée unique de CAO et FAO. 4 ans plus tard, l’équipe TOPSOLID Italia se rend à Vicence, ville du Nord de l’Italie qui accueille l’usine de production SISMA, pour interviewer Massimo Bellini. Le COO (Chief Operating Officer) revient sur les motivations de SISMA à utiliser TopSolid, et sur les bénéfices obtenus de cette collaboration.

SISMA, plus de 60 ans d’expérience dans la conception et la production de machines de précision, de systèmes laser et imprimantes 3D

 

Italie, 1961 : la société SISMA est créée à Schio, berceau de l’industrie de la région de Vénétie. L’entreprise familiale s’impose rapidement comme la référence internationale dans le domaine de la conception et de la production de matériel de haute précision. Innovante par vocation, SISMA n’hésite pas, au fil du temps, à investir en recherche et développement dans le but de contribuer à l’essor de ses clients. Bijouterie, industrie, secteurs médical et dentaire : SISMA conçoit et réalise des systèmes et des solutions au service de producteurs et de créateurs de produits dans des domaines d’activité variés.

SISMA en quelques chiffres :

  • Plus de 130 modèles de machines dédiées à la fabrication de chaînes en or : pour couvrir l’ensemble des besoins – et au-delà – de ses clients dans le domaine de la bijouterie-joaillerie, l’entreprise propose plus de 130 machines pour la production automatique de chaînes. Pour compléter son offre : des systèmes laser de soudage, de découpe, de marquage et gravure, et des imprimantes 3D à la pointe des technologies.
  • 200 collaborateurs dans le monde : au-delà de son usine de production en Italie, SISMA se développe à l’échelle internationale. A ce jour, l’entreprise est présente en Espagne, en Turquie, au Mexique et aux Etats-Unis où elle implante ses filières.
  • 50 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel : depuis sa fondation en 1961, l’entreprise a parcouru du chemin. Débutant dans la production de machines pour le secteur de la bijouterie, SISMA développe rapidement la technologie laser et les imprimantes 3D pour étendre ses domaines de compétences. Le succès est au rendez-vous et les chiffres le prouvent.

SISMA est à la fois technique et avant-gardiste. Leader international sur son marché, l’entreprise s’appuie sur plus de 60 ans d’expérience et sur le savoir-faire expert de ses équipes pour proposer à ses clients des solutions fiables et innovantes, anticipant les tendances du marché.

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

SISMA x TopSolid : contexte et résultats

 

 

SISMA à la recherche d’une solution CFAO complète

 

En 1996, l’entreprise s’équipe d’une solution FAO pour la réalisation des programmes à exécuter sur la machine. Une initiative dans l’ère du temps, un investissement gagnant qui participe au développement de SISMA. Alerte sur les dernières technologies innovantes, l’entreprise décide de s’emparer des nouvelles opportunités offertes par les logiciels CFAO pour assoir sa compétitivité. C’est dans le cadre de son besoin d’intégrer complètement la CAO à la FAO que SISMA choisit le logiciel CFAO TopSolid comme solution globale.

Après 4 ans d’usage de la solution, l’équipe TOPSOLID Italia vient à la rencontre du COO de SISMA pour obtenir son retour d’expérience, à travers le témoignage des utilisateurs du logiciel.

 

 

« TopSolid fournit un environnement où l’on peut simuler le plus précisément possible ce qui va se passer dans la machine. »

 

SISMA explique en ces termes les raisons pour lesquelles son choix s’est porté sur le logiciel CFAO TopSolid : c’est le degré de précision de l’environnement de simulation qui a fini de conforter son choix.

  • Le logiciel permet de simuler entièrement les mouvements de connexion de l’outil de la pièce.
  • Résultat : la qualité de sortie du post-processeur correspond toujours parfaitement à la simulation. SISMA est réputée pour ses exigences accrues en termes de qualité, et TopSolid permet de les atteindre.

L’utilisateur interviewé ajoute : « nous pouvons concevoir dans un environnement CAO, les outils qui me permettent de serrer la pièce puis de la mettre facilement sur la planche et de créer des masques ».

 

 

TopSolid pour gagner du temps et pour réduire les erreurs de transcription

 

« Tout est compilé automatiquement par TopSolid ». SISMA constate à l’usage que le logiciel a permis non seulement de gagner du temps, mais aussi de réduire les erreurs de transcription. L’utilisateur explique en substance qu’il crée de manière paramétrique en un temps record, et que l’opérateur est en mesure de comprendre immédiatement comment la pièce est physiquement fixée sur la machine, à l’aide d’une simple fiche. La fiche outils générée automatiquement par TopSolid permet en effet de vérifier chaque composant – code du type d’outil à monter, saillie et attache – de manière à éviter les erreurs de transcription du concepteur.

 

 

TopSolid pour faciliter et accélérer l’exécution des traitements

 

« Les cycles de la mécanique de précision sont très efficaces : je contrôle la pièce avec la sonde, la réinitialisation de la pièce et tous les autres cycles, le fraisage des rainures en T et le chanfreinage automatique, ce qui permet d’accélérer grandement les délais de programmation. »

Pour SISMA, la productivité est un enjeu majeur : maintenir sa position référente sur son marché implique d’allier rapidité et qualité. L’entreprise se félicite des résultats obtenus à cet effet grâce à TopSolid : la vitesse de programmation et la qualité de la sortie du programme remplissent son enjeu de productivité.

L’interview se conclut ainsi : « TopSolid est un outil vraiment efficace qui parvient à répondre à 100 % de nos besoins ». Un témoignage pour la plus grande satisfaction des équipes TOPSOLID SAS, qui conforte l’ambition de la société : accompagner les entreprises innovantes dans leur développement.

Vous êtes intéressé par nos outils ? Contactez nos équipes !

4 Conseils pour bien préparer son projet de changement de CFAO en Génie mécanique et productique

4 Conseils pour bien préparer son projet de changement de CFAO en Génie mécanique et productique

 

Le recours à un logiciel de conception et de fabrication assistée par ordinateur est indispensable dans la conception et la réalisation de tout projet industriel. En effet, un logiciel de CFAO complet vous permet de consolider votre programmation dans une seule solution. Cependant, changer de logiciel de CFAO est un projet de transformation de grande ampleur, qui engendrera d’importantes transformations au sein de l’entreprise. Une réorganisation qui impactera toute l’entreprise, aussi bien au niveau digital, organisationnel que commercial. Voici 4 conseils pour vous aider à préparer au mieux votre projet de changement de CFAO !

Comment convaincre vos équipes d’adopter un nouveau logiciel de CFAO ?

 

L’adoption d’un nouveau logiciel de CFAO n’est pas une décision facile à prendre et peut susciter de nombreuses appréhensions chez les collaborateurs d’une entreprise. La solution CFAO joue, en effet, un rôle de premier plan dans la réalisation des projets, dont elle assure la production et l’industrialisation. La fiabilité du logiciel de CFAO est donc cruciale : un disfonctionnement important entrainerait l’arrêt brutal de la production de l’entreprise. Perte des habitudes de travail, appréhension de la prise en main de nouveaux outils informatiques… Les craintes des équipes face à un changement de logiciel de CFAO sont compréhensibles. Le meilleur moyen pour rassurer vos collaborateurs et les convaincre des biens-faits d’un changement de solution est de préparer au mieux cette évolution.

 

4 conseils pour bien préparer votre projet de changement de CFAO

 

1.      Identifiez vos besoins en matière de CFAO

Si la conception et la fabrication de pièces font partie de votre activité principale, les risques liés au choix du bon logiciel de CFAO sont évidents. Alors, pour vous assurer de faire le bon choix, déterminez d’abord vos besoins de manière précise et reportez-les dans un cahier des charges. Prenez également le temps de réunir vos collaborateurs internes et de solliciter l’avis de vos clients. Les critères de sélection sont nombreux, mais vous connaissez votre métier mieux que quiconque : le logiciel que vous choisirez devra être adapté à vos objectifs et convenir à l’utilisation que vous en ferez.

2.      Le choix d’une pièce type pour tester les logiciels de CFAO

Une fois votre cahier des charges complet, il vous faudra identifier une pièce typique de votre production. Dans l’idéal, la pièce sélectionnée sera suffisamment complexe pour vous donner une idée des capacités du logiciel de CFAO que vous testerez. On entend par pièce complexe, une pièce présentant des topologies qui demandent de passer par de multiples trajectoires d’usinage, souvent avec des zones difficilement accessibles, ainsi que des risques de collision. La notion de complexité d’une pièce dépend également de la nature du matériau utilisé, de la présence de contraintes résiduelles, du risque d’échauffement ou encore la précision souhaitée.

En effet, en CFAO, notamment en usinage, la fabrication de pièces de formes complexes demande de se conformer à des spécifications fonctionnelles exprimées par le concepteur ou le designer. Le modèle géométrique construit en CAO constitue un modèle numérique de référence qui doit ainsi être reproduit le plus fidèlement possible lors de la phase de fabrication. Parce que les formes complexes sont parfois difficiles à reproduire, une programmation précise est la clef du succès en CFAO.

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

1.      Présélectionnez plusieurs logiciels de CFAO

Une fois votre projet d’acquisition de logiciel de CFAO mûrement réfléchi, et votre cahier des charges rédigé, vous pourrez comparer différents logiciels. Pour cela, vous devrez prendre en compte différents critères :

  • L’interopérabilité. Le premier critère à considérer pour déterminer si le logiciel testé est adapté à votre utilisation, est sa capacité à programmer efficacement la fabrication de la pièce que vous lui soumettez. Ensuite, il vous faudra vérifier l’aptitude du logiciel à s’adapter à l’environnement existant. Le logiciel doit être en mesure de récupérer tout type de fichier CAO et de se connecter à d’autres logiciels tels que les ERP et les logiciels de GPAO, et ce, de manière fiable et efficace.
  • La compatibilité matérielle entre le logiciel et l’ordinateur. Avant de procéder à l’achat d’un logiciel de CFAO, vous devrez vérifier que vous disposez d’ordinateurs compatibles et suffisamment puissants. Pour cela, différentes questions devront être posées : quel est le système d’exploitation requis ? Quelle est la carte graphique nécessaire ? Les réponses à ces questions sont d’une importance capitale. Ces informations pourraient, en effet, entraîner des coûts supplémentaires qu’il est préférable d’anticiper.

2.      Testez les logiciels de CFAO candidats

Après avoir présélectionné 4 ou 5 logiciels de CFAO selon les critères définis ci-dessus, vous pourrez demander une démonstration gratuite. Ces tests en situation, vous permettront d’évaluer le travail de chaque logiciel sur la pièce type sélectionnée et de comparer leurs performances.

 

Le rôle de l’éditeur dans l’adoption du nouveau logiciel de CFAO

 

L’éditeur de logiciels joue un rôle clef dans l’adoption d’une solution de CFAO par une société. Il se doit, dans un premier temps, de démontrer en quoi sa solution répond techniquement aux exigences et aux besoins de l’entreprise. Mais son travail ne s’arrête pas à l’aspect technique, l’éditeur doit également instaurer une relation de confiance sur le long terme avec l’entreprise.

Malgré la vétusté de leur outil, il arrive que les collaborateurs craignent de ne pas retrouver la fiabilité de l’outil qu’ils utilisaient jusqu’à présent. Pour atténuer la crainte des équipes de perdre des habitudes de travail et de ne pas pouvoir s’adapter à une solution moderne, l’éditeur du logiciel doit alors rassurer l’ensemble du personnel concerné par ce changement. Pour cela, il lui faudra démontrer la force de sa solution, en se basant sur des éléments concrets et connus de l’entreprise. Il pourra s’agir, par exemple, du traitement des informations dans un environnement connu et maitrisé. Ainsi, une présentation du processus de FAO pourra être réalisée sur la base des machines de l’entreprise, afin de démontrer que la génération du code machine ne varie pas selon l’outil de CFAO.

En tant que partenaire privilégié des entreprises, l’éditeur de solutions de CFAO TOPSOLID a parfaitement conscience que l’adoption d’une nouvelle solution par les équipes représente un point crucial de l’évolution d’une société. Afin de présenter le nouvel outil de travail de manière concrète, TOPSOLID est à l’écoute et s’enquiert des process actuels et des problématiques rencontrées par les équipes avec leur outil de CFAO. Avec TopSolid, l’historique de la société sera sauvegardé, voire récupéré, sur le nouvel outil. De plus, nous proposons la réalisation de programmes machines accompagnée de tests concrets sur les machines. Enfin, nos équipes TOPSOLID vous accompagnent en France ou à l’international en cas de difficultés liées à la prise en main de votre nouvel outil. Un projet ? Des questions ? Contactez-nous !

CAO et FAO : quelles évolutions depuis 30 ans ?

CAO et FAO : quelles évolutions depuis 30 ans ?

Depuis plus de 35 ans, TOPSOLID SAS commercialise en France et dans le monde, ses solutions de logiciels CFAO et ERP. Avec des milliers de références clients, et plus de 100 000 licences logicielles vendues depuis sa création, TOPSOLID SAS s’est adapté aux évolutions technologiques du marché, pour répondre toujours mieux aux besoins de ses clients. En matière de CAO et FAO, quelles sont alors les évolutions notables des 3 dernières décennies ? Comment s’adapter dans cette course vers l’amélioration continue ? Réponses.    

Des nouvelles problématiques au sein des entreprises utilisatrices de solutions de CAO et FAO

 

Dans un contexte concurrentiel où les progrès technologiques exigent une adaptation constante des techniques, les entreprises n’ont d’autre choix que de capitaliser sur leur expérience. S’appuyer sur ce savoir-faire immatériel, ces bonnes pratiques, permet d’éviter de recréer ce qui a déjà été fait autrefois et donc de gagner du temps.

À l’heure du BIM (Building Information Modeling) et de la maquette numérique, les échanges de données CAO sont devenus habituels entre donneurs d’ordre et sous-traitants. Les processus de travail évoluent et les différents acteurs doivent faire preuve d’agilité.

En FAO, pour réaliser une programmation pièce de plus en plus rapide, les équipes ont besoin de réutiliser facilement les programmes d’usinage ou d’une variante. Dans ce sens, la programmation de pièces en mode automatique devient possible.

 

Les évolutions les plus notables en 30 ans en matière de CAO et FAO

 

En CAO et FAO, les avancées technologiques de ces dernières années ont rendu possible une véritable accumulation de l’expérience utilisateurs, grâce à une réutilisation facile. Il est question ici de PDM et d’intégration CAO-FAO.

L’avènement du PDM

Le PDM, ou Product Data Management, est un outil numérique permettant d’extraire, de gérer et de stocker les informations électroniques relatives à un produit. En CFAO, l’avènement du PDM a permis de centraliser et de rendre disponibles de façon fluide et maîtrisée l’intégralité des documents CAO, à l’ensemble des utilisateurs concernés. Un tel outil permet aux entreprises de mettre en place le travail collaboratif, afin de capitaliser sur leur savoir-faire, tout en montant en performance.

La généralisation de solutions intégrées CAO / FAO / ERP / PDM

Fluidité des échanges d’information, sécurisation des données, gain de temps et de productivité, amélioration des process… L’arrivée sur le marché de solutions intégrées CFAO/ERP a bénéficié aux entreprises de multiples façons. Cet espace de stockage unique regroupe en son sein l’ensemble des méthodes, savoir-faire, paramètres de conception et résultats essentiels à l’entreprise. Cette centralisation des données garantit aux industriels de se doter des meilleures chances de pérennité quant à leur expertise et leurs process métier. Une préservation des actifs intemporels qui a clairement changé la donne.

Des interfaces utilisateurs de plus en plus intuitives

Désormais, une fois la constitution de la bibliothèque des standards de fabrication effectuée, les équipes techniques n’ont qu’à piocher dans les différents éléments pour élaborer de nouveaux projets. De telles fonctionnalités offrent en effet des données directement exploitables en préparation, mais aussi en production grâce à l’intégration CAO-FAO. Grâce à des interfaces toujours plus ergonomiques, les équipes ont gagné en efficience à chaque étape, de la conception à la réalisation. Au besoin, les logiciels TopSolid sont en mesure de générer rapidement toutes les nomenclatures, fiches suiveuses ou programmes d’usinage nécessaires. Capitaliser sur son savoir-faire et automatiser la production de documents représentent un gain de temps précieux !

Des algorithmes de calcul de trajectoire toujours plus puissants

En FAO, la généralisation d’ordinateurs de plus en plus puissants a permis aux entreprises de disposer d’algorithmes de calcul de trajectoire encore plus précis. Une fonctionnalité particulièrement importante en tôlerie notamment, où il est important de pouvoir s’appuyer sur des algorithmes ultra-performants, afin d’éviter la surchauffe et les bavures. Se doter d’un logiciel de CFAO avec des algorithmes de trajectoire de découpes performants garantit un niveau de qualité supérieure.

L’amélioration des algorithmes de calcul de trajectoire représente enfin un enjeu important pour la fabrication de pièces de formes complexes, qui nécessitent une programmation optimale. En fraisage, la stratégie d’ébauche Boost Milling  adapte les trajectoires de l’outil de façon à conserver un angle constant. La programmation de pièces complexes 4 et 5 axes requiert des outils de simulation performants et des automatismes puissants. 

Une adaptation constante de la FAO aux nouvelles technologies

Nouveaux types de machines, nouveaux types d’outils coupants, communication entre systèmes – ex : bancs de mesures outils, bases de données d’outils en ligne… La FAO a dû s’adapter au fil de l’apparition de nouvelles technologies. La personnalisation de votre logiciel de FAO est donc un critère important, afin de s’adapter aux spécificités de votre activité et aux systèmes déjà en place dans votre entreprise.

 

Éditeurs de logiciel : comment rester à la page face aux évolutions constantes ?

 

Dans un contexte mouvant, où la dernière innovation technologique est chassée par la suivante, les entreprises ont besoin de s’appuyer sur des logiciels de CFAO fiables et régulièrement mis à jour. Conscient de ces enjeux, TOPSOLID fait particulièrement attention aux retours de ses clients, pour faire évoluer ses logiciels dans le sens du besoin. De la même manière, nos équipes restent à l’écoute active du marché. En lien avec les fabricants de machines, d’outils ou d’autres logiciels connexes, notamment lors de salons ou d’expositions, nous menons une veille active auprès des différents acteurs du marché.

Pour rester à la page, il est également important de recruter des jeunes formés aux dernières technologies informatiques, voire d’usinage. En parallèle, nous formons continuellement nos collaborateurs, afin qu’ils soient toujours performants, dans leur domaine de prédilection ou dans des domaines connexes.

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

Et après ? Quelles évolutions prévoir en CAO FAO pour les décennies à venir ?

 

L’usine du futur : innovations technologiques et évolutions intelligentes pour la CAO-FAO

L’avènement de l’industrie 4.0 trouve son origine dans la nécessité pour les entreprises de préserver compétitivité et  productivité. Et ce, tout en s’adaptant à de nouveaux modes de consommation, aussi versatiles qu’exigeants. Pour y parvenir, simplifier et optimiser le travail de l’ensemble des services à travers la continuité numérique constitue un facteur clé de succès. Cela suppose toutefois de savoir évoluer vers une organisation plus agile, renforcée par l’inter-connectivité totale des systèmes.

A ce titre, des outils de CAO FAO aux fonctions innovantes et intelligentes, capable de s’auto évaluer et se corriger, trouvent progressivement leur place au sein des équipes. On assiste ainsi depuis quelques années, à la généralisation de technologies qui hier encore tenaient presque de la science fiction. Parmi les plus utilisées en CAO-FAO on notera :

  • la réalité virtuelle et la réalité augmentée, en passe de devenir des outils standards,
  • l’internet des objets pour ouvrir de nouveaux horizons de marché,
  • l’impression 3D pour la fabrication de petites séries,
  • les robots collaboratifs, nouveaux assistants des opérateurs,
  • les systèmes cyber physiques, offrant un meilleur contrôle et pilotage des outils,
  • les logiciels interconnectables pour l’échange et l’utilisation de données identiques, en interne ou émanant des donneurs d’ordres,
  • L’I.A combinée au Big Data pour améliorer la maintenance prédictive,
  • La simulation 3D pour accélérer et sécuriser la CAO-FAO.

Evidemment, en conception fabrication, ces technologies n’ont de raison d’être que si elles sont aisément accessibles et utilisables. Question de pertinence métier. Un pré-requis qui impose le recours à un logiciel CAO-FAO offrant flexibilité et possibilités de paramétrage diverses, afin de maximiser la réactivité et l’efficacité des équipes. Et cette exigence se vérifie particulièrement dans les fonctions de simulation 3D. Explications …

 

Importance des fonctionnalités de simulation CAO-FAO pour l’entreprise 

Les nouveaux challenges relatifs à la qualité, la réactivité et la compétitivité, combinés à une concurrence exacerbée au sein du marché, ont rebattu les cartes des processus métiers et celles du choix des logiciels de CAO-FAO. Car désormais, l’enjeu pour les l’entreprise, consiste à être en capacité d’accélérer la conception … ce que permettent les solutions CAO-FAO intégrant nativement l’analyse et la simulation.

En effet, quel que soit le domaine d’activité, le procédé de simulation permet d’intégrer et faire interagir un nombre important de paramètres CAO-FAO concernant la pièce. Il peut s’agir par exemple du matériau utilisé, du maillage 3D, de l’environnement, des contraintes thermiques, des impacts liés aux différents mouvements susceptibles de s’exercer sur chacun de ses éléments, … L’exercice permet alors de visualiser rapidement un rendu très précis du comportement de la pièce ou du produit global, en prenant en compte l’ensemble des possibilités.

De cet avantage premier de la simulation en CAO-FAO, découlent une série de bénéfices liés à la réduction des temps et des coûts de développement :

1-La fabricabilité du produit est vérifiée dès la conception : les points bloquants ainsi que les incidents-qualité sont anticipés et résolus en amont, les géométries sont optimisées et les détails de conception affinés. Au final, vous évitez les erreurs qui pourraient se répercuter lors de la phase de fabrication, nécessitant des reprises d’usinage, ainsi que les pertes de temps et d’argent qui les accompagnent !

2- Les ressources CAO FAO habituellement utilisées en phase de test diminuent : en effet, alors que les matières, les machines et les équipes sont fortement mobilisés lors des phases de test, la simulation présente l’avantage de pouvoir tester un nombre important d’hypothèses sans coût additionnel.

3- La compétitivité est améliorée : tester des matériaux ou des techniques moins onéreux mais préservant la qualité, permet de diminuer le coût de revient du produit et proposer des prix attractifs.

4- L’efficience des équipes s’améliore : la simulation crée un pont entre les bureaux d’études et des méthodes. La puissance de calcul des logiciels CAO-FAO laisse la part belle à une meilleure communication et un travail collaboratif, basés sur des chiffres concrets. Les équipes avancent ensemble, et c’est toute la chaîne CAO-FAO qui gagne en temps, en qualité, et au final, en productivité.

5- L’innovation est favorisée: les essais en production étant plus faciles et moins coûteux, la création de nouveaux produits et concepts gagne en fréquence et en fiabilité.

 

Et s’il était temps pour vous de changer de solution CAO-FAO ?

 

Pour le savoir, il suffit de vous poser les quelques questions fondamentales, qui vous permettront de dire si oui ou non, votre entreprise, à travers votre solution CAO-FAO, est suffisamment armée pour répondre aux enjeux de l’industrie 4.0 … tout simplement.

1) Votre logiciel CAO-FAO est-il en mesure d’assurer une continuité numérique ?

Les données numériques relatives au produit peuvent atteindre une quantité importante. Dès lors, il est impératif que durant tout le cycle de production, les équipes CAO-FAO puissent y accéder et les partager facilement, les mettre à jour en temps réel et surtout, que l’unicité de l’information soit garantie à tous. Votre logiciel doit donc intégrer une suite CFAO/PDM pour capitaliser l’ensemble de votre expertise et votre savoir faire, ainsi que l’historique du produit, de la première idée à sa fin de vie. En assurant cette continuité numérique, votre solution de CAO-FAO vous permet de relever un premier défi de l’usine du futur : celui de la traçabilité, un élément devenu essentiel au gain de productivité et à la compétitivité.

2) Votre logiciel CAO-FAO est-il au service de l’opérateur ?

La plus avancée des technologies n’a de sens que si elle est facilement accessible et exploitable par l’utilisateur final. Or l’une de prérogatives de l’industrie 4.0 consiste à placer l’homme « au centre » des préoccupations, de manière à simplifier son travail et lui permettre de se concentrer sur les tâches à forte valeur ajoutée en automatisant les tâches répétitives. L’ergonomie de votre solution CAO-FAO doit donc permettre une prise en main et un apprentissage rapides, mais aussi simplifier au quotidien les manipulations. Vous l’aurez compris, le challenge ici concerne l’efficacité mais aussi l’efficience des équipes, des vecteurs de productivité et de qualité représentatifs de l’usine du futur.

3) Votre logiciel CAO-FAO présente-t-il une construction paramétrique flexible ?

L’ère de l’industrie 4.0 implique une réactivité à toute épreuve pour répondre aux besoins du marché et des demandes diverses des clients. Il est donc impératif que votre logiciel CAO-FAO supporte l’intégration d’un nombre de paramètres important, et permette leur modification instantanée en cas de besoin, sans reprendre la conception à zéro. Fonctionnalités riches et puissantes, flexibilité d’utilisation, connexion totale entre les systèmes et les machines : autant de conditions inhérentes à la capacité de réaction des équipes de l’usine du futur.

Répondre par la négative à une seule de ces questions doit vous orienter vers un changement de logiciel CAO FAO. Car ce sont les entreprises qui auront su faire évoluer  leurs méthodes de production à travers la combinaison conception intelligente/automatisations pertinentes/connexion au Cloud/processus fiables et traçables/simulation numérique, qui tireront leur épingle du jeu.

Conclusion

Pour accompagner leur transition vers l’usine du futur, la suite logicielle TopSolid CAO/FAO/PDM/ERP propose une gamme de produits adaptés aux industries mécanique, outillage, bois, tôlerie ou encore plasturgie. Les fonctions comme l’usinage de formage ou d’élaboration de pièces, sont diverses et répondent dans tous les cas aux exigences des métiers pour lesquels la machine interagit avec la matière. Accessible, opérationnel et simple d’utilisation, la TopSolid Integrated Digital Factory s’intègre parfaitement à l’environnement des équipes CAO et FAO et se positionne alors comme un véritable moteur du changement en direction de l’industrie 4.0 !

Adieu les frontières entre le Bureau d’Etudes et le Bureau des Méthodes grâce à TopSolid !

Adieu les frontières entre le Bureau d’Etudes et le Bureau des Méthodes grâce à TopSolid !

C’est un fait : métier, mission, méthodes, organisation, outils et habitudes de travail, … tout semble opposer les services Bureau d’Etudes et Bureau des Méthodes, et ce, dans de très nombreuses entreprises. Bien souvent, les deux entités n’évoluent d’ailleurs pas dans le même environnement et sont éloignées géographiquement. L’absence d’interaction entre les deux services est parfois telle, que l’on parle littéralement de « frontière ».

Or, à l’heure de l’industrie 4.0 où la connectivité et la communication tous azimuts constituent un incontournable stratégique, le clivage entre BE et BM tend à devenir une problématique structurante pour les performances de l’entreprise.

Découvrons comment la solution logicielle TopSolid est à même de faire tomber les murs !

1) Bureau d’Etude VS Bureau des Méthodes : deux entités souvent en opposition au sein d’une entreprise

 

A) Rappel des missions de chacun

Bureau d’Etudes

Entre ingénierie et expertise, la mission du bureau d’études (BE), s’articule autour du conseil, de la recommandation et du contrôle :

  • En tant que sous-traitant, le bureau d’études réceptionne et évalue la faisabilité des projets extérieurs qui lui sont confiés.
  • En tant que service intégré chez un fabricant, le BE est chargé de la conception des projets pour les clients de son entreprise.
  • La gestion des projets entre également dans le périmètre d’action du bureau d’études, qui doit en assurer la conformité et la traçabilité.
  • Enfin, le BE élabore un plan détaillé de la conception qu’il transmet au bureau des méthodes.

Une mission novatrice et dédiée au service

 

Bureau des Méthodes

Véritable pivot entre la ligne de production et le bureau d’études, le bureau des méthodes est chargé de concrétiser le projet en provenance du BE. Sa mission revêt plusieurs facettes :

Validation de la faisabilité du produit après étude d’éléments tels que, modélisation, cotes moyennes, géométrie du brut, ou montage d’usinage.

Industrialisation : c’est l’étude des moyens (outils, machines, opérateurs, matériels et équipements) et des solutions à mettre en oeuvre dans le processus de fabrication.

Optimisation de l’organisation du travail (gestion des flux, des accès, des manipulations, …) et de l’usinage (gestion du temps et des coûts), avec pour objectif le gain de productivité.

Surveillance du parc des machines et des équipements : signalement du besoin de maintenance ou de remplacement.

Gestion de la conformité de la production par rapport aux modes opératoires (ordre des opérations, outils utilisés, nombre de personnes et temps nécessaires à la réalisation de chaque tâche).

Une mission plurielle au cœur de laquelle s’inscrit naturellement une nécessité d’ordre stratégique de communication avec le bureau d’études.

Pourtant les échanges entre les deux services sont souvent loin d’être fluides et collaboratifs.

 

B) Deux mondes qui peuvent s’opposer

Créatifs d’un côté, opérationnels de l’autre et incompatibilité d’humeur … la réalité est à peine plus subtile. Par ailleurs, le manque de proximité géographique

Il se trouve que la mission du Bureau d’études réside dans la conception de projets innovants, issus de la R&D et par conséquent présentant une technicité très élaborée. A ce titre, le service peut privilégier ces aspects gratifiants, considérant le BM comme une sorte de sous-traitant, et occultant de ce fait la manière dont vont être industrialisés les projets … voir même leur faisabilité !

Or le Bureau des Méthodes est chargé d’industrialiser les projets émis par le Bureau d’Etudes … une situation endémique met inévitablement en opposition les deux services, le BE défendant l’innovation, et considérant le BM comme un frein à la conception et à la créativité … le BM de son côté ne pouvant pas toujours répondre favorablement au projet conceptuel pour cause de non-solution avérée.

Faut-il pour autant accepter cet état de fait comme une fatalité et « faire avec » ?

2) Les inconvénients d’une opposition trop marquée entre BE et BM

 

Une chose est certaine, les deux services parlent le même langage : celui de la modélisation 3D, des cotes moyennes, de la géométrie du brut, du montage d’usinage ou encore des références de tolérance. Et les occasions d’échanger pour le bon déroulement du projet ne manquent pas : informations nécessaires à l’industrialisation du BE vers le BM, demandes de précisions ou de révision avant lancement de la gamme d’usinage du BM vers le BE.

Mais lorsque la frontière qui sépare les deux services est infranchissable, c’est une cascade de    dysfonctionnements nuisibles pour l’ensemble de l’organisation qui en découle :

  • Perte de temps en discussions post conception, chacun défendant sa position.
  • Multiplication des risques d’erreur et de perte de données en cas d’absence d’interface d’échange direct.
  • Quid de la récupération automatique des propriétés des pièces et des caractéristiques de fabrication pour les correctifs BM ou BE ?
  • Et puis … on en parle de l’ambiance de travail et de la motivation ?

C’est majoritairement de cette lourdeur de fonctionnement que naissent les tensions. La perte de temps liée à un manque de fiabilité et de traçabilité constitue l’ennemi n°1 de l’efficacité. Une situation qui entraîne la hausse des coûts standards, diminue potentiellement la qualité, et grève copieusement et la productivité… sans parler du retard au niveau des délais !

En résumé, tout le contraire de ce qui est attendu pour répondre aux enjeux stratégiques de l’entreprise. Comment, alors, créer le pont entre le bureau d’études et te le bureau des méthodes, pour en finir cette frontière contre-productive ?

 

3) TopSolid : la solution reliant les deux mondes

 

Passer d’une idée de produit à son industrialisation implique dans le contexte actuel lié à l’industrie 4.0, la pratique – et si possible la maîtrise – de plusieurs impératifs dits « de base » :

  • une réflexion commune en amont sur le projet global
  • une information unique, fiable et partagée pour cadrer et sécuriser les échanges
  • une communication fluide et factuelle
  • une réactivité décisionnelle
  • une collaboration réelle et synergique

Aussi, relier et rallier BE et BM s’inscrit dans une logique de synergie des processus, l’objectif étant de parvenir à la gestion rigoureuse des données géométriques, l’orchestration des flux et la collaboration. Un challenge ambitieux, que TOPSOLID SAS relève avec brio !

En effet, développées sur des bases de données communes avec une interface utilisateur homogène, les solutions CAO et FAO TopSolid sont associatives. De plus, la conception intègre tous les outils en adéquation avec la fabrication : les mises à jour des pièces suivent en FAO, et le BM peut même apporter, en accord avec le BE de légères modifications.

A travers cette solution logicielle CFAO ultra aboutie, TopSolid répond à des besoins qui, aujourd’hui, sont vitaux pour l’entreprise :

  • Maîtrise de la DATA: le PDM de la solution gère aussi bien les données techniques BE que BM, permettant ainsi la récupération intégrale des caractéristiques « pièces et fabrication ».
  • Traçabilité: l’outil TopSolid reporte automatiquement les modifications CAO dans la FAO, avec gestion des indices de modification commune.
  • Fluidification et sécurisation des échanges d’informations: avec TopSolid, terminées les  conversions de fichiers, les saisies successives des informations et les risques liés aux erreurs et à la perte de données.
  • Efficacité : en fusionnant les processus conception et fabrication, la collaboration BE et BM s’améliore, stimulant ainsi l’efficacité et la motivation.
  • Accroissement de la productivité et amélioration de la qualité.

Si cette nouvelle configuration des relations entre BE et BM nécessite de savoir mener la gestion du changement (culture d’entreprise, méthodes de travail, outils, …) elle constitue aussi les prémices de la continuité numérique, si essentielle aux exigences industrielles de demain.

Vous l’aurez compris, une communication fluide et collaborative entre le BE et le BM, permet d’effacer la frontière entre les deux services … Et parce que les volumes de données croissent et que les flux doivent être rationnalisés, il est devenu difficile pour les industries, de passer à côté d’une solution logicielle. TopSolid, à travers ses applicatifs CAM, CAD, PDM, et ERP, permet, sur une interface unique, de simplifier les échanges entre BE et BM, d’assurer la cohérence des projets, et de sécuriser les processus de conception fabrication tout en diminuant leur coût. Le gain de temps est colossal et l’efficacité des équipes BE et BM augmente. Au final, c’est la productivité de l’entreprise qui s’améliore … Défi réussi !