TopSolid’Cut : la CFAO pour une fabrication tôlerie maîtrisée

TopSolid’Cut : la CFAO pour une fabrication tôlerie maîtrisée

C’est un fait : l’industrie est de plus en plus exigeante en matière de délais et de complexité des projets. Pourtant, la main-d’œuvre qualifiée se fait malheureusement de plus en plus rare. C’est pour relever ces défis et répondre aux enjeux de façon pérenne que TopSolid’Cut a été conçu. L’outil s’inscrit comme un levier de transformation numérique pour les entreprises de tôlerie. Découverte.

Tôlerie et outil CFAO spécialisé : pour quoi faire ?

Si chaque projet est unique, les processus, eux, peuvent varier d’un client à l’autre. Une diversité qui place les entreprises de tôlerie face à un obstacle majeur : la multiplication des formats de fichiers clients (PDF, DXF, STEP, etc.). Pour corser la difficulté de l’exercice, ces supports arrivent souvent incomplets ou mal renseignés, obligeant les équipes techniques à effectuer des retouches et des adaptations manuelles qui, au-delà de leur caractère chronophage, représentent un risque d’erreur élevé.

Cette problématique s’accompagne d’une difficulté croissante à assurer la continuité numérique entre la conception et la fabrication des pièces. Or, les ruptures dans la chaîne numérique génèrent des pertes de temps considérables et des risques de non-conformité, d’autant plus préjudiciables que le secteur exige un haut niveau de précision.

Enfin, malgré le caractère sur-mesure de nombreuses productions, les entreprises expriment un besoin légitime de standardiser leurs gammes et de capitaliser leur savoir-faire. Cette standardisation a deux avantages : l’optimisation des processus, et la réduction de la dépendance aux compétences individuelles – alors que le secteur fait face à une pénurie de main-d’œuvre qualifiée.

Lire aussi – Professionnels de la tôlerie : quelles solutions mettre en place pour rester compétitifs ?

TopSolid’Cut : une CFAO métier conçue pour la tôlerie industrielle

Une chaîne numérique complète, de la conception à la découpe

TopSolid’Cut propose un environnement unifié qui accompagne l’ensemble du processus de fabrication tôlerie : conception, mise à plat, imbrication et découpe s’enchaînent dans un flux numérique continu. Cette approche intégrée élimine les ruptures traditionnelles entre les différentes étapes, source de perte de temps et d’erreurs.

La récupération intelligente des fichiers clients transforme une contrainte récurrente en atout opérationnel. La couture automatique reconstitue les géométries fragmentées, tandis que la conversion en tôle par reconnaissance d’épaisseur traite les données d’entrée de manière autonome. L’identification automatique des plis et déformations complète ce dispositif, permettant aux opérateurs de se concentrer sur les tâches à valeur ajoutée.

Pour ce qui est de l’interface, pensée pour les opérateurs terrain, elle privilégie l’intuitivité sans sacrifier la richesse fonctionnelle. Les post-processeurs personnalisables assurent d’ailleurs une intégration directe avec l’ensemble des machines de découpe ou de poinçonnage de l’atelier, gage de compatibilité avec vos équipements existants et futurs.

Flexibilité dans le traitement des fichiers et la conception

Si la diversité des formats de fichiers clients constitue un frein majeur, TopSolid’Cut rectifie le tir. Et pour cause, la solution prend en charge nativement les formats neutres et propriétaires couramment utilisés : DXF, STEP, IGES, Parasolid… Cette compatibilité étendue élimine les contraintes de format et assure une intégration harmonieuse avec l’écosystème logiciel de vos clients et partenaires.

Côté conception, la création de tôles à partir de surfaces simples ou complexes s’adapte à tous les cas de figure, qu’il s’agisse de pièces issues de systèmes tiers ou conçues directement dans l’environnement TopSolid. La mise à plat, solide et filaire, maintient l’associativité avec les modèles 3D, préservant la cohérence des données lors des évolutions de conception.

Automatisation des tâches répétitives et fiabilisation des découpes

L’automatisation constitue le socle de l’efficacité industrielle moderne. TopSolid’Cut répond à cet enjeu par une approche globale qui couvre l’ensemble de la chaîne de fabrication, de la préparation des gammes au pilotage des machines.

Au cœur du processus, l’usinage automatique s’appuie sur la reconnaissance intelligente des outils spéciaux et l’utilisation de macros d’usinage personnalisables. Cette standardisation des pratiques améliore la reproductibilité des résultats tout en préservant la flexibilité nécessaire aux productions spécifiques. Dans la même logique, le dépliage automatique en rafales optimise la productivité sur les grandes séries, tandis que le recalcul automatique en cas de modification géométrique préserve l’intégrité des gammes de fabrication. Cette adaptabilité est capitale pour répondre aux exigences de flexibilité des productions industrielles modernes.

L’optimisation se poursuit au niveau de la préparation machine. Le montage de tourelles s’effectue automatiquement selon les règles métier définies ou utilise des bibliothèques prédéfinies pour minimiser les temps de changement d’outillage. Cette approche systémique se traduit également par la gestion automatisée des coupes complexes – refendage, coupe commune, cisaillage – selon des paramètres de production prédéfinis, réduisant drastiquement les interventions manuelles.

La maîtrise des contraintes de production trouve sa traduction concrète dans la gestion native des modes d’évacuation : micro-attaches, trappes, déchargeur… Cette prise en compte des contraintes de manutention optimise les temps de cycle tout en améliorant l’ergonomie des postes de travail. Parallèlement, l’imbrication bénéficie d’algorithmes sophistiqués de choix du meilleur placement, qui maximisent l’utilisation matière. Un levier d’économie directement mesurable sur les coûts de production.

Enfin, la capitalisation du savoir-faire s’opère par la réutilisation des gammes, transformant l’expertise individuelle en patrimoine collectif de l’entreprise. Cette approche systémique répond aux enjeux stratégiques de transmission des compétences dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre qualifiée, garantissant la pérennité des performances industrielles.

Lire aussi – Tôlerie : 5 outils pour démocratiser le secteur

Quels bénéfices concrets pour votre entreprise de tôlerie ?

Au-delà des aspects techniques, TopSolid’Cut génère des gains opérationnels directement mesurables sur la performance industrielle. Ces bénéfices sont d’ailleurs nombreux :

  • réduction du temps de programmation jusqu’à 30 %,
  • diminution des rebuts grâce à la précision des trajectoires et aux validations automatiques,
  • centralisation des pièces à produire, le lancement optimisé en fabrication et l’anticipation des goulots d’étranglement côté machines,
  • élimination des risques d’erreur grâce à la création automatique des fiches atelier et des étiquettes,
  • meilleure traçabilité par le marquage automatique des pièces et la gestion rigoureuse des versions,
  • fluidité du pilotage de production grâce à l’intégration native avec les systèmes ERP,
  • ergonomie au service de la montée en compétence rapide des équipes.

En intégrant TopSolid’Cut dans votre processus de fabrication, vous actionnez un puissant levier de rentabilité. Car s’équiper d’un tel outil de CFAO pour la tôlerie, c’est poser la première couche pour créer un environnement de collaboration vertueux, aussi bien en interne qu’en externe. Résultat : des équipes plus performantes, une capacité plus élevée à prendre en charge des projets à géométrie variable, et des clients satisfaits.

Envie de découvrir le potentiel de TopSolid’Cut pour transformer votre production ? Nos conseillers techniques sont à votre disposition. Demandez une démo !

Mecachrome sécurise ses flux atelier grâce à TopSolid’ShopFloor

Mecachrome sécurise ses flux atelier grâce à TopSolid’ShopFloor

©Mecachrome

Avec plus de 80 ans d’expertise en mécanique de haute précision, le groupe Mecachrome franchit une nouvelle étape dans sa transformation digitale. Sur son site de Montauban (Tarn-et-Garonne), l’intégration de TopSolid’ShopFloor a permis de fiabiliser les transferts CN et d’améliorer significativement la traçabilité des opérations. Retour sur un projet à forte valeur ajoutée.

Un contexte industriel exigeant

Le site Mecachrome de Montauban, spécialisé dans le tournage complexe, est un acteur clé pour des clients tels qu’Airbus, Safran ou Thales. Travaillant en build-to-print, il combine expertise technique et exigences qualité très élevées. Mais, malgré une solide maîtrise métier, les méthodes de transfert des programmes CN présentaient un point de fragilité.

Avant le projet, les fichiers étaient envoyés via un réseau wifi, ce qui engendrait des pertes de signal, des transferts incomplets, et des doutes sur la version utilisée. Autant d’aléas devenus inacceptables dans un environnement aussi critique.

Une réponse ciblée avec TopSolid’ShopFloor

Dans le cadre d’une démarche de structuration des flux atelier, Mecachrome a opté pour la solution TopSolid’ShopFloor, et plus précisément pour le module Program Manager. Objectif : sécuriser les transferts CN, renforcer la traçabilité et centraliser la gestion des fichiers.

« On voulait une solution simple, sûre et bien intégrée à notre environnement TopSolid. »
Thibaud Luvisutto, Responsable Industrialisation

Le choix s’est porté sur un outil natif à l’environnement TopSolid’Cam, capable de gérer les droits d’accès par machine, d’horodater chaque action et de tracer les utilisateurs.

Un déploiement rapide, un changement culturel

Sur le plan technique, le projet a été mené tambour battant : installation du logiciel, câblage des machines, paramétrage des profils, formation… En quelques jours, le système était opérationnel.

Mais en matière d’usages, le changement a été plus marqué : passage d’une logique informelle à un processus structuré, avec validations et contrôles. Pour les opérateurs, ce nouveau cadre a demandé un temps d’adaptation, mais les bénéfices sont vite devenus évidents.

« C’est plus rigide, mais on comprend les gains en traçabilité. »
Sébastien, programmeur CN

Des résultats concrets au quotidien

Aujourd’hui, les programmes CN sont centralisés, sécurisés, et chaque transfert est clairement identifié.

Résultat : moins d’erreurs, une plus grande sérénité pour les équipes, et une meilleure capacité à analyser les incidents pour en tirer des leçons.

« On a une vraie visibilité sur les envois. Si une anomalie survient, on peut en identifier l’origine. »

Sébastien, programmeur CN

Cette première étape ouvre la voie à une digitalisation plus large. Mecachrome prévoit déjà d’explorer d’autres modules comme la supervision des outils ou la gestion d’atelier.

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

Vers un atelier plus connecté

En intégrant TopSolid’ShopFloor, le site de Montauban a franchi un cap stratégique. Ce projet incarne une vision moderne de l’atelier : plus connecté, plus structuré, mais toujours au service de l’efficacité opérationnelle.

« On voit le potentiel pour aller plus loin, sans alourdir le quotidien des équipes. »

Thibaud Luvisutto, Responsable Industrialisation

A lire aussi : Découvrez les nouveautés 2025 de TopSolid’ShopFloor

 

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Logiciel GPAO : optimisez la gestion de votre production

Logiciel GPAO : optimisez la gestion de votre production

Optimiser la gestion de production, c’est avant tout repenser l’organisation industrielle pour gagner en efficacité, jour après jour. Pour y parvenir, les entreprises ont tout intérêt à s’appuyer sur un système ERP ou un progiciel capable de piloter finement les flux de matières, les données et les ressources humaines.

Le but ? Automatiser un maximum de tâches pour éviter les erreurs, réduire les arrêts machine et maîtriser les coûts de production.

Pour gagner en agilité, les industriels misent sur des solutions numériques comme les logiciels GPAO, souvent intégrés à des environnements ERP. En offrant une visibilité en temps réel sur l’atelier, ces outils aident les équipes à repérer les blocages, à ajuster les priorités et à automatiser les tâches répétitives dès que possible.

Résultat, la charge est mieux répartie puisque les pics d’activité sont mieux anticipés, et que les ressources sont gérées de façon plus intelligente. Explications.

Qu’est-ce qu’un logiciel GPAO ?

Un logiciel GPAO (gestion de production assistée par ordinateur) est un progiciel stratégique pour le pilotage des opérations industrielles. Il sert à planifier, maîtriser les flux de production, et coordonner l’ensemble des activités liées à l’atelier (machines, matières premières, ressources humaines, délais).

Il s’adresse autant aux fabricants qu’aux sous-traitants, et s’intègre souvent dans un système ERP complet pour créer une chaîne numérique homogène. Il peut également exploiter des données de prévision (MRP, PIC) pour ajuster la production en fonction de la demande et du niveau de stock.

Quels sont les avantages d’un ERP GPAO ?

Les avantages d’un ERP GPAO sont nombreux : une meilleure organisation, une centralisation des données, une réduction des coûts et une prise de décision accélérée. En regroupant l’ensemble des flux (vente, achat, logistique, qualité, production) dans une interface unique, ce progiciel intégré vous offre un contrôle global de l’activité industrielle. Parmi les avantages les plus souvent cités, on note :

  • Une lisibilité en temps réel de la charge de production, ce qui facilite les ajustements à la volée ;
  • L’identification des goulets d’étranglement ;
  • Le contrôle de la qualité tout au long du processus de fabrication ;
  • Une exécution rendue plus fiable grâce au lien direct entre les données de vente, de production et de planification.

 

Comment fonctionne un logiciel de GPAO ?

Le fonctionnement d’un logiciel de GPAO repose sur le pilotage des activités de production, en lien étroit avec la gestion des stocks, des commandes et des ordres de fabrication. Il agit comme un noyau central dans le système d’information, en intégrant les flux de données issus de différents modules : achats, ventes, planification, production, maintenance.

Grâce à un système MRP (Material Requirement Planning), les équipes peuvent anticiper les besoins en matériaux et en capacité ; elles sont alors en mesure d’organiser les charges de travail à l’atelier mais aussi de simuler des scénarios de production par exemple. L’opérateur ou le directeur de production peut ainsi contrôler chaque étape du processus de fabrication.

Quelles fonctionnalités doit présenter un logiciel GPAO ?

Un bon logiciel GPAO intègre plusieurs fonctionnalités clés :

  • planification de la charge,
  • ordonnancement,
  • suivi d’atelier,
  • prévision des besoins (MRP),
  • gestion des stocks,
  • pilotage des opérations de fabrication.

Il peut également couvrir la création d’articles, la gestion des nomenclatures, des gammes, ou encore la facturation en lien avec les ventes.

Le logiciel doit permettre une maîtrise fine des données techniques et commerciales. En mode projet, il peut intégrer une logique PIC ou de fabrication à la commande. Certaines solutions, comme TopSolid’Erp, vont encore plus loin en reliant la GPAO à la CAO/FAO pour un pilotage manufacturing complet.

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

Comment choisir un logiciel GPAO ?

Le choix du meilleur logiciel GPAO pour votre entreprise passe nécessairement par l’évaluation de vos besoins en termes de fonctionnalité, de secteur, de type de production, et de niveau d’intégration souhaité. Des critères comme la compatibilité avec votre système informatique existant, les capacités MRP, la maîtrise de la charge ou encore la souplesse du paramétrage doivent également être pris en compte.

Un comparatif des solutions disponibles sur le marché vous permet d’évaluer les offres selon leurs modules, leurs services associés, et leur coût global (licence, accompagnement, maintenance). Un bon logiciel doit pouvoir s’intégrer naturellement à l’existant.

Comment mettre en œuvre un logiciel GPAO ?

La mise en œuvre GPAO est une étape stratégique pour toute entreprise industrielle. Il ne suffit pas d’installer le logiciel : il faut structurer le projet, définir les besoins métier, former les équipes et assurer une intégration système fluide avec les autres outils (ERP, CAO, SAGE, Microsoft…).

Le déploiement GPAO s’accompagne d’une planification de la production qui tient compte des contraintes opérationnelles et des objectifs commerciaux. L’analyse des flux, la création des paramétrages, les phases de test et l’ajustement des processus sont essentiels pour garantir une transition sans rupture. Une formation ciblée des utilisateurs permettra une utilisation optimale dès les premières semaines.

Quels résultats attendre après l’intégration d’un logiciel GPAO ?

Une fois le logiciel en place, les bénéfices ne tardent pas à se faire sentir, à tous les niveaux de l’entreprise. La production gagne en fluidité, les commandes sont suivies au plus près, et les ressources sont mobilisées plus intelligemment. Côté direction, les données remontent en temps réel, ce qui permet de trancher vite et de piloter la stratégie industrielle avec bien plus de clarté.

La maîtrise de la planification et des coûts permet de mieux tenir les délais, d’optimiser la relation client, et de réduire les pertes. L’intégration de la GPAO dans une solution comme TopSolid’Erp permet une vision complète de l’ensemble des flux, de la vente à l’expédition, et renforce la compétitivité à long terme.

Un logiciel de GPAO permet de structurer et d’optimiser l’ensemble du processus de production, mais il révèle tout son potentiel lorsqu’il est intégré dans un environnement plus large comme un ERP. C’est précisément la force de TopSolid’Erp, qui associe la gestion de production à l’ensemble des fonctions essentielles de l’entreprise : achats, ventes, stocks, qualité, finance, etc.

Avec TopSolid’Erp, la production s’aligne naturellement sur les contraintes commerciales et logistiques. Vous planifiez, vous pilotez, vous ajustez tout en gardant le cap sur les coûts et les délais. Vous souhaitez en savoir plus sur TopSolid’Erp ? Contactez-nous !

Réalité virtuelle industrielle ou comment transformer sa chaîne de production

Réalité virtuelle industrielle ou comment transformer sa chaîne de production

Souvent associée aux jeux vidéo ou aux loisirs immersifs, la réalité virtuelle dépasse aujourd’hui largement ces usages grand public. Dans le contexte de l’industrie 4.0, la réalité virtuelle industrielle devient un outil stratégique pour simuler, former, produire et collaborer.

Son principe repose sur l’immersion d’un utilisateur dans un environnement entièrement numérique. Grâce à des casques de réalité virtuelle, l’opérateur visualise un univers 3D dans lequel il peut interagir en temps réel. Cet environnement peut reproduire un poste de travail, une machine, une ligne de production ou une situation de maintenance.

Qu’est-ce que la réalité virtuelle industrielle ?

La réalité virtuelle industrielle (ou Industrial Virtual Reality) permet aux entreprises de projeter leurs collaborateurs dans des contextes opérationnels simulés. Elle se distingue clairement de la réalité augmentée, qui superpose des éléments numériques au monde réel. Ici, l’immersion est totale : tout l’environnement est modélisé.

Ce type de solution repose sur la combinaison de matériels (casques, manettes, capteurs) et de logiciels de modélisation 3D. Elle s’intègre dans une logique de chaîne numérique, et peut exploiter directement les données issues de la CAO, de la FAO ou de l’ERP.

Les secteurs qui adoptent cette technologie en premier sont ceux qui doivent anticiper, valider et sécuriser des opérations complexes : l’aéronautique, l’automobile, le médical ou encore l’architecture. Mais de plus en plus de PME industrielles y voient un levier d’optimisation accessible.

À quoi sert la réalité virtuelle industrielle ?

Simuler pour produire plus vite et mieux

Grâce à la simulation immersive, les opérateurs peuvent répéter les séquences de production sans immobiliser la ligne réelle. Ils valident les gestes techniques, identifient les zones à risque, ajustent les procédures. Cette anticipation réduit les erreurs, diminue les temps de cycle et améliore la coordination entre les postes.

Les tâches répétitives ou à forte valeur ajoutée sont exécutées avec une plus grande précision. La réalité virtuelle industrielle devient un outil d’excellence opérationnelle, au service de la productivité.

Former sans immobiliser les moyens

La formation technique est l’un des usages les plus immédiats de la réalité virtuelle industrielle. L’apprentissage se fait dans un environnement virtuel identique au réel, avec des scénarios interactifs. Les opérateurs peuvent s’entraîner avant l’installation des équipements, ou avant d’intervenir sur des postes critiques.

Les consignes sont intégrées dans le module, présentées de manière claire et engageante. Résultat : un apprentissage accéléré, une meilleure mémorisation et une montée en compétences plus rapide.

Réduire les erreurs et améliorer la qualité

L’un des bénéfices majeurs de la réalité virtuelle industrielle est la capacité à détecter en amont les incohérences ou les risques dans les processus. En visualisant les étapes d’assemblage ou de fabrication, les opérateurs peuvent corriger des erreurs potentielles avant qu’elles ne se produisent réellement.

Cela se traduit par une réduction des rebuts, des rappels produits et des coûts associés. C’est aussi un outil de maîtrise de la qualité, notamment dans les contextes certifiés ou fortement normés.

Faciliter la maintenance et l’assistance technique

La réalité virtuelle permet de modéliser des scénarios de maintenance (remplacement de pièces, réglages, nettoyage, etc.). Les techniciens peuvent s’y entraîner ou s’y référer en cas d’intervention. L’immobilisation des machines est réduite, et les erreurs d’intervention sont limitées.

Elle facilite aussi le support à distance. Des experts peuvent guider une équipe terrain en partageant un même environnement virtuel, donnant des consignes précises sans se déplacer. Cela réduit les temps de diagnostic et d’intervention.

Concevoir et valider grâce à la simulation

Avant même le passage en production, la réalité virtuelle industrielle est un formidable outil de prototypage et de conception collaborative. Les équipes peuvent manipuler les modèles 3D, tester des agencements, simuler des flux, détecter des collisions, anticiper les contraintes.

L’approche évite la fabrication de maquettes physiques coûteuses et longues à produire. Elle permet des ajustements rapides en amont, ce qui réduit les délais de mise sur le marché.

 

TopSolid’Virtual : la réalité virtuelle industrielle intégrée à vos outils

L’usage de la réalité virtuelle industrielle devient encore plus puissant lorsqu’il est directement intégré aux outils métiers de conception et de production. C’est ce que propose TopSolid’Virtual, le module de réalité virtuelle interopérable avec les solutions CAO, FAO et ERP de TopSolid.

Grâce à cette intégration :

  • Les données de conception sont directement utilisables en VR.
  • Les simulations reposent sur des informations fiables et à jour.
  • La continuité numérique est garantie, sans ressaisie.

TopSolid’Virtual transforme la réalité virtuelle en outil de pilotage industriel, accessible à toutes les tailles d’entreprises. La technologie devient un accélérateur de transformation, en phase avec les objectifs de digitalisation, sécurisation et performance.

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

Une solution adaptée aux enjeux des industriels

La réalité virtuelle industrielle, loin d’être une innovation gadget, répond aux problématiques concrètes des directeurs techniques, responsables de production ou gérants de PME :

  • Comment produire plus vite, avec moins d’erreurs ?
  • Comment former efficacement malgré la pénurie de main-d’œuvre ?
  • Comment justifier les investissements dans l’outil industriel ?
  • Comment rester compétitif tout en réduisant les coûts de non-qualité ?

En s’appuyant sur une solution comme TopSolid’Virtual, l’entreprise intègre la VR dans son environnement existant, sans rupture, sans complexité technique excessive, avec un retour sur investissement mesurable.

Envie d’en savoir plus sur la réalité virtuelle industrielle appliquée à votre activité ? Nos experts vous accompagnent pour identifier les usages pertinents et déployer une solution concrète, adaptée à vos enjeux.

Maintenance prédictive : révolutionner la gestion des actifs industriels

Maintenance prédictive : révolutionner la gestion des actifs industriels

Maximisation de la valeur et de la durée de vie des équipements et infrastructures, amélioration de la performance opérationnelle, réduction des coûts et des risques… Tels sont les nombreux enjeux portés par la gestion des actifs industriels. Pour une stratégie efficace et optimisée, la maintenance prédictive fait appel à des technologies avancées. L’objectif : anticiper les défaillances des équipements. Faisons le point.

La maintenance prédictive, une pratique intuitive en industrie

Quels sont les 5 types de maintenance dans l’industrie ?

On distingue différentes formes de maintenance industrielle, qui interviennent à différents stades au sein des industries.

  • La maintenance corrective consiste à intervenir après une panne afin de réparer ou de remplacer la ou les pièces défectueuses.
  • La maintenance préventive prévoit des interventions d’entretien régulières selon un calendrier ou des cycles de production afin d’éviter les pannes.
  • La maintenance conditionnelle est basée sur la surveillance des conditions réelles des équipements, et intervient lorsque certains seuils sont dépassés.
  • La maintenance prédictive s’appuie sur l’analyse de données avancées afin d’anticiper les pannes et intervenir en amont, pour éviter qu’elles ne surviennent.
  • La maintenance proactive vise à identifier et éliminer les causes profondes des défaillances. Elle permet par ailleurs d’améliorer la fiabilité de vos équipements sur le long terme.

Quelle est la différence entre la maintenance prédictive et préventive ?

Souvent confondues, la maintenance prédictive et la maintenance préventive sont deux volets différents de la maintenance industrielle. La première s’appuie sur des données en temps réel et des analyses avancées pour éviter les pannes en anticipant les actions nécessaires. Quant à la seconde, elle repose sur un agenda fixe pour vérifier le bon fonctionnement des actifs et intervenir si besoin.

Toutefois, ces deux typologies de maintenance ont un point en commun : elles requièrent un minimum d’intervention humaine et technique – uniquement lorsque cela est vraiment nécessaire.

 

Les avantages de la maintenance prédictive en industrie

Au-delà de ses différences avec la maintenance préventive, la maintenance prédictive comporte de nombreux avantages d’un point de vue pratique, technique, organisationnel et même financier.

D’une part, elle permet de cibler précisément les interventions pour maximiser leur efficacité et ainsi prolonger la durée de vie des équipements. Ces opérations n’interviennent donc que lorsqu’elles sont indispensables, selon l’état, le fonctionnement et le degré d’usure des composants. Résultat : une réduction des coûts de maintenance et des temps d’arrêt, et l’optimisation de la production et de la disponibilité des ressources humaines et matérielles.

D’autre part, la maintenance prédictive renforce la sécurité des opérations, grâce à la prévention des pannes graves. Ces dernières peuvent d’ailleurs représenter un réel danger pour les travailleurs, en plus d’endommager les infrastructures.

 

Comment faire de la maintenance prédictive en industrie ?

La maintenance prédictive en principe

La maintenance prédictive rend essentielle la collecte de données en continu. Pour cela, les mouvements des équipements (vibrations, température, pression, etc.) sont scrutés et analysés en temps réel. Une observation permanente qui fait notamment appel à des algorithmes de machine learning et d’intelligence artificielle.

Une fois collectées, ces données doivent aussi être analysées avec une haute précision. Dans ce contexte, il apparaît crucial d’intégrer dans vos processus l’utilisation d’un logiciel de gestion de la maintenance assistée par ordinateur (GMAO).

 

La gamme de solutions CAO, FAO, PDM et ERP TopSolid

Quels sont les principaux outils utilisés en maintenance prédictive ?

Pour la collecte de données, la maintenance prédictive fait appel à un certain nombre d’outils et de technologies. Parmi ceux-ci :

  • les objets connectés (IoT) tels que des capteurs, qui collectent en temps réel les informations des équipements,
  • les algorithmes prédictifs (machine learning), qui analysent les données de façon à détecter les anomalies et prédire les pannes,
  • les plateformes de collecte et d’analyse de données massives (big data), qui gèrent et traitent un grand nombre de données afin de vous fournir des chiffres pertinents et exploitables pour votre stratégie et vos opérations de maintenance,
  • les logiciels de GMAO tels que solutions proposées par TOPSOLID, qui facilitent la collecte, la gestion et l’analyse des données de maintenance.

Les solutions étant nombreuses, la prise en main et l’expérience utilisateur sont deux critères primordiaux pour choisir la meilleure solution. L’idée : avoir à portée de main une interface avancée, qui offre à vos équipes de maintenance une bonne visibilité et la possibilité d’exploiter pertinemment les données.

Les étapes clés pour bien mettre en place la maintenance prédictive

Une fois les outils déployés pour la mise en place de la maintenance prédictive, quatre opérations s’inscrivent comme étant essentielles :

  1. L’identification des anomalies (en interne ou par les algorithmes) et la mise en place d’actions correctives ;
  2. Le développement de modèles prédictifs (création et entraînement) suivant les historiques de données ;
  3. L’ajustement de vos processus de maintenance en y intégrant ces modèles prédictifs ;
  4. Le suivi des performances et l’adaptation en continu.

Ce schéma se répète à l’infini. Une boucle vertueuse pour un processus de maintenance prédictive toujours actualisé, efficace et adapté à la réalité de votre environnement à l’instant T.

TopSolid’Erp pour appliquer efficacement la maintenance prédictive

Reconnue comme étant la solution ERP la plus aboutie en termes de gestion de production, de la qualité et de la traçabilité, TopSolid’Erp intègre un module de GMAO. Il a été conçu pour faciliter le suivi de l’état de vos équipements, afin d’assurer l’optimisation de vos actifs, quels qu’ils soient.

Parmi ses fonctionnalités phares : la planification des opérations de maintenance préventive et la déclaration d’opérations de maintenance corrective. Une anticipation renforcée qui, couplée à une observation attentive, permet d’optimiser la productivité de vos lignes de production en toutes circonstances.

Lorsqu’elle est bien mise en place, la maintenance prédictive constitue une avancée majeure pour les entreprises. Adopter cette pratique, c’est même faire son entrée dans l’industrie 4.0. Une industrie orientée vers la data, et qui repose en grande partie sur les prouesses de l’intelligence artificielle.

En vous appuyant sur des technologies avancées et des logiciels intégrés comme le fait TOPSOLID, vous pourrez anticiper les pannes et planifier des interventions efficaces. Et ce, pour une production toujours plus fluide et sécurisée. Envie de vous lancer ? Contactez-nous !

Logiciel GED : tout ce qu’il faut savoir

Logiciel GED : tout ce qu’il faut savoir

Une bibliothèque bien ordonnée, où chaque document est à sa place, accessible en un instant, sans risque de perte ni de détérioration ? C’est exactement ce que permet un logiciel GED (Gestion Électronique des Documents), un outil essentiel pour la gestion documentaire en entreprise.

Plus besoin de fouiller dans des dossiers papier ou de perdre du temps à retrouver un fichier égaré. Grâce à la dématérialisation, chaque donnée est stockée, organisée et sécurisée dans un système numérique centralisé. Plans techniques, factures, contrats, documents RH… tout est structuré et accessible en fonction des droits d’accès définis. Voyons en détail comment choisir la meilleure solution pour votre entreprise et tirer pleinement parti de la gestion électronique des documents.

Qu’est-ce que la GED ?

La gestion électronique des documents désigne un système informatique de gestion des documents qui permet aux entreprises de dématérialiser, organiser, stocker, partager et sécuriser leurs fichiers numériques.

Ce type de solution remplace la gestion traditionnelle des documents papier en offrant des fonctionnalités avancées comme l’indexation automatique, la recherche rapide, le contrôle des versions et la gestion des droits d’accès. Un logiciel de gestion électronique optimise les flux documentaires et améliore la productivité puisque l’ensemble des informations essentielles sont consultables au sein d’une plateforme unique, accessible aux collaborateurs en fonction de leurs autorisations.

Comment optimiser la gestion documentaire ?

L’optimisation de la gestion documentaire repose sur plusieurs leviers essentiels : automatiser les processus, structurer les flux de travail et centraliser la gestion des documents. Voici les étapes clés pour y arriver.

1. Centraliser la gestion des flux documentaires

L’un des principaux défis dans la gestion documentaire est la dispersion des fichiers entre différents services, plateformes et supports (emails, serveurs locaux, cloud, papier, etc.). Aussi, plusieurs actions peuvent limiter ce risque :

  • Mettre en place un logiciel de GED : c’est évidemment la première action à mettre en place dans l’entreprise. Elle oblige l’ensemble des collaborateurs à regrouper chaque document en un seul espace sécurisé et accessible.
  • Définir des règles de stockage claires et supprimer automatiquement les versions non utilisées pour éviter les doublons et les fichiers obsolètes.
  • Privilégier le stockage cloud sécurisé.
  • Mettre en place une arborescence de classement avec des catégories et des tags pertinents pour retrouver rapidement les fichiers nécessaires.

Grâce à cette centralisation, les équipes accèdent plus facilement aux documents et évitent les pertes d’informations dues à une gestion éclatée.

2. Automatiser les processus documentaires

L’automatisation des tâches est sur toutes les lèvres. L’appliquer aux processus documentaires devient donc une évidence… et voici en quoi elle est particulièrement utile :

  • Indexer automatiquement les documents en extrayant des métadonnées (dates, clients, numéros de facture, etc.) grâce à des outils d’intelligence artificielle et d’OCR (reconnaissance optique de caractères).
  • Générer des flux de validation automatiques : par exemple, une facture peut être envoyée automatiquement à un responsable pour approbation sans nécessiter d’intervention manuelle.
  • Archiver les documents selon des règles préétablies : un document peut être déplacé vers un dossier spécifique après une période donnée ou être supprimé après expiration de sa durée légale de conservation.
  • Envoyer des notifications et alertes pour signaler les échéances importantes (renouvellement de contrat, mise à jour de document, validation en attente, etc.).

3. Structurer les flux de travail documentaires

Qui dit workflow, dit documents qui circulent sans encombre. Pour cela, il est donc important de :

  • Définir des circuits de validation pour les documents nécessitant plusieurs approbations (factures, contrats, devis, etc.).
  • Attribuer des rôles et permissions spécifiques à chaque utilisateur selon son activité.
  • Tracer toutes les modifications apportées aux documents.
  • Faciliter la collaboration : possibilité de rajouter des commentaires, partager des versions et signer électroniquement.

Quels sont les avantages de la GED ?

La GED, c’est moins de paperasse et plus d’efficacité. Voici ses atouts clés.

Gain de temps avec un accès rapide et structuré aux documents

Dans de nombreuses entreprises, retrouver un document peut être un véritable casse-tête. Entre les classeurs papier, les fichiers stockés sur divers serveurs et les emails, la perte de temps peut être considérable.

Avec une GED bien organisée, les documents sont :

  • Classés automatiquement grâce à des métadonnées et une arborescence logique.
  • Facilement accessibles via une recherche avancée, par mots-clés, auteur, date ou type de fichier.
  • Consultables à distance, depuis n’importe quel appareil connecté, évitant les allers-retours incessants entre bureaux ou services.

Réduction des coûts liés aux impressions et au stockage physique

L’archivage papier représente un coût important pour les entreprises : impressions, classeurs, espaces de stockage, gestion des archives. De plus, le papier est soumis à des risques de perte, détérioration ou destruction accidentelle (incendie, dégâts des eaux).

Grâce à la GED :

  • Les impressions deviennent inutiles.
  • Les coûts d’archivage physique sont réduits.
  • Moins de matériel bureautique (imprimantes, photocopieurs, papier) = réduction des dépenses.
  • Une gestion optimisée des espaces : les bureaux ne sont plus encombrés par des classeurs, et l’entreprise peut économiser sur la location ou l’achat d’espaces de stockage.

Meilleure collaboration entre équipes grâce au partage simplifié des documents

Le travail collaboratif est un enjeu majeur pour les entreprises modernes, notamment avec la généralisation du télétravail et des équipes dispersées géographiquement.

Avec une GED :

  • Tous les collaborateurs accèdent aux documents en temps réel, sans attendre qu’un fichier soit envoyé par email ou transféré sur un serveur.
  • Les versions des documents sont synchronisées en temps réel.
  • Des workflows automatisés peuvent être mis en place.
  • Les annotations et commentaires intégrés permettent une meilleure collaboration entre collaborateurs.

 

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

Quelles sont les fonctionnalités indispensables à un logiciel GED ?

Lorsqu’il s’agit de choisir un logiciel de gestion électronique des documents, il convient d’examiner en détail les fonctionnalités qui répondront aux besoins spécifiques de l’entreprise. Voici les principales fonctionnalités à analyser avant de prendre une décision :

Gestion des droits d’accès et sécurité

Un bon logiciel de GED doit garantir la confidentialité et la protection des données. Pour cela, il doit permettre de :

  • Définir des niveaux d’accès selon les rôles des utilisateurs (lecture, modification, suppression).
  • Gérer des droits d’accès personnalisés (surtout pour les documents sensibles).
  • Intégrer des protocoles de sécurité avancés (cryptage, double authentification, conformité RGPD).

Indexation et recherche intelligente

L’indexation permet de classer automatiquement les documents :

  • Une indexation automatique basée sur le contenu des fichiers.
  • Une recherche avancée par mots-clés, métadonnées ou critères spécifiques.
  • Une reconnaissance optique des caractères (OCR) pour retrouver des informations dans des documents numérisés.

Automatisation des workflows documentaires

Cette fonctionnalité doit permettre :

  • La création de circuits de validation (workflow) pour la validation automatique des documents (factures, contrats, devis…).
  • L’assignation automatique des tâches aux collaborateurs concernés.
  • Des notifications et rappels pour éviter les oublis dans le traitement des documents.

Archivage et gestion du cycle de vie des documents

La fonctionnalité d’archivage doit intégrer :

  • Des règles de conservation et suppression automatique selon la durée légale de rétention des documents.
  • Une traçabilité complète des modifications et accès effectués sur chaque document.
  • La possibilité de classer les documents par catégories, dates et versions.

Intégration avec d’autres logiciels

Un bon logiciel de GED doit s’intégrer avec les outils déjà utilisés dans l’entreprise, comme :

  • Les ERP et CRM pour une synchronisation fluide des données.
  • Les logiciels de bureautique (Microsoft Office, Google Workspace) pour modifier les fichiers sans les télécharger.
  • Les solutions cloud pour un accès multi-appareils sécurisé.

Facilité d’utilisation et ergonomie

L’adoption d’un logiciel GED dépend aussi de sa prise en main. Il est important qu’il offre :

  • Une interface intuitive pour que les collaborateurs puissent l’utiliser sans formation complexe.
  • Une organisation claire des documents avec des dossiers et des filtres personnalisables.
  • Une version mobile pour accéder aux documents en déplacement.

Conformité légale et normes réglementaires

Un logiciel GED doit respecter les exigences légales en matière de gestion des documents, notamment :

  • La conformité RGPD pour protéger les données personnelles.
  • La certification NF Z42-013 pour garantir la valeur légale des documents numériques.
  • Une gestion avancée des signatures électroniques pour valider des contrats en ligne.

Adopter un logiciel GED, c’est structurer et sécuriser la gestion documentaire tout en facilitant son exploitation au quotidien. TopSolid’Erp va plus loin en intégrant un stockage sécurisé, un contrôle précis des accès et une gestion avancée des révisions et diffusions. Associé à un puissant moteur de recherche et des liens documentaires sur l’ensemble des processus (ventes, achats, production, qualité…), il offre une gestion fluide et conforme aux exigences métier.

Découvrez comment TopSolid’Erp optimise la gestion documentaire et bien plus encore ! On en discute ?