[CAS CLIENT] Gestion de projet en industrie des travaux publics : la transition d’Arden Equipment vers une solution TopSolid PDM/CFAO intégrée

[CAS CLIENT] Gestion de projet en industrie des travaux publics : la transition d’Arden Equipment vers une solution TopSolid PDM/CFAO intégrée

Spécialiste de la conception, fabrication et distribution d’outils destinés aux engins de travaux publics, Arden Equipement est leader sur son marché grâce à sa gamme complète d’outils. Deux facteurs essentiels animent son activité : le suivi de l’innovation propre à son secteur par un Bureau d’Études très actif et la volonté d’assurer une interaction continue entre ses équipes et leurs clients.

Dans les années 2010, la société Arden Equipement, alors équipée de la version 6 de TopSolid’Design, a été sollicitée par TOPSOLID SAS pour assurer le rôle d’entreprise pilote dans le cadre du développement de TopSolid 7. La version précédente présentait des limites pour son activité, notamment concernant la rédaction « à l’ancienne » des programmes d’usinage sur les machines-outils et le manque de centralisation des données.

La transition vers TopSolid 7, dont le PDM est totalement intégré, a permis d’optimiser la gestion de projet en reliant le Bureau d’Études au Bureau des Méthodes et Usinage. La simplicité d’utilisation de la solution et la pertinence de ses modules ont ainsi permis un triple bénéfice :

  • une augmentation de la productivité ;
  • un meilleur contrôle de la fiabilité des produits ;
  • une amélioration de la gestion de projet.

 

Pour Stéphane Maiani, responsable Recherche & Développement, TopSolid’Pdm est véritablement « l’outil idéal pour un concepteur » et « constitue une solution partenaire de l’innovation ».

bannière Arden x TOpSolid
[CAS CLIENT] Comment TOPSOLID a répondu aux attentes clients de CKP Engineering ?

[CAS CLIENT] Comment TOPSOLID a répondu aux attentes clients de CKP Engineering ?

Entreprise française implantée dans les Landes, CKP Engineering est spécialisée dans la mobilité. Calculs de structures, powertrain, mobilité hydrogène et électrique, cinématique du sport… Depuis 2017, cette PME accompagne de multiples industriels dans leurs projets d’innovation.

Si au départ CKP Engineering utilisait Catia V5 pour la CAO et la réalisation de maquettes numériques, l’impossibilité de mettre à disposition des licences pour chacun des experts de son réseau a vite constitué un point bloquant. CKP Engineering s’est alors mis en quête d’un outil CFAO en phase avec ses exigences en termes d’agilité, d’accélération de la conception et de maîtrise des coûts. 

Plus précisément, CKP Engineering avait besoin d’acheter (et non de louer !) une solution locale et hybride de CFAO qui comprendrait :

  • Une partie « solide », c’est-à-dire la possibilité de modéliser les formes en 3D pour les pièces usinées
  • Une partie « mécanisme » de manière à pouvoir valider les cinématiques des pièces en mouvement
  • Le tout, dans un outil agile, intuitif et facile à prendre en main

Un cahier des charges précis et exigeant, auquel TOPSOLID a su répondre haut la main ! Découvrez dans ce cas client comment et pourquoi CKP Engineering a choisi de faire confiance à TOPSOLID.

Bannière-blog-CKP
[CAS CLIENT] Indmor : comment l’utilisation d’une solution « tout-en-un » a révolutionné le quotidien de l’entreprise brésilienne

[CAS CLIENT] Indmor : comment l’utilisation d’une solution « tout-en-un » a révolutionné le quotidien de l’entreprise brésilienne

Fondée à São Paulo en 1985, le bureau d’études Indmor est spécialisé dans la conception et la construction de dispositifs de contrôle pour les principales entreprises automobiles. Pendant longtemps, cette société brésilienne utilisait trois logiciels différents pour réaliser ses jauges : un logiciel pour la conception, un pour le dessin et un pour la programmation des usinages. Absence d’intégration, manque de communication, perte de temps… Les bonnes raisons de passer à une solution tout-en-un ne manquaient pas ! Indmor s’est alors tourné vers TopSolid, non seulement pour gagner en productivité, mais surtout pour assurer la pérennité de l’entreprise.

 

« La mise en œuvre d’un nouveau logiciel n’a pas seulement eu pour but d’augmenter la productivité : il en allait de la survie de l’entreprise. Fabriquer en moins de temps et intégrer ces solutions était d’une importance capitale, or nous n’en disposions pas. Lorsque nous avons su qu’il existait un logiciel qui englobait tous ces systèmes et que nous pouvions disposer d’une bibliothèque constituée de tous les composants, cela nous a parfaitement convenu car c’était précisément ce dont nous avions besoin pour rester sur le marché. », explique Jóris Augusto Morelli, Fondateur d’Indmor.

 

Indmor x TopSolid : un gain de productivité exceptionnel !

A l’usage, l’utilisation de TopSolid a permis à Indmor de bénéficier de résultats très intéressants :

  • + 30 % de modélisations grâce à TopSolid’Design
  • 70 à 80 % de temps en moins pour les dessins de détail
  • – 30% en termes de temps de programmation

Découvrez dans ce cas client comme l’utilisation conjointe de TopSolid’Design, TopSolid’Cam, TopSolid’Tool et TopSolid’Erp a permis à la société Indmor de gagner de précieuses heures de la conception à l’usinage.

ERP généraliste ou ERP métier : lequel privilégier ?

ERP généraliste ou ERP métier : lequel privilégier ?

L’ERP permet de centraliser et de stocker les données de l’entreprise, et de faire circuler l’information à des fins d’exploitation. L’objectif : un gain de productivité considérable. Cet outil numérique, à l’heure de la transformation digitale, fait figure d’indispensable. Quelle solution choisir ? Il en existe différents types. Sur-mesure, ERP généraliste ou ERP métier : on vous explique les différences, les avantages et les inconvénients respectifs de ces outils pour vous aider à faire le bon choix.

Choisir votre ERP : quelles possibilités ?

 

A chaque métier ses spécificités, et aucun ERP n’est conçu pour répondre à la totalité des problématiques. Dans ce contexte, certaines entreprises misent sur une solution « sur-mesure » : elles investissent dans le développement de leur propre outil, parfaitement adapté aux problématiques qu’elles rencontrent au moment d’opter pour l’ERP sur-mesure.

Cette option présente néanmoins des inconvénients :

  • Le maintien de l’outil en conditions opérationnelles représente une charge lourde sur le plan financier.
  • La pérennité de l’ERP sur-mesure est fragile, dans la mesure où elle repose souvent sur une personne unique. Quid en cas de départ à la retraite, par exemple ?

Le choix de cette solution est guidé par une volonté d’ultra-spécialisation : l’outil de centralisation des données est précisément conçu eu égard aux besoins de l’entreprise. Lorsque les besoins évoluent, néanmoins, l’entreprise peut vite se retrouver dans une impasse. Les changements de process internes ne peuvent être pris en charge par l’ERP, les collaborateurs se retrouvent avec un outil de moins en moins exploitable.

Face à ce constat, il peut s’avérer judicieux de préférer un outil « standard ». Il en existe 2 types : l’ERP métier ou généraliste.

 

ERP métier VS ERP généraliste : tout savoir pour mieux choisir

 

L’ERP généraliste nécessite une verticalisation

Une solution généraliste – également ERP horizontal ou transversal – est un modèle standard. Pour pouvoir être exploité par l’entreprise à des fins de gain de performance, celle-ci peut vouloir l’adapter au « métier ». On parle de verticalisation. Pour verticaliser l’outil, l’entreprise fait appel à un intégrateur.

  • Pour adresser les bonnes problématiques, l’intégrateur doit impérativement comprendre et connaître le métier. A défaut, l’approximation voue le projet à l’échec.
  • L’entreprise doit tenir compte des délais au moment de mettre en œuvre sa solution. La verticalisation de l’ERP généraliste, en effet, requiert un volume de travail important, qui inclut des développements parfois très techniques. Au-delà du temps à courir entre les différentes phases de maquettage et de tests, l’entreprise doit prévoir à cet effet un budget adapté – et élevé.

L’intégrateur de l’outil pousse à la verticalisation de l’ERP généraliste, ses revenus repose principalement sur la vente de prestations de services. Attention : cette voie n’est donc pas nécessairement à privilégier. Parce que l’intégrateur n’est pas toujours spécialiste métier, et parce que le temps de déploiement et les coûts sont importants. S’adapter au logiciel plutôt que l’adapter au métier est souvent préférable.

A noter : autre écueil de la verticalisation de l’ERP généraliste, les changements de versions exigent une migration supervisée par l’intégrateur. Celui-ci doit en effet vérifier et revalider tous les développements spécifiques réalisés pour l’entreprise. Une équipe projet est mise en place dans ce cadre, les coûts ne sont pas négligeables.

L’ERP métier est verticalisé par défaut

L’ERP métier est un ERP vertical : il est conçu métier, il fait figure de solution clé en main, immédiatement fonctionnelle et spécialisée.

  • Pensé par un éditeur spécialisé, l’outil est apte à adresser les problématiques métier spécifiques.
  • L’entreprise profite de la capitalisation de l’expérience : au fur et à mesure des retours clients, l’éditeur a affiné les fonctionnalités de l’outil pour s’adapter de manière ultra précise aux spécificités métier.
  • Le déploiement de la solution est plus simple et plus rapide. L’ERP standard en effet ne nécessite pas – ou peu – d’adaptations fonctionnelles. En comparaison avec l’ERP généraliste, les nouvelles versions de l’ERP métier sont mises en œuvre sans les lourdes phases de test.

A priori, il est recommandé de faire le choix de l’outil métier. Mais attention : encore faut-il identifier l’ERP le mieux adapté et gage de pérennité.

Différences ERP généraliste / ERP métier en pratique

Pour illustration, voici un exemple pour les métiers de la sous-traitance mécanique :

  • Avec un ERP généraliste, la gestion des matières n’existe pas en tant que telle. Il est souvent nécessaire de paramétrer l’outil, voire de développer les spécificités liées à la définition des matières – formes, dimensions, matrice de conversion d’unités… Les process de gestion également nécessitent des adaptations. Approvisionnement, GPAO, CBN doivent pouvoir prendre en compte les données de la fiche matière. La mise en œuvre est d’autant plus complexe qu’il s’agit d’un fonctionnel transversal.
  • Avec un ERP métier, le fonctionnel est déjà en place, à la fois pour les définitions de base (gestion des formes, dimensions, matrices de conversion…) et pour la gestion (CBN, stocks, approvisionnements…).

Autres lacunes notables de l’ERP généraliste :

  • Il requiert des modules d’éditeurs tiers pour traiter l’ordonnancement d’atelier. Un bon ERP métier intègre ce module en natif.
  • L’outil généraliste n’adresse pas le besoin de gestion des normes matières dans le cadre de la supervision des process qualité – un enjeu central notamment dans la sous-traitance aéronautique. Le bon ERP métier traite ce besoin en standard.
  • Verticaliser un ERP généraliste est essentiel pour assurer la traçabilité de gestion des matières, et les coûts sont importants. Le bon ERP métier propose par défaut un fonctionnel complet.

Le choix de l’ERP se révèle stratégique en matière de performance attendue mais également d’investissement sur le long terme. Il est donc crucial, de bien évaluer les possibilités de gain de productivité que l’outil choisi sera en mesure d’assurer.  A ce titre, parce qu’elle est orientée ERP métier, qu’elle associe nativement la CFAO et qu’elle personnalisable, c’est la solution TopSolid’Erp qui s’impose comme la plus à même de relever le défi.

 

Associer l’ERP métier ou l’outil de gestion de l’entreprise à sa CFAO : pourquoi est-ce indispensable ?

 

Il se trouve que les enjeux de la CFAO et ceux de la gestion globale de l’entreprise, convergent dans la même direction. En effet, les besoins évoluant rapidement et perpétuellement, il s’agit pour le sous traitant ou le fabriquant, de faire preuve de réactivité afin d’y répondre plus vite que la concurrence, de manière plus qualitative, et à moindre coût … tout est question de productivité et de compétitivité.

La problématique vient du fait que lors des phases de conception et de fabrication, des processus de gestion des pièces et des produits interviennent. Il faut saisir successivement les données techniques dans le PDM, et les données de gestion dans l’ERP métier, les informations transitant d’un service à l’autre. Les erreurs, la perte de temps considérable, le manque de traçabilité qui en découlent, constituent autant de conséquences lourdes, qui nuisent directement à la performance attendue … et nécessaire.

La solution consiste à produire et gérer les pièces d’un seul tenant en liant gestion technique et gestion d’entreprise. Comment ? En associant CFAO et ERP métier pour créer un circuit vertueux de l’efficacité : d’une part l’ERP métier émet les ordres de fabrication et de l’autre, la CFAO envoie en temps réel les informations liées à la production.

En associant ERP métier et CFAO, force est de constater que les avantages cumulés sont de taille :

  • Les informations sont centralisées, mises à jour et accessibles à tout moment pour tous les services : ni perte de données, ni erreur à déplorer.
  • De fait les méthodes sont préservées sur le long terme et le savoir-faire est capitalisé de manière optimale : la traçabilité est maximale.
  • Gérés par un outil unique, les process sont fluidifiés et sécurisés : leur fiabilité et leur dynamisme sont garantis.

En définitive une solution logicielle intégrant CFAO et ERP métier vous permet à travers la sécurisation et la connexion en temps réel des données techniques et de gestion, de gagner en temps, en réactivité et en qualité … le cocktail optimum pour une hausse de productivité ! CQFD.

 

TopSolid’Erp : quand un ERP métier entièrement intégré avec la CFAO change la vie de l’entreprise

 

Plus qu’une CFAO, plus qu’un ERP métier, TopSolid’Erp propose une solution complète et user friendly de GPAO (Gestion de la Production Assistée par Ordinateur) au périmètre très large. Ce modèle de gestion industrielle unique présente quatre avantages structurants et différenciants :

1- les données CFAO sont prises en compte dans les flux de gestion,

2- les informations commerciales et  techniques sont mutualisées,

3- les processus liés au métier sont nativement intégrés,

4-paramétrable, l’outil s’adapte aux spécificités stratégiques et décisionnelles de l’entreprise.

En outre, l’ERP métier TopSolid, intégré avec la CFAO, offre un panel de facilités qui fluidifient, optimisent et sécurisent les process au quotidien.

Un ERP métier ergonomique pour gagner du temps

La suite logicielle TopSolid CAO/FAO/ERP/PDM présente les avantages d’une prise en main rapide et d’une navigation intuitive :

  • les données étant centralisées, leur accès ainsi que la recherche d’information sont considérablement accélérés (menus contextuels et barre d’outils faciles à exploiter).
  • la saisie répétitive, activité hautement chronophage – et source d’erreurs – est bannie au profit du clic unique (par exemple pour basculer du devis à la commande ou de la commande au bon de livraison).
  • l’interface offre un affichage adapté à chaque profil: menus et écrans personnalisables, notifications de tâches, indicateurs de flux et de suivi d’objectif, …

Un ERP métier pour simplifier le travail et optimiser la performance

La mutualisation des informations commerciales et techniques ainsi que la définition de règles en amont permettent des interactions ERP métier et CFAO plus cohérentes et productives. Elles s’inscrivent d’ailleurs totalement dans les exigences liées à la mouvance permanente du contexte et des besoins :

  • la connexion en temps réel des dossiers de fabrication CFAO et de la gestion des articles, des gammes ou des nomenclatures, permet de mieux maîtriser les processus d’approvisionnement et de vente.
  • les interfaces de communication entre dossiers de fabrication et flux de production étant supprimées, la gestion devient plus agile et la réactivité est accrue.
  • l’automatisation des tâches à moindre valeur ajoutée est plus facile à mettre en oeuvre, les dossiers de fabrication étant nativement liés aux données techniques et aux flux de la gestion de production.

Les équipes gagnent alors en temps, en réactivité et en efficacité.

 

Un ERP métier pour piloter son activité industrielle et améliorer la qualité

TopSolid’Erp présente une palette d’outils destinés à gérer la production de manière très précise :

  • Le module d’ordonnancement natif pour maîtriser le ratio charge/capacités de production, les disponibilités et les délais.
  • Le pilote d’atelier qui centralise les documents et les instructions CFAO, ce qui favorise la réactivité à court terme.
  • Des outils décisionnels (requêteur et bibliothèque de modèles personnalisée) pour suivre l’activité industrielle.
  • Un paramétrage permettant d’exploiter des champs personnalisés dans les indicateurs, consultations ou workflows.
  • Une conformité aux normes ISO 9001 et EN 9100 avec traitement automatique des critères qualité.

En combinant les bons outils, des fonctions puissantes, et une stricte traçabilité, la qualité et la satisfaction client s’améliorent considérablement.

Avec la suite logicielle TopSolid, l’ERP métier et la CFAO intégrés deviennent des facteurs de succès qui répondent à 100% aux exigences de l’industrie 4.0 … avec l’avantage d’améliorer les conditions de travail !

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

Implémenter un ERP métier : par où commencer pour changer de solution ?

 

Vous êtes à présent convaincu que l’ERP métier est indispensable à la structuration de vos processus et à l’optimisation des coûts … Il s’agit maintenant de mettre en œuvre le projet. Pour y parvenir de manière cohérente et sereine nous vous proposons une méthodologie en 5 temps :

1 – Définissez les objectifs de votre ERP métier : quelles sont les raisons pour lesquelles il doit être mis en place, quels points doivent être améliorés et quelles sont les données clés de votre activité ?

2 – Rédigez un cahier des charges détaillé pour légitimer le projet ERP métier : il devra en outre préciser pour chaque étape les processus relatifs à l’activité, et lister les spécificités et les contraintes qui en découlent.

3 – Mettez en place une équipe légitimée, dédiée au projet de votre ERP métier. Instaurez également une fréquence de suivi de gestion avec la direction.

4 – Choisissez votre solution en tenant compte de son adéquation avec votre métier, de ses possibilités de personnalisation, et du format d’accompagnement proposé par l’éditeur.

5 – Anticipez la formation continue des équipes en collaboration avec l’éditeur, et en fonction de l’évolution des besoins de l’entreprise.

 

Vous l’aurez compris, réussir une transition vers l’industrie 4.0 et ses exigences bien spécifiques passe inévitablement par des systèmes performants et interconnectés, dont un ERP métier intégrant la CFAO. Une interaction d’autant plus nécessaire qu’elle permet à l’entreprise d’améliorer ses performances pour mieux servir les besoins du marché.

Avec TopSolid’Erp la communication entre les différents services est simplifiée et l’échange de données fiabilisé ; le travail des équipes en partie automatisé et les contraintes atténuées permettent  une meilleure efficacité opérationnelle et une réactivité accrue ; enfin, le pilotage de l’activité est affiné pour une qualité et une satisfaction client optimales … des éléments qui contribuent largement à répondre aux enjeux de compétitivité et de productivité auxquels l’entreprise doit, et devra faire face.

Adieu les frontières entre le Bureau d’Etudes et le Bureau des Méthodes grâce à TopSolid !

Adieu les frontières entre le Bureau d’Etudes et le Bureau des Méthodes grâce à TopSolid !

C’est un fait : métier, mission, méthodes, organisation, outils et habitudes de travail, … tout semble opposer les services Bureau d’Etudes et Bureau des Méthodes, et ce, dans de très nombreuses entreprises. Bien souvent, les deux entités n’évoluent d’ailleurs pas dans le même environnement et sont éloignées géographiquement. L’absence d’interaction entre les deux services est parfois telle, que l’on parle littéralement de « frontière ».

Or, à l’heure de l’industrie 4.0 où la connectivité et la communication tous azimuts constituent un incontournable stratégique, le clivage entre BE et BM tend à devenir une problématique structurante pour les performances de l’entreprise.

Découvrons comment la solution logicielle TopSolid est à même de faire tomber les murs !

1) Bureau d’Etude VS Bureau des Méthodes : deux entités souvent en opposition au sein d’une entreprise

 

A) Rappel des missions de chacun

Bureau d’Etudes

Entre ingénierie et expertise, la mission du bureau d’études (BE), s’articule autour du conseil, de la recommandation et du contrôle :

  • En tant que sous-traitant, le bureau d’études réceptionne et évalue la faisabilité des projets extérieurs qui lui sont confiés.
  • En tant que service intégré chez un fabricant, le BE est chargé de la conception des projets pour les clients de son entreprise.
  • La gestion des projets entre également dans le périmètre d’action du bureau d’études, qui doit en assurer la conformité et la traçabilité.
  • Enfin, le BE élabore un plan détaillé de la conception qu’il transmet au bureau des méthodes.

Une mission novatrice et dédiée au service

 

Bureau des Méthodes

Véritable pivot entre la ligne de production et le bureau d’études, le bureau des méthodes est chargé de concrétiser le projet en provenance du BE. Sa mission revêt plusieurs facettes :

Validation de la faisabilité du produit après étude d’éléments tels que, modélisation, cotes moyennes, géométrie du brut, ou montage d’usinage.

Industrialisation : c’est l’étude des moyens (outils, machines, opérateurs, matériels et équipements) et des solutions à mettre en oeuvre dans le processus de fabrication.

Optimisation de l’organisation du travail (gestion des flux, des accès, des manipulations, …) et de l’usinage (gestion du temps et des coûts), avec pour objectif le gain de productivité.

Surveillance du parc des machines et des équipements : signalement du besoin de maintenance ou de remplacement.

Gestion de la conformité de la production par rapport aux modes opératoires (ordre des opérations, outils utilisés, nombre de personnes et temps nécessaires à la réalisation de chaque tâche).

Une mission plurielle au cœur de laquelle s’inscrit naturellement une nécessité d’ordre stratégique de communication avec le bureau d’études.

Pourtant les échanges entre les deux services sont souvent loin d’être fluides et collaboratifs.

 

B) Deux mondes qui peuvent s’opposer

Créatifs d’un côté, opérationnels de l’autre et incompatibilité d’humeur … la réalité est à peine plus subtile. Par ailleurs, le manque de proximité géographique

Il se trouve que la mission du Bureau d’études réside dans la conception de projets innovants, issus de la R&D et par conséquent présentant une technicité très élaborée. A ce titre, le service peut privilégier ces aspects gratifiants, considérant le BM comme une sorte de sous-traitant, et occultant de ce fait la manière dont vont être industrialisés les projets … voir même leur faisabilité !

Or le Bureau des Méthodes est chargé d’industrialiser les projets émis par le Bureau d’Etudes … une situation endémique met inévitablement en opposition les deux services, le BE défendant l’innovation, et considérant le BM comme un frein à la conception et à la créativité … le BM de son côté ne pouvant pas toujours répondre favorablement au projet conceptuel pour cause de non-solution avérée.

Faut-il pour autant accepter cet état de fait comme une fatalité et « faire avec » ?

2) Les inconvénients d’une opposition trop marquée entre BE et BM

 

Une chose est certaine, les deux services parlent le même langage : celui de la modélisation 3D, des cotes moyennes, de la géométrie du brut, du montage d’usinage ou encore des références de tolérance. Et les occasions d’échanger pour le bon déroulement du projet ne manquent pas : informations nécessaires à l’industrialisation du BE vers le BM, demandes de précisions ou de révision avant lancement de la gamme d’usinage du BM vers le BE.

Mais lorsque la frontière qui sépare les deux services est infranchissable, c’est une cascade de    dysfonctionnements nuisibles pour l’ensemble de l’organisation qui en découle :

  • Perte de temps en discussions post conception, chacun défendant sa position.
  • Multiplication des risques d’erreur et de perte de données en cas d’absence d’interface d’échange direct.
  • Quid de la récupération automatique des propriétés des pièces et des caractéristiques de fabrication pour les correctifs BM ou BE ?
  • Et puis … on en parle de l’ambiance de travail et de la motivation ?

C’est majoritairement de cette lourdeur de fonctionnement que naissent les tensions. La perte de temps liée à un manque de fiabilité et de traçabilité constitue l’ennemi n°1 de l’efficacité. Une situation qui entraîne la hausse des coûts standards, diminue potentiellement la qualité, et grève copieusement et la productivité… sans parler du retard au niveau des délais !

En résumé, tout le contraire de ce qui est attendu pour répondre aux enjeux stratégiques de l’entreprise. Comment, alors, créer le pont entre le bureau d’études et te le bureau des méthodes, pour en finir cette frontière contre-productive ?

 

3) TopSolid : la solution reliant les deux mondes

 

Passer d’une idée de produit à son industrialisation implique dans le contexte actuel lié à l’industrie 4.0, la pratique – et si possible la maîtrise – de plusieurs impératifs dits « de base » :

  • une réflexion commune en amont sur le projet global
  • une information unique, fiable et partagée pour cadrer et sécuriser les échanges
  • une communication fluide et factuelle
  • une réactivité décisionnelle
  • une collaboration réelle et synergique

Aussi, relier et rallier BE et BM s’inscrit dans une logique de synergie des processus, l’objectif étant de parvenir à la gestion rigoureuse des données géométriques, l’orchestration des flux et la collaboration. Un challenge ambitieux, que TOPSOLID SAS relève avec brio !

En effet, développées sur des bases de données communes avec une interface utilisateur homogène, les solutions CAO et FAO TopSolid sont associatives. De plus, la conception intègre tous les outils en adéquation avec la fabrication : les mises à jour des pièces suivent en FAO, et le BM peut même apporter, en accord avec le BE de légères modifications.

A travers cette solution logicielle CFAO ultra aboutie, TopSolid répond à des besoins qui, aujourd’hui, sont vitaux pour l’entreprise :

  • Maîtrise de la DATA: le PDM de la solution gère aussi bien les données techniques BE que BM, permettant ainsi la récupération intégrale des caractéristiques « pièces et fabrication ».
  • Traçabilité: l’outil TopSolid reporte automatiquement les modifications CAO dans la FAO, avec gestion des indices de modification commune.
  • Fluidification et sécurisation des échanges d’informations: avec TopSolid, terminées les  conversions de fichiers, les saisies successives des informations et les risques liés aux erreurs et à la perte de données.
  • Efficacité : en fusionnant les processus conception et fabrication, la collaboration BE et BM s’améliore, stimulant ainsi l’efficacité et la motivation.
  • Accroissement de la productivité et amélioration de la qualité.

Si cette nouvelle configuration des relations entre BE et BM nécessite de savoir mener la gestion du changement (culture d’entreprise, méthodes de travail, outils, …) elle constitue aussi les prémices de la continuité numérique, si essentielle aux exigences industrielles de demain.

Vous l’aurez compris, une communication fluide et collaborative entre le BE et le BM, permet d’effacer la frontière entre les deux services … Et parce que les volumes de données croissent et que les flux doivent être rationnalisés, il est devenu difficile pour les industries, de passer à côté d’une solution logicielle. TopSolid, à travers ses applicatifs CAM, CAD, PDM, et ERP, permet, sur une interface unique, de simplifier les échanges entre BE et BM, d’assurer la cohérence des projets, et de sécuriser les processus de conception fabrication tout en diminuant leur coût. Le gain de temps est colossal et l’efficacité des équipes BE et BM augmente. Au final, c’est la productivité de l’entreprise qui s’améliore … Défi réussi !