Pourquoi passer de la conception 2D à la conception 3D va réussir à votre entreprise ?

Pourquoi passer de la conception 2D à la conception 3D va réussir à votre entreprise ?

Bien que la conception 3D se soit largement démocratisée, certaines entreprises restent encore accrochées à leurs habitudes en se limitant à la 2D. A l’heure où les délais se raccourcissent et que les pièces à produire sont toujours plus complexes, la conception 2D montre pourtant ses limites…  Quels sont les avantages d’une conception 3D ? Comment faire pour sauter le pas ? Réponses.

Les limites de la conception 2D

Quelles différences entre la 2D et la 3D ?

Evidemment, il serait possible de se contenter de dire que la différence principale entre la 2D et la 3D se limite à l’ajout d’une 3ème dimension de dessin. Cependant, en pratique, la liste des différences est bien plus longue et dépasse largement l’aspect physique des objets conçus.

En réalité, il faudrait plutôt parler de conception 2D VS 3D voire de logiciels 2D VS 3D.

Nativement, les logiciels de dessin 2D sont assimilés à des planches à dessin numérique, rien de plus. Ils permettent d’ébaucher rapidement de façon graphique une étude, un projet ou un objet pour se rendre compte plus facilement des proportions et ainsi communiquer en interne, auprès de ses clients ou de sous-traitants. Dans les faits, cette ébauche graphique se révèle de moins en moins suffisante.

Les limites de la 2D pour une entreprise

Aujourd’hui, les entreprises sont confrontées à de nombreux enjeux. Elles doivent notamment répondre à des délais plus courts et assurer une production en flux tendu et des ouvrages toujours plus complexes. Pour relever ces challenges, la production doit pouvoir s’appuyer sur des plans de détail, des calculs de masse, des débits, des listes d’approvisionnements et parfois même des gammes de fabrication…

Cette simple énumération de livrables, loin d’être exhaustive, suffit pour constater qu’un dessin 2D n’est pas suffisant pour générer avec efficacité ces documents. Ils seront donc à estimer / créer par le dessinateur lui-même ou par un tiers…

Un concepteur n’a-t-il pas mieux à faire que compter des mètres linéaires de barres, des masses de pièces mécaniques, des quantités d’éléments à acheter ou des surfaces de pièces à peindre ? A-t-on encore le temps et l’argent pour missionner un salarié à faire ce travail ? On peut aussi s’interroger sur l’intérêt et le plaisir qu’éprouvera un collaborateur à réaliser des tâches aussi rébarbatives qui pourraient être automatisées.

 

L’apport de la 3D dans vos processus de conception

L’apport de la 3D d’un point de vue technique

La 3D, c’est avant tout un cap psychologique : on ne dessine plus, on conçoit. Les conceptions n’existent pas simplement pour montrer ce que sera un ouvrage ou une pièce, mais bien pour faciliter leur production et éviter un risque d’erreur important.

La 3D ouvre ainsi un éventail de possibilités plus ou moins automatisées. Nous retrouvons en premier lieu les incontournables propriétés physiques calculées automatiquement telles que les dimensions, les masses, surfaces, périmètres… Ensuite tout ce qui est lié aux quantitatifs des pièces, mais aussi des sous-ensembles à produire, là aussi, en automatique.

Les éléments moins automatisés sont les plans de production. Les opérations simples se cotent en automatique (encombrements, perçages, coupe de profilés, plis d’une tôle…) mais nous sommes encore loin du 100% automatique, surtout sur les sous-ensembles.

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L’apport de la 3D d’un point de vue productivité 

Tous ces services rendus ont un coût, il faut en être conscient dès le départ. Concevoir en 3D est très souvent plus long qu’en 2D, mais bien heureusement ce temps passé est très vite rentabilisé dans les cas suivants :

  • Génération des mises en plans de détails des pièces (coupes, projections, détails…),
  • Listes de pièces à produire, de débits, des éléments à acheter…
  • Mises à plat de tôle
  • Modification de l’ouvrage
  • Interfaçage avec une machine de production numérique (centre d’usinage, tour, machine de découpe, de poinçonnage…)
  • Rendu réaliste, réalité virtuelle…
  • Plan de principe (à usage commercial ou purement technique)

 

L’apport de la 3D d’un point de vue business

La démocratisation de la 3D a forcé les entreprises de nombreux secteurs d’activité à revoir leur façon de vendre, mais aussi leur façon de communiquer auprès des particuliers et également des professionnels.

Qui pourrait imaginer aujourd’hui dépenser plusieurs milliers d’euros sans voir à quoi ressemblera en 3D sa future cuisine ? 

A une époque, concevoir en 3D donnait un avantage commercial non négligeable, aujourd’hui cela est devenu banal et tous les grands acteurs y sont passés. Effet de mode ou réelle nécessité ?  Les deux points précédents répondent à cette interrogation. Si l’entreprise veut préserver ou augmenter ses marges, diminuer son risque d’erreur, moderniser ses échanges avec ses clients mais aussi ses partenaires, alors elle doit s’interroger sur le passage en 3D de ses conceptions. 

Passer de la 2D à la 3D : comment bien gérer la transition ?

Le premier élément et très certainement le plus important, c’est de vouloir réellement effectuer la transition de la 2D à la 3D. Pas simplement le vouloir pour faire « comme les autres », mais bien être convaincu de ce que pourra apporter un passage à la 3D dans son entreprise.

Pourquoi ? Parce que passer de la 2D à 3D impliquera plusieurs changements majeurs au sein de l’entreprise, dont trois très importants :

  • Accepter de changer ses habitudes
  • Très certainement changer de solution de conception avec tout ce que cela peut impliquer (formation, apprentissage, coût…)
  • Accepter de commencer par perdre en productivité

Si ces trois points peuvent paraître évidents, ils sont loin d’être simples, car ils sont liés au changement et à l’apprentissage de nouveaux logiciels. Accepter de perdre aujourd’hui pour gagner plus tard : tout le monde adhère au concept, mais les candidats pour mettre en place le nouveau mode de fonctionnement tout en acceptant ces phases de perte de productivité sont bien moins nombreux.

Donc concrètement, comment passe-t-on de la 2D à la 3D ? Tout simplement en étant prêt et en se faisant aider ! Avec son panel de solutions logicielles intégrant la 3D, TOPSOLID SAS accompagne les entreprises souhaitant franchir ce cap. Vous souhaitez en discuter avec l’un de nos experts ? Contactez-nous dès aujourd’hui !

Calcul des temps d’usinage : une valeur incontournable dans un devis technique d’usinage

Calcul des temps d’usinage : une valeur incontournable dans un devis technique d’usinage

Sur le marché de la sous-traitance mécanique, le devis technique constitue le préalable incontournable à toute commande. Déterminer les coûts de fonctionnement internes et le taux horaire par poste, définir les besoins en matière, les achats externes et les temps de fabrication…Le processus de chiffrage des pièces à produire est empirique et plutôt bien rodé. Seulement, l’évolution du contexte économique a modifié la donne, laissant la part belle à la concurrence, obsolétisant l’estimation du deviseur expert, et excluant désormais l’approximation.

En effet, pour augmenter le taux de conversion de vos devis, il s’agit aujourd’hui de savoir vous démarquer, tout en maîtrisant vos marges. La clé ? Calculer des temps d’usinage, au plus près de la réalité de l’atelier, afin de déterminer un juste prix !  Nos explications sur le pourquoi et le comment.

Le calcul des temps d’usinage au service de votre compétitivité

La crise sanitaire se prolonge sans date butoire, et les donneurs d’ordre recentrent en interne, certaines activités autrefois confiées à la sous-traitance.  A l’inverse, l’internationalisation des marchés a favorisé l’émergence d’acteurs lowcost, dont les faibles coûts de fonctionnement biaisent d’avance la partie. Refuser un marché plutôt que « gagner l’appel d’offre à perte » devient l’idéologie maîtresse de la survie de la rentabilité, sacrifiant au passage la course à la part de marché. Et puis…Il est tellement facile, grâce aux e-mails de masse, de consulter rapidement plusieurs sous-traitants pour obtenir un devis, que les candidats sont souvent nombreux au portillon du client.

En résumé, une concurrence multi formes se renforce au sein d’un contexte déjà compliqué…

Pas facile, certes. Notez cependant, que si vous faites de la « visibilité sur un coût de revient exact » votre cheval de bataille, vous pourriez tirer adroitement votre épingle du jeu. Est-il encore vraiment raisonnable, de s’appuyer sur un temps de fabrication des pièces non connu à l’avance ? Ce sont alors, les notions mêmes de marge commerciale, de remise, ou de négociation qui perdent tout leur sens. En effet comment maîtriser ses prix si l’on ne maîtrise pas ses temps de fabrication ?

Et parce qu’une bonne commande n’est pas seulement justifiée par son chiffre d’affaire, mais aussi, et surtout, par son bénéfice, plus question de courir le moindre risque sur la définition du prix d’une pièce à produire ! Désormais, se démarquer de la concurrence, c’est d’abord être capable d’afficher un devis détaillé et savoir justifier chacune de ses composantes. C’est en cela que le calcul du temps d’usinage pour chaque pièce est devenu une absolue nécessité.

 

Les avantages du calcul des temps d’usinage par rapport à l’estimation

Enfonçons un peu plus le clou, quant à la proscription dans la production de devis, de tout ce qui pourrait se rapprocher de l’à-peu-près, en matière de temps d’usinage.

Sans remettre en cause la compétence des deviseurs d’expérience, il faut tout de même reconnaître que l’estimation du temps d’usinage présente des risques d’erreur. Ainsi, un prix de fabrication, même un minimum surévalué, entraîne bien souvent le refus du devis. D’autre part, un prix unitaire sous estimé réduit la marge, voire induit un travail à perte.  Imaginez ensuite devoir négocier et appliquer une remise sur un tarif peu fiable et trop proche du coût de revient … le spectre de la non-rentabilité s’incarne en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Sans parler du coup de canif dans votre crédibilité !

A présent, étudions de plus près les avantages à calculer vos temps d’usinage. L’atout incontestable réside dans le fait qu’un temps calculé de manière fiable, permet de déterminer un coût de revient au plus proche de la réalité. Et ce, quelles que soient la maturité du deviseur et la complexité de la pièce. Enfin, vous négociez en connaissance de cause : les prix sont justes, les remises cohérentes, et les devis surestimés revus à la baisse, se transforment de nouveau en commandes. Et là, votre crédibilité vis-à-vis des donneurs d’ordre est intouchable !

Maintenant que nous sommes d’accord concernant le caractère indispensable du passage au calcul des temps d’usinage, qu’en est-il du « comment calculer ces temps » ?

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

TopSolid’PartCosting : un logiciel à la pointe du processus de chiffrage de vos devis

Fiabiliser le chiffrage des pièces constitue donc un véritable enjeu, auquel répond avec brio, l’informatisation du calcul des temps d’usinage. A ce titre, le logiciel TopSolid’PartCosting, édité par la société TOPSOLID SAS, apporte une précision inégalée au chiffrage des devis des industries de la mécanique, qu’il s’agisse d’usinage, de décolletage ou encore de tôlerie et chaudronnerie. Module amont à l’offre de prix, l’outil combine méthodologies de chiffrages techniques de haute voltige, et conformité aux standards de la profession … Le must !

En effet, TopSolid’PartCosting présente des points différenciants à forte valeur ajoutée. Le deviseur appréciera notamment sa capacité à exploiter les plans de pièces en 2D – aux formats scans, pdf,dwg, dxf – et 3D – en step et iges – pour en décomposer les usinages, et même à travailler sans plan. Tout dépend du degré de précision requis. Il en va de même pour les différentes méthodes de calcul proposées, qui varient ainsi entre analogie de pièce, volume de copeaux, simulation sur machines multibroches – pour le cas du décolletage –  ou devis détaillé.

D’ailleurs, l’outil prend en compte l’ensemble des composantes de la fabrication de la pièce -caractéristiques, matière et brut usinés, gestion de la sous-traitance et des achats externes, gamme de fabrication – et maîtrise les paramètres influant sur le prix final, comme les coûts non récurrents et les variantes de quantité.

TopSolid’PartCosting – Etude de pièce

 

TopSolid’PartCosting – Outils Devis

 

Adapté à tous les profils d’utilisateurs, le logiciel présente une interface graphique intuitive complètement adaptée au chiffrage. Des bibliothèques de composants paramétrables selon l’environnement de l’entreprise et sa manière de travailler sont à disposition, ainsi que des fonctionnalités spécialisées selon le domaine d’activité.

Au final, TopSolid’PartCosting accompagne l’établissement de votre devis, et vous garantit un « sans-faute » en calculant les temps de la gamme de fabrication, plutôt qu’en les estimant avec le seul appui de l’expérience du deviseur.

 

Aujourd’hui, l’entreprise ne peut plus se permettre de juste estimer les temps d’usinage, en vue de chiffrer les pièces à produire. En tant que facilitateur et fiabilisateur de devis destiné aux deviseurs expérimentés, comme à ceux peu initiés à l’usinage, le logiciel TopSolid’PartCosting propose un système de calcul précis et rapide de ces temps de fabrication. Utilisé de manière indépendante, ou relié à votre outil de GPAO/ERP, TopSolid’PartCosting constitue une offre unique capable d’alimenter les données de la chaîne numérique et de les consolider, du devis à l’atelier de production. En plaçant la simplicité et la performance au service de l’entreprise de production, TOPSOLID SAS se positionne comme expert du devis technique.

Logiciel CAM : les avantages d’une solution distribuée à l’international !

Logiciel CAM : les avantages d’une solution distribuée à l’international !

De nombreux critères entrent en ligne de compte au moment de choisir votre solution CFAO. Au-delà des fonctionnalités proposées, vous devez notamment composer entre performance et prix, pour un investissement utile et rentable eu égard à votre secteur d’activité. Autre élément différenciant à étudier, pour faciliter votre décision parmi une vaste sélection de logiciels : la dimension internationale de l’outil. Une solution distribuée à l’international, en effet, peut représenter une forte valeur ajoutée, et ce même pour les entreprises 100% françaises. Le logiciel CFAO TopSolid’Cam, distribué à l’étranger, rayonne à l’international. Découvrez tout ce que vous avez à y gagner…

2 intérêts majeurs à choisir une solution de CFAO distribuée à l’échelle internationale

 

D’un point de vue purement pratique, la dimension internationale d’un logiciel CFAO sert 2 intérêts majeurs. Non seulement l’outil est conçu pour répondre à des besoins quasi-exhaustifs, mais en plus il permet la collaboration fluide des équipes en tous points du globe. Explications.

La garantie d’une solution capable d’adresser des besoins très variés

A chaque pays ou région du monde sa culture propre. Or cette diversité se répercute directement dans la sphère professionnelle : les besoins diffèrent d’un marché à l’autre, du simple fait que les domaines de spécialités varient.

Illustrations :

  • La Suisse est connue pour être spécialisée en horlogerie. De ce fait, les méthodes et les techniques de conception s’y sont développées de manière plus avancée.
  • Le Brésil et le Portugal se distinguent sur le marché de l’emboutissage : les fabricants d’outillage ad hoc sont plus nombreux et mieux équipés.

En réponse à ces besoins variés, les développeurs de solutions logicielles adaptent le panel des fonctionnalités de l’outil CFAO pour satisfaire parfaitement les attentes des utilisateurs finaux. Un logiciel français, par exemple, est conçu eu égard aux exigences spécifiques du marché français – ou européen, éventuellement. Ce qui permet de mettre en lumière le premier avantage de la solution distribuée à l’international : le logiciel est conçu de manière à satisfaire les besoins d’utilisateurs worldwide, sur la base de leurs techniques et méthodes respectives propres. Soit un panel de fonctionnalités d’autant plus étendu…

Parce que notre logiciel CFAO TopSolid’Cam est distribué à l’étranger, il est développé dans l’objectif de répondre, de manière performante, à des besoins très variés. Quel que soit le pays d’utilisation, vous bénéficiez de toutes les fonctionnalités.

La possibilité de travailler en mode collaboratif à travers le monde

Les nouvelles technologies facilitant les échanges, de plus en plus d’entreprises collaborent avec des filiales ou des partenaires à l’international. C’est dans ce contexte que le travail en mode collaboratif se développe, et c’est à ce besoin que les outils innovants répondent. 2 obstacles majeurs à lever :

  1. La barrière de la langue : pour collaborer de manière efficace via un outil unique, sans perte de temps ni risque d’erreur, les entreprises doivent pouvoir paramétrer leur solution logicielle dans leur langue native. C’est pourquoi TopSolid’Cam est disponible en 15 langues : l’utilisateur est en mesure d’utiliser le logiciel CFAO en toute simplicité quelle que soit sa nationalité.
  2. Le décalage horaire : en fonction du fuseau horaire, chaque entreprise travaille à des moments distincts, ce qui peut être source de dysfonctionnements. Pour y remédier, les bases de données de la solution logicielle distribuée à l’international sont synchronisées en temps masqué, tout en permettant à chaque collaborateur de continuer à travailler et à partager son travail.

Utiliser un seul et même outil facilite la communication entre les différents bureaux, services, entreprises et autres intervenants, pour gagner en performance. Pour gérer la problématique à l’international, l’outil doit donc être conçu à cet effet.

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

L’international comme gage de qualité pour votre logiciel CFAO

 

La dématérialisation de nos solutions nécessite d’autant plus de prouver leur efficacité : il s’agit de démontrer que nous répondons à des besoins concrets. Au-delà de la production, l’un des principaux atouts de nos logiciels réside dans leur capacité à traiter les cas complexes. Si l’usinage PC est à ce jour relativement banalisé, il n’est pas toujours aisé pour les toutes les solutions CAM du marché de traduire cet usinage « virtuel » en un usinage « concret » sur une machine dans un atelier. C’est grâce aux réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn, YouTube, …) qu’il est de plus en plus facile de voir ce que les autres font avec un tel outil et comment ils travaillent avec. Et plus les utilisateurs sont nombreux et divers, à travers le monde, plus les cas concrets sont parlants. Les utilisateurs de la solution logicielle à l’international deviennent de véritables ambassadeurs, qui font une démonstration utile des fonctionnalités de l’outil. Et les retombées bénéfiques s’observent à plusieurs niveaux :

  • L’utilisateur qui met en ligne sa démonstration fait sa propre publicité.
  • Les potentiels utilisateurs intéressés par la solution se font une idée parfaitement objective des résultats à obtenir, ils se confortent dans leur choix grâce à des illustrations concrètes.
  • Les (futurs) utilisateurs découvrent de nouvelles possibilités offertes par l’outil logiciel.

Au-delà de cet avantage de diffusion de l’information à une échelle massive, la solution distribuée à l’international se distingue par le niveau d’exigences au moment de son développement. Dans la mesure où le nombre d’utilisateurs est supérieur, l’éditeur est d’autant plus incité à améliorer son produit en continu, notamment en ajoutant de nouvelles fonctionnalités. C’est un cercle vertueux : déploiement à l’international => plus d’utilisateurs => plus d’exigences et de demandes complexes => une solution CFAO toujours plus performante et parfaitement adaptée aux besoins utilisateur !

Une solution distribuée à l’international, en tout état de cause, gagne en notoriété, et la confiance des clients utilisateurs de l’outil croît à travers le monde.

Solution connue et reconnue à l’étranger, TopSolid continue son développement et sa conception de nouvelles solutions, pour aller toujours plus loin dans l’innovation. Entreprises françaises ou étrangères : TopSolid se déplace au-delà des frontières, profitez-en…

7 bonnes raisons de passer à TopSolid

7 bonnes raisons de passer à TopSolid

Vous avez remarqué que certains de vos concurrents économisent de l’argent en utilisant TopSolid et vous vous interrogez peut-être sur les raisons pour lesquelles vous devriez changer de logiciel.

Voici sept points importants qui soulignent les avantages de passer à TopSolid et vous guideront dans votre décision.

1. Gestion intégrée des données produit (PDM)

Le PDM intégré rend TopSolid unique sur son marché.

Le PDM fait bien plus que simplement stocker et organiser des fichiers :

– Il aide les concepteurs à trouver des pièces existantes pour les réutiliser au lieu de les recréer, ce qui économise de nombreuses heures de travail.

– Il génère des nomenclatures pour l’estimation des coûts et l’alimentation des données pour les systèmes ERP.

– Enfin, il automatise les processus de contrôle des modifications pour garantir que des informations obsolètes ou non publiées ne soient pas transmises aux usines ou aux fournisseurs.

  • Le PDM n’est pas un produit supplémentaire : il est directement intégré dans l’interface du logiciel,
  • Il permet de rechercher rapidement des données produit gérées par TopSolid,
  • Il permet de gérer les versions en toute simplicité,
  • Il permet de réaliser toutes les activités de gestion des données directement dans TopSolid (renommage, …),
  • Il permet de mettre les fichiers au coffre et gère également les fichiers non TopSolid,
  • Il gère le multisite (pour les entreprises possédant plusieurs sites de production à travers le monde).

 

2. Interface utilisateur intuitive

Le temps, c’est de l’argent et l’interface utilisateur intuitive de TopSolid fait facilement la différence !

Concevez comme vous le souhaitez et non selon la logique du logiciel, grâce à la méthode de conception en place, unique de TopSolid.

De plus, nous vous proposons des sessions de formation avancée pour vous permettre de tirer le meilleur parti de TopSolid en fonction de vos besoins spécifiques.

  • Facile à prendre en main et à utiliser (phase d’apprentissage réduite de 50 %),
  • Fonctions « Glisser-déposer », « Copier-coller », « Annuler/Rétablir historique » prises en charge,
  • Création d’entités de construction à la volée,
  • Tri des entités (classification par type) et des opérations (classification chronologique).

De plus, l’interface utilisateur est entièrement personnalisable de manière interactive par l’utilisateur.

3. Ingénierie simultanée

C’est une caractéristique très importante de TopSolid qui permet à tous les co-concepteurs de travailler sur les mêmes bases de conception simultanément, ce qui est un atout non négligeable en cette période de crise sanitaire.

  • Possibilité de travailler avec tous vos collègues sur la même base de données,
  • Possibilité de définir les droits et les autorisations des utilisateurs,
  • N’importe qui, n’importe où (en local ou autre), tous connectés,
  • Une communication facilitée grâce au PDM Messenger,
  • Possibilité de créer des flux de travail sur les cycles de vie afin d’automatiser l’échange d’informations.

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4. Technologie logicielle moderne : Plateforme ouverte

La plupart des logiciels de CAO disponibles sur le marché sont basés sur une technologie logicielle assez ancienne. TopSolid a été entièrement repensé et réécrit, vous offrant ainsi un logiciel à la pointe de la technologie.

Voici quelques points-clés :

  • Utilisation des dernières technologies de développement (C#, .net),
  • Prise en charge des technologies matérielles les plus récentes (technologie multicœur, moteur de rendu…),
  • Mises à jour en temps réel et incrémentales,
  • Moteur de rendu réaliste de haute performance (Redway3D),
  • Échange de données avec la plupart des logiciels de CAO disponibles sur le marché, avec ces interfaces : Parasolid, AutoCAD (*.dwg, *.dxf), ACIS, IGES, Step, Catia v4, v5, Pro/E, UG, SW, SE, Inventor.

5. TopSolid’Automation

TopSolid’Automation est l’API (Application Programming Interface) de TopSolid qui permet aux utilisateurs de piloter TopSolid 7 depuis un autre programme afin d’échanger des informations et/ou d’automatiser des tâches répétitives.

TopSolid’Automation permet de réaliser d’importants gains de productivité tout en réduisant le risque d’erreurs. L’investissement en temps nécessaire à la maîtrise de cet outil de développement est donc sans aucun doute bien utilisé.

En permettant la communication avec d’autres logiciels, TopSolid’Automation est un outil puissant pour réussir l’intégration des applications de CFAO dans votre chaîne de processus numérique et couvre un large éventail de domaines :

  • Échange de données avec les systèmes de gestion des ventes ou de la production,
  • Automatisation des processus de fabrication de pièces/assemblages,
  • Importation automatisée de données,
  • Génération automatisée de dessins,
  • Échange de données avec les systèmes de gestion des outils.

Toutes ces utilisations possibles font de TopSolid’Automation un outil très précieux et fiable pour l’optimisation des processus industriels.

Cette interface est totalement gratuite et incluse dans TopSolid 7. Une documentation est intégrée dans le logiciel pour vous guider et des sessions de formation en ligne sont disponibles pour un démarrage rapide.

6- Réseau et service d’envergure mondiale

France, Europe, Asie, Amériques, Océanie… Nos clients sont partout et, grâce à TopSolid, ils échangent, développent, collaborent et travaillent ensemble. TopSolid établit des contacts entre eux.

Notre réseau expérimenté de 10 agences et de 70 revendeurs et leurs équipes dans le monde entier vous apportent leur expertise pour vous aider à accroître votre compétitivité sur le marché.

7- Prêt pour l’industrie 4.0

 TopSolid est plus qu’un simple logiciel de CFAO intégrée. Il s’agit d’un environnement d’application complet vers la transformation numérique des industries mécaniques. Il offre des solutions pour :

– la cotation des pièces mécaniques (TopSolid’Part Costing),

– la simulation de machines CNC (jumeau numérique, avec TopSolid’Cam Simul),

– la gestion de la qualité des pièces produites par une machine (TopSolid’Inspection),

 TopSolid propose depuis des années une chaîne numérique totalement intégrée via sa suite de logiciels de CFAO, assurant ainsi une interconnectivité totale de la conception à la production.

CFAO : Apprendre à maîtriser un nouveau logiciel : en suis-je capable ?

CFAO : Apprendre à maîtriser un nouveau logiciel : en suis-je capable ?

Aurai-je assez de temps pour me familiariser avec un nouvel outil ? Comment vais-je être formé ? Suis-je capable de sortir de ma zone de confort ? Les questions liées à l’apprentissage d’un nouveau logiciel CFAO sont nombreuses. Peur de l’inconnu pour les équipes, prise de risque pour les entreprises, décryptons ensemble les appréhensions liées à l’apprentissage d’un nouveau logiciel CFAO et les clés pour passer cette étape avec brio ! 

Julien Poirot

Les appréhensions liées à l’apprentissage d’un nouveau logiciel de CFAO

 

Du côté de l’entreprise

De manière générale, le mécanisme d’apprentissage apporte une charge de travail, de stress et d’incertitudes sur les personnes concernées. L’entreprise s’en retrouve naturellement déstabilisée. Outre l’acceptation de la perte de productivité inhérent à tout apprentissage, l’entreprise doit réellement apporter son soutien moral au collaborateur en formation.

Chacun est différent devant cette épreuve. Sans soutien, certains peuvent plus rapidement que d’autres perdre confiance en leurs capacités d’adaptation avec la peur de ne pas y arriver. Cela est encore plus vrais au début, car cette période est généralement propice au découragement et au doute.

Pour un manager

Un responsable doit accepter et être convaincu que la perte de productivité est un passage obligatoire pour espérer accroitre les performances de l’entreprise.

Cela est facile à dire alors que les dossiers s’empilent, le retard s’accumule et quelques erreurs apparaissent… Mais lui mieux que quiconque peut faire le bilan de sa vie et voir que celle-ci est un apprentissage permanent, une succession d’échecs, de remises en cause, de réussites…

Et finalement, la personne qu’il est aujourd’hui est plus performante que celle d’hier. Personne n’est née avec une habilité exceptionnelle sur un logiciel !

Pour les équipes

Ceux qui vont être formés vont naturellement passer par plusieurs phases, c’est le fameux effet Dunning-Kruger :

201 - ccourbe confiance compétence

 

 

 

En moins extrême, plus léger et surtout plus concret :

201 - confiance connaissance 2

  • Phase Huh ?
    « Je viens de découvrir qu’un univers autre que le dessin papier me permettrait de gagner du temps. Cette « chose » étrangère me parait bien obscure en tout point. »

 

  • Phase Je sais tout
    « Je suis convaincu, j’ai acheté ma solution logiciel bien évidemment la formation qui va avec. Les autres y arrivent, pourquoi pas moi ? quand je regarde les autres faire ça parait tellement facile! »

 

  • Phase Il y a plus que je ne pensais
    « Je sors de formation, quelle claque ! (le mot est faible). Le mur à gravir est bien plus haut que celui imaginé… Je me console en me disant que de retour au bureau et après une bonne nuit tout ira mieux…»

 

  • Phase Je ne comprendrai jamais
    « …. Et non, après une bonne nuit, 10 cafés, j’ai un escalier à produire et j’ai le syndrome de la page blanche. Je pensai avoir compris mais ce n’est pas le cas, je ne sais pas par quoi commencer, je ne sais même pas pourquoi j’ai acheté ce logiciel ! D’ailleurs je pense même que je vais le rendre ! »

 

  • Phase Ça commence à avoir du sens
    « Finalement je me suis accroché, je me suis souvenu de mes premiers coups de pédale en vélo qui se sont terminés au sol, de mon premier footing de 5 minutes où j’ai cru mourir, de mes premier haltères de 200g que j’ai soulevé… puis j’ai pris le temps de voir où j’en suis maintenant… et le chemin parcouru semé de doutes et d’échecs… que j’ai surmonté!
    Je viens de prendre conscience que prendre en main un logiciel c’est EXACTEMENT pareil. »

 

  • Phase Croyez-moi c’est compliqué
    « L’orage est passé, il est derrière moi, je suis autonome ! Ça n’a pas été simple… mais finalement avec du recul c’est juste que j’avais oublié ce qu’APPRENDRE voulait dire, ce que ça impliquait.
    Ça n’a pas été simple tous les jours mais j’y suis arrivé, j’en suis même fier !
    Je ne peux que conseiller chacun de faire ce « travail » sur soi car on en sort grandi ! »

 

Comment réussir l’apprentissage d’un nouveau logiciel de CFAO ?

 

En étudiant cette courbe d’apprentissage, force est de constater que le chemin peut être long avant d’atteindre la dernière étape.

Existe-t-il une recette miracle pour atteindre ce succès ?

La réponse est oui ! Elle n’est pas magique, pas universelle et encore moins payante (pour une fois). Elle porte même un nom : le bon sens. Et devinez quoi ? Elle marche avec tout !

  • Régularité
    C’est surement le plus important, privilégier la qualité à la quantité, et surtout des sessions d’apprentissages réalisées de manière régulière. Nous avons tous en tête notre régime démarré le 02 janvier ou notre première semaine d’abonnement à une salle de sport…
  • Discipline
    Lié au point précédent, si je fais un après-midi de pratique dans la semaine, je m’y tiens! Il y aura toujours un millier de raisons de ne pas le faire, il faut tenir bon !
  • Confiance
    Des échecs il y en aura, des doutes aussi. Des choses que l’on n’arrive pas à faire, qu’on ne comprend pas… tout ça c’est NORMAL ! On garde confiance en soi et on avance même si on ne voit pas encore le bout du tunnel. Un tunnel sans fin ça n’existe pas (sinon c’est une grotte J).
  • Etre humble

Humble sur le fait qu’être en phase d’apprentissage nécessite des usages simples. Ce n’est pas la peine d’essayer de conduire une propulsion sous la pluie après avoir passé son permis ou sauter en parachute après avoir appris où se trouve la poignée d’ouverture ! En plus d’être stupide, c’est dangereux pour vous et parfois même pour les autres (entreprise).
Je suis sûr que vous voyez où je veux en venir ! Sorti de formation, on ne s’amuse pas à dessiner la Tour Eiffel, ni un escalier sur 5 étages, ni même un garde-corps super compliqué que l’on n’a pas l’habitude de réaliser.

On commence simple, il faut que vous puissiez vous concentrer sur le logiciel et pas sur l’ouvrage. On avance pas à pas en ajoutant peu à peu des concepts nouveaux.

 Voici une belle série de choses très faciles à dire et moins simples à faire, j’en suis parfaitement conscient. Pourtant je suis sûr que tout cela vous parait évident et qu’en suivant ces conseils très basiques, on ne peut que y arriver.

Il vous sera difficile d’appliquer ces méthodes si votre environnement est « contre-vous ». Il faut que le contexte soit un maximum propice à l’apprentissage. Il y aura toujours des remarques du type :

« Avant tu allais plus vite », « 3h pour ça ?? en 5 minutes c’est fait à l’atelier », « je t’ai acheté un logiciel pour gagner du temps, pas pour perdre de l’argent », « c’est simple pourtant, je ne comprends pas pourquoi tu es si long ».

Même si ces phrases ne sont pas dites, vous les ressentirez peut-être… Il faut alors tenir bon, garder le cap et avancer.

La gamme de solutions CAO, FAO, ERP TopSolid

TopSolid : en quoi son apprentissage est-il accessible à tous ?

 

Vous l’aurez compris, l’apprentissage de TopSolid ou de n’importe quel autre logiciel est avant tout une démarche psychologique. Ce n’est pas vraiment une question d’intelligence ou d’une quelconque autre faculté. J’ai vu des jeunes se décourager au bout d’un mois et des plus anciens découvrir une nouvelle passion…J’ai vu aussi des gens très intelligents ne sachant pas changer leurs habitudes, et d’autres sans confiance en eux devenir de véritables utilisateurs référents.

 

Bien entendu, TOPSOLID met tout en œuvre pour faciliter cet apprentissage et provoquer la réussite. :

  • La solution est intuitive, permet de contourner tous les problèmes que vous allez rencontrer
  • La formation est adaptée à votre métier et dispensée dans des conditions optimales
  • Les manuels sont détaillés, imagés et bien écrit pour être repris facilement de retour en entreprise
  • Le support téléphonique est à votre disposition de manière illimité
  • Les équipes techniques sont là pour répondre à vos questions les plus complexes
  • Un forum d’utilisateurs passionnés et qui se feront un plaisir de vous aider sur leur temps libre

[…]

 

Des milliers de clients y arrivent, pourquoi pas vous ?

 

Le mot de la fin : mon expérience face à l’apprentissage de l’inconnu

 

Je ne serai pas très honnête de vous raconter tout cela sans vous partager 2 moments de ma vie qui permettront à chacun surement de se reconnaître et de comprendre. 2 moments de ma vie où j’ai « surfé » sur la courbe de confiance et où je suis passé par tous les stades ci-dessus.

vendee globe 1

 

#1 Fin d’études, diplôme en poche, je suis à la recherche de nouveaux défis, je m’oriente sur le permis bateau !
J’étais en phase « je sais tout » et devinez quoi ?  Je l’ai loupé… Comment c’est possible ?  J’ai loupé l’ingrédient « être humble ».
J’ai honte mais j’assume, j’ai fait n’importe quoi, j’ai révisé une semaine avant l’examen et je n’en suis pas fier.
Pire, quand j’ai passé le second examen j’avais la boule au ventre de peur d’échouer une nouvelle fois alors que je m’étais préparé sérieusement. Si j’avais fait les choses correctement dès le début j’aurai été surement moins ridicule et bien moins stressé !

 

kitesurf 1

 

#2 J’ai commencé il y a quelques années à m’intéresser au Kitesurf. Vous savez, les supers gars sur une planche tractée par un cerf-volant sur l’eau et qui font des figures acrobatiques incroyable J. Ça avait l’air simple sur les vidéos… Bon quand j’ai commencé les cours je ne vous cache pas que j’étais vraiment en mode « Je ne comprendrai jamais rien ».

Pourquoi mon voisin qui à 200 ans y arrive sans forcer alors que moi je me fais secouer comme un sachet de thé dans une tasse ?! Pourquoi quand le moniteur me dit « attends je te montre c’est super simple » et que quand je pratique c’est tout de suite moins beau ?

Après des kilos de sel avalé, je suis maintenant en phase « ça commence à avoir du sens ». Ok, ce n’est pas en tenant 20 secondes sur une planche que je vais forte impression mais j’ai compris le « truc ». Ce truc qui permet de me faire tenir en me disant maintenant « je crois que je vais y arriver ».