Il n’y a pas que les machines qui doivent être bien huilées, la collaboration dans l’atelier aussi ! La productivité d’un atelier repose en effet sur deux composantes : de bons outils technologiques et une complémentarité des compétences. Si les projets nécessitent l’intervention d’expertises diverses au sein de l’organisation, il est important de donner aux techniciens un outil logiciel qui leur permette de coordonner leurs missions en temps réel. Car on le sait, un atelier désorganisé entraînera nécessairement des loupés, des retards et son lot de frustration pour les techniciens mais surtout leurs responsables… et par ruissellement pour leurs clients. Le recours à une solution de gestion de planning et de projet peut alors s’avérer nécessaire. Voici quelques bonnes pratiques à suivre pour collaborer plus efficacement au sein de l’atelier.

Evaluer la charge de travail de vos techniciens

Dans tout bon management de projet, le responsable d’atelier doit avoir une vision à 360° de ce qu’il s’y passe et de qui fait quoi et quand. Si face aux nombreuses demandes, le recours à de la manutention supplémentaire peut s’avérer utile, il est également prioritaire d’évaluer la charge de travail de chaque collaborateur afin de bien cerner les besoins dans l’atelier. Avez-vous mis en place des processus standards qui peuvent être industrialisés et répliqués par d’autres mécaniciens ? Si ce n’est pas le cas, cela vous aidera à évaluer les besoins de votre personnel.

Dématérialiser les processus contraignants

Collaborer efficacement dans l’atelier, c’est aussi utiliser la dématérialisation pour s’exempter de certains processus fastidieux mais nécessaires. C’est notamment le cas des vérifications des pièces mécaniques lorsqu’elles sont réalisées par des sous-traitants. En effet, un client va vouloir que les techniciens réalisent un contrôle de qualité des pièces produites. Si celui-ci se fait à la main, il sera, évidemment, plus facilement sujet à des erreurs et moins fiables, car il portera sur un échantillon plus limité de pièces. Dématérialiser le procédé par un logiciel (TopSolid’Inspection par exemple) vous permettra d’automatiser toutes les étapes du processus de vérification et de gagner du temps. En outre, il laissera l’opportunité aux équipes de se concentrer sur des tâches diverses qu’ils n’auraient pas nécessairement eu le temps de faire sans un outil adapté.

La gamme de solutions CAO, FAO, PDM et ERP TopSolid

TopSolid’ShopFloor, logiciel multifonctions pour collaborer efficacement

Rien ne sert d’avoir mille outils si leur trop grand nombre est un frein à la collaboration. TOPSOLID l’a bien compris. Partenaire des industries 4.0., TOPSOLID est en recherche perpétuelle pour trouver les solutions ad hoc et innovantes répondant aux contraintes des industries mécaniques, du bois, de l’acier et du métal. C’est sous ce prisme que la société a développé TopSolid’ShopFloor, logiciel multifonctions qui combine la gestion des programmes CN à celle des outils, des stocks et de l’entreposage. L’outil sort une image en direct du parc machines et des interfaces pour tous les systèmes périphériques.

Avec TopSolid’ShopFloor, vous améliorez l’organisation générale de l’atelier, de façon modulaire, en centralisant les données de production des pièces. Mais ce n’est pas le seul argument en sa faveur. Non seulement cette solution digitale vous permet de réduire les temps de préparation machine en communiquant les bons programmes et les bonnes listes d’outils avec les moyens de production et de mesure, mais en plus elle assure la traçabilité des modifications de programmes et la localisation, le suivi et le taux d’utilisation des outils. Enfin, TopSolid’ShopFloor vous connecte à tous les systèmes de l’environnement de production tels que la MOCN, les bancs de préréglages, les systèmes de stockage, etc.

Vous êtes à la recherche d’une solution qui aidera toutes les parties prenantes de l’atelier à collaborer plus efficacement ? Avec TopSolid’ShopFloor, vous aurez l’assurance de gagner en productivité et d’améliorer continuellement vos processus dans l’atelier. Contactez-nous !

« Combien ça va me coûter ? » Cette phrase, vous l’avez entendue plus d’une fois lorsque vous vous retrouvez à négocier avec un donneur d’ordres. Arrive alors le moment tant attendu de présenter le devis et là, que faire ? Présenter un devis estimatif en essayant d’être le plus compétitif possible ou un devis ajusté aux temps d’usinage qui collera évidemment mieux à la réalité du travail ? Face à la concurrence de la sous-traitance mécanique, la première option peut vite être utilisée car elle est plus simple. Pourtant la seconde présente bien plus d’avantages. On vous en dit un peu plus.

Se démarquer face à la concurrence

Dans son rôle de chef de projet, le donneur d’ordres cherche l’offre la plus avantageuse financièrement, celle qui ne laisse pas de place à l’approximation. Si la crise sanitaire avait obligé les donneurs d’ordre à internaliser leurs activités, la tendance semble repartie à l’externalisation. Et face à ça, les prestataires low-cost continuent d’émerger et de les assommer de campagnes d’e-mailing promouvant leurs faibles coûts. Résultat ? Cette concurrence acerbe contraint certains sous-traitants à refuser d’entrée en compétition sur des appels d’offres en se sachant déjà perdants au jeu du « qui sera le plus rentable ». Mais comment réussir à se distinguer dans un contexte déjà en tension ?

Dès lors, pourquoi ne pas changer son fusil d’épaule et présenter des devis, pas moins élevés mais qui colleront à la réalité ? En maîtrisant le temps de fabrication d’une pièce, vous maîtrisez tout le reste : marge commerciale, remise, négociation… et même planification de la production. Dès lors, le bénéfice est double. Le donneur d’ordre s’évite de mauvaises surprises une fois le devis signé et le sous-traitant peut maîtriser ses coûts de fonctionnement et sa gestion comptable. Quant à sa crédibilité face à la concurrence, elle est assurée !

La gamme de solutions CAO, FAO, PDM et ERP TopSolid

Déterminer plutôt qu’estimer

Comme le dit l’adage « le temps, c’est de l’argent », or quand il s’agit de deviser le temps d’usinage, les choses se compliquent et souvent l’estimation apparaît comme une solution de facilité pour aller au plus vite et diffuser des devis à la chaîne. Or deux conséquences peuvent survenir :

• Soit le prix est surélevé et donc prohibitif pour un client sollicité de toutes parts par des sous-traitants alertes.
• Soit le prix de fonctionnement est sous-estimé et dans ce cas, c’est le sous-traitant qui en pâtira lorsqu’il s’agira de calculer ses marges.

Quelles que soient la maturité du deviseur et la complexité de la pièce, un sous-traitant qui reviendra vers son client pour renégocier ses tarifs risquera d’être taxé d’amateurisme. C’est pourquoi calculer le temps d’usinage prend tout son sens dans la réalisation de son devis. Non seulement, vous vous assurez que le coût de revient sera le plus adéquat possible de la réalité, mais en plus votre marge de négociation sera plus élevée. Si vous proposez un tarif juste et réel, vos remises seront par essence plus cohérentes, et à vous les nouveaux bons de commande.

Lire aussi : Calcul des temps d’usinage : une valeur incontournable dans un devis technique d’usinage

Désengorger et sécuriser le poste devis en déléguant les chiffrages

Le chiffrage de l’estimation de temps ne doit plus être simplement l’apanage des deviseurs ou usineurs d’expérience. Leur laisser être l’unique responsable de cette tâche peut vite se transformer en un poids :

• Pour le salarié: il risque de se retrouver acculé face à la montagne de devis à présenter.
• Pour l’entreprise: se reposer sur le savoir-faire d’une poignée de personnes – souvent unique dans les entreprises de moins de 40 salariés – peut s’avérer coûteux quand on sait que des usineurs expérimentés sont rares à recruter et donc plus chers… Sans compter sur la dépendance et le risque de perte de ce savoir-faire que cela peut créer.

Le recours à une solution informatisée prend alors tout son sens puisqu’il permet de :

• standardiser les processus, reproduisibles par les plus novices en usinage.
• offrir plusieurs méthodes de chiffrages adaptées au degré de maturité du deviseur.
• capitaliser le savoir-faire de l’entreprise et le mettre à disposition de tous les intervenants.

Industrialiser sa production de devis avec TopSolid’PartCosting

Calculer son temps d’usinage avec un outil fiable vous fera évidemment gagner du temps. Mais comment y arriver facilement ?

Facilitateur et fiabilisateur de devis, TopSolid’PartCosting est un logiciel qui s’adresse à toute société du domaine de la mécanique (usinage, tôlerie, chaudronnerie, décolletage) qui souhaite plus de précision dans la réalisation de ses devis. Que vous soyez un deviseur expérimenté ou encore peu initié à l’usinage, vous pourrez exploiter le module en toute simplicité, il se charge de tout ! Par exemple, vous pourrez exploiter les plans de pièces en 2D – aux formats scans, pdf,dwg, dxf – et 3D – en format step et iges – pour en décomposer les usinages. Pas de risque d’oubli, l’outil tient compte de toutes les composantes de la fabrication de la pièce : caractéristiques, matière et brut usinés, gestion de la sous-traitance et des achats externes, gamme de fabrication. En outre, il permet de maîtriser les paramètres influant sur le prix final, tels que les coûts non récurrents et les variantes de quantité. Vous pourrez retrouver des bibliothèques paramétrables et des fonctionnalités spécialisées selon votre entreprise et son domaine d’activité. Au final, l’émission des devis n’en sera que plus rapide. Avec l’outil TopSolid’PartCosting, même la mécanique passe à l’ère du numérique !

Utilisé de manière indépendante ou relié à votre outil de GPAO/ERP, TopSolid’PartCosting constitue une offre unique capable d’alimenter les données de la chaîne numérique et de les consolider, du devis à l’atelier de production. En plaçant la simplicité et la performance au service de l’entreprise de production, TOPSOLID SAS se positionne comme expert du devis technique.

Fabriquer toujours plus vite, mieux, et en une seule prise de préférence… Tel est le défi auquel les industriels sont sommés de répondre au quotidien. Une tâche qui s’avère d’autant plus complexe que la bataille du « Time to market » le plus court est menée avec force et véhémence. Et évidemment, pas question de rogner sur la qualité et la compétitivité. A ce titre, les technologies et l’automatisation aident grandement les services conception/fabrication ainsi que les ateliers, à relever ce colossal enjeu.

Cependant, si les programmes d’usinage qui pilotent des MOCN (Machines Outils à Commande Numérique) associées aux logiciels FAO (Fabrication Assistée par Ordinateur) constituent des merveilles de performance, les dispersions d’usinage subsistent. Et justement les pertes de matière et les collisions en résultant constituent un risque pour la productivité.

Afin d’enrayer ce type de dysfonctionnement potentiel, l’optimisation des trajectoires au sein des programmes d’usinage constitue l’un des leviers majeurs actuels, permettant de gagner du temps à moindre coût.  Démonstration avec TopSolid’Cam !

Programmes d’usinage : optimiser les trajectoires pour optimiser la production

Le parcours des outils peut s’avérer complexe à programmer de manière précise, notamment lorsqu’il s’agit d’usiner des pièces complexes. On pense aux pièces très encombrantes, à celles nécessitant plusieurs têtes d’usinage ou de nombreuses trajectoires, ou encore présentant des zones difficilement accessibles, …  De manière générale, les paramètres à prendre en compte pour la mise au point des trajectoires d’usinage sont nombreux : l’environnement machine, les contraintes cinématiques et géométriques de la pièce, la gestion des tolérances, les risques d’échauffement, et les caractéristiques des outils coupants. L’enjeu consiste alors à pouvoir contrôler et coordonner les opérations et les trajectoires d’usinage sur l’ensemble du processus de fabrication.

A ce titre, on observe depuis quelques temps la mise en œuvre de nouvelles stratégies d’usinage assisté par ordinateur, associées à des outils coupants tels que les fraises en carbure monobloc, et qui offrent donc de meilleures possibilités pour optimiser les trajectoires. On parle ici de fraisage dynamique ou d’ébauche avancée. La particularité de ce type d’usinage consiste à enlever la matière de manière homogène, même en géométrie complexe. C’est le cas par exemple d’une pièce nécessitant un enlèvement de matière important mais présentant une paroi fine. Les matériaux durs comme le titane ou exotiques entrent également dans le champ d’application de cette technique.

Le maître mot : la constance !  En effet, le principe consiste d’une part à programmer la trajectoire pour que l’angle de contact entre l’outil (qui sera utilisé sur toute sa longueur) et la matière ne varie pas, mais également pour que la pression exercée sur l’outil soit toujours la même.

Programmes d’usinage : quels avantages par rapport à un usinage traditionnel ?

• L’épaisseur des copeaux d’entre-passe est considérablement réduite
• La profondeur de passe (de coupe) est plus importante
• La vitesse d’avance à la dent augmente en conséquence
• La charge thermique générée par le frottement est donc moindre et la chaleur mieux évacuée

La pièce ne subit aucune déformation et les gains de temps d’usinage sont colossaux : ils sont en effet estimés entre 30% et 70%. De plus, les machines et les outils sont préservés plus longtemps. La productivité est dans tous les cas la grande gagnante.

Ceci étant posé, il est difficile de mesurer la pertinence d’un choix de stratégie d’usinage par rapport à une problématique donnée. Si les paramètres – nombreux, comme nous l’avons évoqué – à prendre en considération sont bien répertoriés, leurs impacts sont moins systématiques, les critères déterminés par modélisation ou expérimentation étant encore peu significatifs.

A ce jour pour que les trajectoires des programmes d’usinages soient réellement optimisées, mieux vaut s’en remettre à l’expertise technologique.

La gamme de solutions CAO, FAO, PDM et ERP TopSolid

Optimiser les trajectoires de vos programmes d’usinage grâce à TopSolid’CamSimul

La solution TopSolid’CamSimul concentre les années d’expertise des équipes de TOPSOLID SAS, ainsi que les technologies logicielles les plus abouties du marché. Moderne, évolutif et d’une efficacité redoutable pour venir à bout des problématiques d’optimisation des trajectoires, l’outil permet entre autres de valider la faisabilité des programmes d’usinage grâce à des fonctionnalités de simulation 3D réalistes, précises et complètement indépendantes, donc « impartiales ». En pratique, l’outil simule la MOCN en situation dans l’atelier, en tenant compte du programme de montage, des outils ainsi que de la pièce brute et finie.

Le procédé présente un « atout productivité » majeur : la gestion intégrale de l’ensemble des mouvements interopérations.

L’opérateur a donc la possibilité de vérifier en temps réel que le modèle en cours de réalisation correspond bien au cahier des charges, et de ce fait sécuriser la production. Un défaut d’optimisation de trajectoire ou de vitesse de coupe ? Une zone restant à programmer ? Une surchauffe ou une collision identifiée? Toute anomalie est immédiatement corrigée … sans reprise atelier !

TopSolid’CamSimul offre en outre une palette complète d’outils stratégiques et techniques (usinages de métaux durs, finition directe brut d’usinage, …)  visant un même objectif : la réduction des temps. Terminées le recours à l’électroérosion par enfonçage, les séances de polissage sans fin, les interminables sessions de réalisation des outillages, ou les mises au point répétitives. Désormais les programmes sont choisis en fonction des besoins précis pour gagner du temps.

C’est également tout un panel de facilités d’usinage qui s’ouvre à l’utilisateur : le logiciel gère en effet les usinages trochoïdaux, les ébauches par tréflage, les parcours dit « à crête constante », ainsi que le contrôle d’un tour/fraiseur ou d’un centre d’usinage 5 axes continus de manière simple et homogène. Pour fluidifier toujours plus l’usinage, la forme des outils et de leurs attachements dans les calculs de trajectoires sont intégrés par le logiciel.

Le petit plus de TopSolid’CamSimul pour terminer, mais pas le moindre : toutes les trajectoires supportent des options UGV (Usinage à Grande Vitesse) et le logiciel assure l’automatisation de certains processus tels que la fabrication de trous, cavités, ou encore logements de tiroirs …

Ce qu’il faut retenir : avec TopSolid’Cam les processus sont accélérés, le résultat constaté sur les surfaces frise la perfection, et les coûts diminuent… A la pointe de la modernité, notre solution globale, intégrée, évolutive, vous permet de conserver une longueur d’avance sur les acteurs de votre marché : temps mieux maîtrisé, qualité globale de service améliorée, compétitivité en hausse,  des ingrédients essentiels au maintien de vos parts de marché et de la productivité !

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