Adieu les frontières entre le Bureau d’Etudes et le Bureau des Méthodes grâce à TopSolid !

Adieu les frontières entre le Bureau d’Etudes et le Bureau des Méthodes grâce à TopSolid !

C’est un fait : métier, mission, méthodes, organisation, outils et habitudes de travail, … tout semble opposer les services Bureau d’Etudes et Bureau des Méthodes, et ce, dans de très nombreuses entreprises. Bien souvent, les deux entités n’évoluent d’ailleurs pas dans le même environnement et sont éloignées géographiquement. L’absence d’interaction entre les deux services est parfois telle, que l’on parle littéralement de « frontière ».

Or, à l’heure de l’industrie 4.0 où la connectivité et la communication tous azimuts constituent un incontournable stratégique, le clivage entre BE et BM tend à devenir une problématique structurante pour les performances de l’entreprise.

Découvrons comment la solution logicielle TopSolid est à même de faire tomber les murs !

1) Bureau d’Etude VS Bureau des Méthodes : deux entités souvent en opposition au sein d’une entreprise

 

A) Rappel des missions de chacun

Bureau d’Etudes

Entre ingénierie et expertise, la mission du bureau d’études (BE), s’articule autour du conseil, de la recommandation et du contrôle :

  • En tant que sous-traitant, le bureau d’études réceptionne et évalue la faisabilité des projets extérieurs qui lui sont confiés.
  • En tant que service intégré chez un fabricant, le BE est chargé de la conception des projets pour les clients de son entreprise.
  • La gestion des projets entre également dans le périmètre d’action du bureau d’études, qui doit en assurer la conformité et la traçabilité.
  • Enfin, le BE élabore un plan détaillé de la conception qu’il transmet au bureau des méthodes.

Une mission novatrice et dédiée au service

 

Bureau des Méthodes

Véritable pivot entre la ligne de production et le bureau d’études, le bureau des méthodes est chargé de concrétiser le projet en provenance du BE. Sa mission revêt plusieurs facettes :

Validation de la faisabilité du produit après étude d’éléments tels que, modélisation, cotes moyennes, géométrie du brut, ou montage d’usinage.

Industrialisation : c’est l’étude des moyens (outils, machines, opérateurs, matériels et équipements) et des solutions à mettre en oeuvre dans le processus de fabrication.

Optimisation de l’organisation du travail (gestion des flux, des accès, des manipulations, …) et de l’usinage (gestion du temps et des coûts), avec pour objectif le gain de productivité.

Surveillance du parc des machines et des équipements : signalement du besoin de maintenance ou de remplacement.

Gestion de la conformité de la production par rapport aux modes opératoires (ordre des opérations, outils utilisés, nombre de personnes et temps nécessaires à la réalisation de chaque tâche).

Une mission plurielle au cœur de laquelle s’inscrit naturellement une nécessité d’ordre stratégique de communication avec le bureau d’études.

Pourtant les échanges entre les deux services sont souvent loin d’être fluides et collaboratifs.

 

B) Deux mondes qui peuvent s’opposer

Créatifs d’un côté, opérationnels de l’autre et incompatibilité d’humeur … la réalité est à peine plus subtile. Par ailleurs, le manque de proximité géographique

Il se trouve que la mission du Bureau d’études réside dans la conception de projets innovants, issus de la R&D et par conséquent présentant une technicité très élaborée. A ce titre, le service peut privilégier ces aspects gratifiants, considérant le BM comme une sorte de sous-traitant, et occultant de ce fait la manière dont vont être industrialisés les projets … voir même leur faisabilité !

Or le Bureau des Méthodes est chargé d’industrialiser les projets émis par le Bureau d’Etudes … une situation endémique met inévitablement en opposition les deux services, le BE défendant l’innovation, et considérant le BM comme un frein à la conception et à la créativité … le BM de son côté ne pouvant pas toujours répondre favorablement au projet conceptuel pour cause de non-solution avérée.

Faut-il pour autant accepter cet état de fait comme une fatalité et « faire avec » ?

2) Les inconvénients d’une opposition trop marquée entre BE et BM

 

Une chose est certaine, les deux services parlent le même langage : celui de la modélisation 3D, des cotes moyennes, de la géométrie du brut, du montage d’usinage ou encore des références de tolérance. Et les occasions d’échanger pour le bon déroulement du projet ne manquent pas : informations nécessaires à l’industrialisation du BE vers le BM, demandes de précisions ou de révision avant lancement de la gamme d’usinage du BM vers le BE.

Mais lorsque la frontière qui sépare les deux services est infranchissable, c’est une cascade de    dysfonctionnements nuisibles pour l’ensemble de l’organisation qui en découle :

  • Perte de temps en discussions post conception, chacun défendant sa position.
  • Multiplication des risques d’erreur et de perte de données en cas d’absence d’interface d’échange direct.
  • Quid de la récupération automatique des propriétés des pièces et des caractéristiques de fabrication pour les correctifs BM ou BE ?
  • Et puis … on en parle de l’ambiance de travail et de la motivation ?

C’est majoritairement de cette lourdeur de fonctionnement que naissent les tensions. La perte de temps liée à un manque de fiabilité et de traçabilité constitue l’ennemi n°1 de l’efficacité. Une situation qui entraîne la hausse des coûts standards, diminue potentiellement la qualité, et grève copieusement et la productivité… sans parler du retard au niveau des délais !

En résumé, tout le contraire de ce qui est attendu pour répondre aux enjeux stratégiques de l’entreprise. Comment, alors, créer le pont entre le bureau d’études et te le bureau des méthodes, pour en finir cette frontière contre-productive ?

 

3) TopSolid : la solution reliant les deux mondes

 

Passer d’une idée de produit à son industrialisation implique dans le contexte actuel lié à l’industrie 4.0, la pratique – et si possible la maîtrise – de plusieurs impératifs dits « de base » :

  • une réflexion commune en amont sur le projet global
  • une information unique, fiable et partagée pour cadrer et sécuriser les échanges
  • une communication fluide et factuelle
  • une réactivité décisionnelle
  • une collaboration réelle et synergique

Aussi, relier et rallier BE et BM s’inscrit dans une logique de synergie des processus, l’objectif étant de parvenir à la gestion rigoureuse des données géométriques, l’orchestration des flux et la collaboration. Un challenge ambitieux, que TOPSOLID SAS relève avec brio !

En effet, développées sur des bases de données communes avec une interface utilisateur homogène, les solutions CAO et FAO TopSolid sont associatives. De plus, la conception intègre tous les outils en adéquation avec la fabrication : les mises à jour des pièces suivent en FAO, et le BM peut même apporter, en accord avec le BE de légères modifications.

A travers cette solution logicielle CFAO ultra aboutie, TopSolid répond à des besoins qui, aujourd’hui, sont vitaux pour l’entreprise :

  • Maîtrise de la DATA: le PDM de la solution gère aussi bien les données techniques BE que BM, permettant ainsi la récupération intégrale des caractéristiques « pièces et fabrication ».
  • Traçabilité: l’outil TopSolid reporte automatiquement les modifications CAO dans la FAO, avec gestion des indices de modification commune.
  • Fluidification et sécurisation des échanges d’informations: avec TopSolid, terminées les  conversions de fichiers, les saisies successives des informations et les risques liés aux erreurs et à la perte de données.
  • Efficacité : en fusionnant les processus conception et fabrication, la collaboration BE et BM s’améliore, stimulant ainsi l’efficacité et la motivation.
  • Accroissement de la productivité et amélioration de la qualité.

Si cette nouvelle configuration des relations entre BE et BM nécessite de savoir mener la gestion du changement (culture d’entreprise, méthodes de travail, outils, …) elle constitue aussi les prémices de la continuité numérique, si essentielle aux exigences industrielles de demain.

Vous l’aurez compris, une communication fluide et collaborative entre le BE et le BM, permet d’effacer la frontière entre les deux services … Et parce que les volumes de données croissent et que les flux doivent être rationnalisés, il est devenu difficile pour les industries, de passer à côté d’une solution logicielle. TopSolid, à travers ses applicatifs CAM, CAD, PDM, et ERP, permet, sur une interface unique, de simplifier les échanges entre BE et BM, d’assurer la cohérence des projets, et de sécuriser les processus de conception fabrication tout en diminuant leur coût. Le gain de temps est colossal et l’efficacité des équipes BE et BM augmente. Au final, c’est la productivité de l’entreprise qui s’améliore … Défi réussi !

[SUCCESS STORY] Atelier d’Usinage BEltritti A.U.BE et TopSolid : une histoire qui dure depuis 20 ans !

[SUCCESS STORY] Atelier d’Usinage BEltritti A.U.BE et TopSolid : une histoire qui dure depuis 20 ans !

A.U.BE c’est avant tout une histoire familiale, celle d’un père et d’un fils, Gérard et Jean Beltritti, qui décident d’unir leurs connaissances techniques et commerciales pour se lancer dans la mécanique de précision. Créée en 2001, l’entreprise de douze personnes est aujourd’hui dirigée par Jean Beltritti et ses deux frères, Vincent et Benoît. Nous les avons rencontrés dans leur atelier d’usinage proche de Nîmes, où ils utilisent la chaîne complète TopSolid depuis 2002.

A.U.BE : une aventure entrepreneuriale familiale

Lorsque Gérard et Jean Beltritti créent A.U.BE en 2001, le père et le fils ont dans l’idée de proposer une approche moderne de l’usinage. Ils vont y parvenir en unissant leurs expertises dans le domaine de la mécanique de précision.  En 2003, Vincent Beltritti rejoint l’aventure et apporte ses connaissances en maintenance électrotechnique industrielle. Il est suivi, en 2013, par le troisième frère Beltritti, Benoît, qui devient lui aussi cogérant de l’Atelier d’Usinage Beltritti.

Cette structure légère, de douze personnes, est spécialisée dans la mécanique de précision, en prototype et en petite ou moyenne série. Dans son atelier de 350m2 situé en périphérie de Nîmes, des pièces mécaniques sont usinées depuis 2004. Elles sont destinées aux industries parmi les plus exigeantes, telles que le médical, l’high tech, l’aéronautique et même le spatial.

Les savoir-faire spécifiques d’A.U.BE

  • L’usinage : dans l’atelier sont réalisées des pièces unitaires, en petites ou moyennes séries, à partir de plans papier ou de fichiers informatiques (*.DXF, *.IGES volumique ou *.STEP). A.U.BE usine des chromes cobalt, des aciers, des inox, des aluminiums, des plastiques, etc.
  • Les ensembles mécaniques :U.BE réalise également des ensembles mécaniques montés avec des protections de surface (zingage bichromatage, anodisation, peinture…), des traitements thermiques et des fournitures industrielles (visserie, bagues de glissement, roulements, etc.).

A.U.BE et la CFAO : la quête d’une solution complète

Pour A.U.BE, « l’essentiel était d’avoir une chaîne complète, avec de la CAO complètement intégrée à la FAO », explique Jean Beltritti. C’est cette possibilité de gérer l’ensemble de l’atelier avec une solution unique qui a poussé la structure à s’équiper d’un logiciel de CFAO.

Avec l’objectif d’unifier les processus de travail de l’atelier, A.U.BE s’est mis à la recherche d’une solution capable de gérer l’ensemble de l’activité. En 2002, ils ont choisi TopSolid et utilisent aujourd’hui la chaîne complète TopSolid : TopSolid’Design, TopSolid’Cam et TopSolid’Erp. « Il y avait d’autres solutions en lice, mais on a choisi Top Solid parce que c’était un éditeur français. On préférait acheter en direct plutôt que de passer par un revendeur proposant des solutions étrangères », précise Jean Beltritti.

A.U.BE x TopSolid : se rapprocher de l’industrie 4.0

Avec TopSolid, A.U.BE s’approche de plus en plus de l’industrie 4.0, « la solution devient le langage universel de l’atelier », confirme Vincent Beltretti. En effet, au fil des années, les modules TopSolid se sont étendus à tout l’atelier d’usinage.

Avec TopSolid’Cam et TopSolid’Design, A.U.BE a, en effet trouvé une solution globale de CFAO, rendant possible la conception d’ensembles complexes en des temps records. « C’est un peu la colonne vertébrale de notre système de production », indique Vincent Beltritti.

En 2020, A.U.BE a également installé TopSolid’Erp. « Nous utilisons la totalité du logiciel TopSolid’Erp : de la gestion commerciale, jusqu’à la gestion des ventes, le suivi de production, avec une partie du module ordonnancement », explique Benoît Beltritti. « Nous utilisons également l’ERP pour la gestion des achats et le suivi des stocks », précise-t-il. « A chaque nouvelle commande, le logiciel vérifie le stock. Toutes les pièces disponibles sont alors réservées directement pour cette commande. Les sur-quantités sont donc évitées. Dans TopSolid’Erp la traçabilité est irréprochable ! ». L’entreprise a aussi changé de logiciel pour la partie atelier avec la méthode TopSolid’Erp iProd. Enfin, une version de TopSolid’Pdm Explorer est installée aux pieds des machines, sur des stations de pointage : les opérateurs peuvent ainsi directement prendre des cotes sur les pièces.

Chez A.U.BE, TopSolid’Cam et TopSolid’Design et TopSolid’Erp s’interfacent donc pour former une solution complète. Une expansion progressive de la solution TopSolid dans l’atelier qui présente de nombreux avantages. « Désormais, quand une machine est bloquée, on peut plus facilement transférer la production d’une machine à une autre. Cela nous rajoute énormément de flexibilité », se félicite Vincent Beltritti.  Et son frère, Benoît, de poursuivre : « On a aussi l’assurance qualité, avec la gestion de toutes les exigences qualité de nos clients. C’était notamment un point fort pour la mise en place de notre ISO9001. ».

A.U.BE x TopSolid : une relation pérenne

Présent depuis les débuts dans l’atelier, TopSolid fait partie intégrante de l’aventure A.U.BE. L’entreprise et la solution ont évolué de concert et leur collaboration n’est pas près de s’arrêter. « Dans le futur, on va continuer à faire comme on fait depuis le début. Nous avons la maintenance de TopSolid’Cam et on va suivre toutes les évolutions », assure Vincent Beltritti. Chaque année, les collaborateurs d’A.U.BE sont deux à trois jours en formation pour découvrir et apprivoiser les nouveautés TopSolid.

Pour continuer son développement, l’atelier a déjà plusieurs autres projets dans ses tiroirs. A.U.BE aimerait ainsi se concentrer sur le calcul des temps d’usinage en s’équipant de l’outil de chiffrage TopSolid’PartCosting. Une nouvelle brique TopSolid qui lui permettrait de travailler sur les fichiers volumiques et ainsi mieux déterminer les temps de fabrication, tout en étant plus précis dans les chiffrages. « Nous souhaiterions également développer et améliorer la partie contrôle et suivi de fabrication avec TopSolid’Inspection » conclut Jean Beltritti. En tant que solution évolutive, TopSolid s’inscrit parfaitement dans la stratégie de l’atelier : renforcer le potentiel humain et matériel pour pérenniser l’activité.

Les équipes de TopSolid sont fières de collaborer avec A.U.BE depuis presque 20 ans et sont impatientes d’accompagner l’atelier dans la réussite de ses futurs projets !

CFAO : pourquoi faire appel à un développement spécifique avec TOPSOLID Services ?

CFAO : pourquoi faire appel à un développement spécifique avec TOPSOLID Services ?

Aujourd’hui, le fait est avéré : les logiciels industriels de la gamme TopSolid couvrent l’ensemble des besoins en CFAO, pour les métiers de la mécanique, la tôlerie/chaudronnerie, la métallerie ou encore le bois … Mais l’éditeur va plus loin et propose à ses clients d’intégrer à leur outil TopSolid, quel qu’il soit, leurs compétences métier spécifiques.

C’est d’ailleurs la mission de l’équipe TOPSOLID Services que de mettre en place des développements sur mesure. Qu’en est il de leur nature, de leur valeur ajoutée pour les entreprises utilisatrices, et comment sont ils gérés par TOPSOLID SAS ? Nos réponses !

1/TOPSOLID Services : quels types de développements spécifiques possibles ?

 

Les équipes TOPSOLID Services interviennent sur leurs propres logiciels, à la demande d’un client ou d’un revendeur. L’objectif ? Adapter l’outil TopSolid en place, au moyen de technologies et d’applications au plus près des besoins et du contexte client, pour lui offrir une solution sur mesure.

A ce titre, les besoins en automatisation, grand enjeu de productivité, sont au cœur des demandes de développements spécifiques. Dans un environnement exploitant déjà les logiciels TopSolid, le besoin d’automatisation concerne le plus souvent les processus de l’entreprise, ainsi que les outils de vérification.

Dans le même esprit, il est possible de créer des fonctionnalités, des méthodes ou des algorithmes complémentaires aux fonctions existantes, afin d’en améliorer … la productivité, on y revient encore une fois !

L’unité et la sécurité de la DATA, autre enjeu majeur du secteur, constitue également un item récurrent au sein des cahiers des charges clients. A l’ère de l’industrie 4.0, elle concerne notamment le développement de nouveaux applicatifs destinés au partage d’information entre les logiciels TopSolid, l’ERP de l’entreprise et la Production, et à la sécurisation des données techniques produites par TopSolid. Par exemple, un service de cryptage peut-être proposé, afin de protéger les bibliothèques de composants standards. En effet, ces dernières ayant bien souvent fait l’objet d’un travail de personnalisation conséquent de la part de l’entreprise cliente, les sécuriser et en cadrer l’utilisation est essentiel … voire même stratégique !

Les exemples sont multiples, mais notons que dans la majorité des cas, ces applicatifs spécifiques se basent sur la gamme des produits TopSolid, afin de conserver l’homogénéité et la qualité du service global.

 

 

 

 

2/Quels sont les avantages d’un développement spécifique en CFAO?

 

Le développement spécifique en CFAO constitue la garantie de préserver ce qui définit votre spécificité ! Argument facile nous direz-vous ? Certes, mais l’atout mérite néanmoins d’être souligné. En effet, l’un des points forts de TopSolid réside dans sa capacité à intégrer le savoir-faire utilisateur et la valeur ajoutée métier au cours de l’adaptation personnalisée de ses logiciels. Ainsi, la pérennité des connaissances et des acquis de l’entreprise est non seulement assurée, mais également protégée d’éventuels piratages, l’ensemble des méthodes, des bibliothèques et des différents outils étant crypté.

De manière générale, il faut savoir qu’un développement spécifique en CFAO simplifie dans une proportion très importante, l’utilisation de votre logiciel TopSolid, notamment à travers l’automatisation de certaines tâches. D’une part les risques d’erreurs manuelles sont considérablement réduits, voir réduits à néant, de l’autre vous gagnez de ce fait en productivité.

C’est bien là l’objectif du développement spécifique n’est-ce pas ?

3/Les étapes d’un développement spécifique chez un client TopSolid

 

A/Identifier les lourdeurs de processus métier

Certaines tâches répétitives sont réalisées avec une habitude et une résignation telles, qu’elles ne suscitent plus de questionnement. Sachant cela, on retrouve la même conséquence dans la plupart des entreprises : on ne se rend pas forcément compte du temps perdu à cause de tâches réalisées par habitude. Elles sont ainsi rarement remises en question.

 

Et c’est bien souvent une intervention de consulting ou d’assistance technique des ingénieurs d’application ou revendeurs, qui met en évidence votre besoin en termes de développements spécifiques. Mais pas toujours. Si d’aventure vous aviez déjà mis le doigt sur des optimisations à apporter à votre outil, n’hésitez pas à directement passer à l’étape suivante !

B/ Démarrage d’un développement spécifique : l’audit réalisé par l’équipe TOPSOLID Services

Pour bien démarrer, il est essentiel de bien décrire l’objectif de la demande, et non pas le processus la concernant. Le but consiste à capter l’ensemble du besoin du client et le formaliser afin d’exposer correctement le sujet. La frontière est mince entre les deux notions, mais essentielle à préciser. En effet, ce travail d’audit nous permet de cadrer les objectifs que vous souhaitez atteindre, ainsi que les étapes intermédiaires qui y sont liées.

Au terme de ces deux pré-requis incontournables, viennent la sacro-sainte étude de faisabilité, le chiffrage et bien évidemment s’ensuivent une série d’échanges et de tests entre nos équipes, avant de parvenir à la validation finale … rien de plus habituel quant à la gestion d’un développement quel qu’il soit !

En définitive, l’expertise TopSolid montre qu’un développement spécifique peut être efficace et rentable même s’il n’est ni complexe, ni onéreux.  Une bonne nouvelle dont la plupart de nos clients ont su apprécier les avantages, si l’on en juge par le nombre et la diversité des développements spécifiques, qui ont déjà été menés à ce jour autour des produits de la gamme TopSolid.

 

Conclusion

Terminons par un petit exercice :

1) Evaluez le coût pour votre entreprise d’un processus sans, puis avec développement spécifique,

2) Comparez et calculez, juste pour vous rendre compte, l’économie réalisée grâce au temps gagné,

3)  Au passage, appréciez le confort d’utilisation du logiciel adapté au contexte de votre entreprise et ses besoins,

4) Puis, plus la peine de vérifier, les erreurs de saisies sont une histoire révolue,

5) Sachez également que si le nombre d’utilisateurs des applicatifs se multiplie, vos gains croissent en conséquence !

Le plus de la fin : dans la logique de proximité qui caractérise notre relation client, une équipe rompue aux techniques de développement de logiciel, à votre écoute, et complètement dédiée à la personnalisation de vos applications est mise à votre disposition. Il ne nous reste plus qu’à en parler !

Contactez-nous dès à présent !

Dématérialiser le processus d’auto-contrôle dans l’atelier

Dématérialiser le processus d’auto-contrôle dans l’atelier

Pour éviter les irrégularités et les réclamations clients qui pourraient en découler, tous les ateliers d’usinage doivent mettre en place un processus d’auto-contrôle de leurs pièces mécaniques. Cependant, cette étape incontournable de la chaîne de production est encore bien trop souvent effectuée manuellement, à l’aide d’un document papier ou d’un fichier Excel : une méthodologie contreproductive puisque particulièrement sujette aux erreurs humaines. Pour pallier cela et répondre aux enjeux d’efficacité et de productivité du secteur industriel, la solution réside dans la dématérialisation du processus d’autocontrôle dans les ateliers. Vous souhaitez connaître les bénéfices d’un contrôle dématérialisé et connecté ? Suivez le guide !

Le processus d’auto-contrôle classique pour un sous-traitant mécanique

Pour satisfaire les demandes des clients, un sous-traitant mécanique se doit de fabriquer des pièces conformes au plan de pièce qui lui a été fourni. Afin d’évaluer la qualité de leurs commandes, les clients pourront, en effet, exiger du sous-traitant un rapport de contrôle prouvant le respect de toutes les cotes dimensionnelles du plan de pièce. Ce contrôle qualité étant un processus coûteux, il se fera sur un échantillon assez faible, généralement la première et la dernière pièce de la série.

Cependant, certaines cotes dimensionnelles sensibles, car plus précises, doivent être contrôlées plus fréquemment (parfois sur toutes les pièces de la série), le moindre écart pourrait en effet générer un rebut. Ce contrôle pièce par pièce est souvent effectué au pied de la machine, sur papier ou sur tableur, par l’opérateur lui-même, c’est ce qu’on appelle l’auto-contrôle.

Lire aussi : Comment gagner du temps dans le processus de contrôle de pièce mécanique ?

Quand cela est possible, l’auto-contrôle est effectué en temps masqué : pendant qu’une pièce est travaillée sur la machine CN, l’opérateur mesure les cotes sensibles avec des instruments tels que le pied à coulisse, le micromètre, le tampon… Les résultats obtenus sont ensuite reportés sur la fiche de contrôle qui constituera elle-même le support de traçabilité du processus de vérification.

L’auto-contrôle remplit trois principaux objectifs :

  • Tracer les preuves de conformité de la pièce
  • Détecter les défaillances du processus de fabrication le plus tôt possible
  • Impliquer et responsabiliser l’opérateur

Les limites de l’auto-contrôle « manuel »

Puisqu’il est réalisé par la main de l’homme, sans aide technologique, l’auto-contrôle manuel présente plusieurs inconvénients :

  • Dans l’effervescence d’un atelier de production, un document papier restera difficilement « présentable ».
    Cela pourrait poser problème lors de l’envoi du rapport au client et obliger un temps de ressaisie des données dans un format plus propre.
  • La saisie des mesures au stylo n’est pas des plus claires. Le risque de ratures est important, ce qui pourrait donner lieu à de mauvaises interprétations ou rendre le document illisible.
  • La probabilité de se tromper de case sur un document papier est également élevé.

Avec une informatisation de l’atelier, on peut facilement imaginer ce même document sur un fichier Excel, avec saisie au clavier et à la souris, en installant, par exemple, un ordinateur au pied de la machine. Un premier pas vers la dématérialisation, mais une solution qui n’est pas encore idéale, puisqu’elle comporte tout de même quelques inconvénients :

  • Une perte de temps liée à la saisie manuelle de l’opérateur au clavier.
  • Une probabilité de se tromper de case en saisissant les informations.
  • Un manque de traçabilité puisque les données ne sont pas reliées entre elles.

Vers la dématérialisation du processus d’auto-contrôle avec TopSolid’Inspection

Dématérialiser son processus d’auto-contrôle : de quoi parle-t-on ?

La création de valeur en entreprise est avant tout le fruit du savoir-faire et de l’expertise de femmes et d’hommes. En ce sens, la dématérialisation de l’auto-contrôle apporte des réponses aux problématiques d’implication des personnels, de traçabilité et d’optimisation du flux de production.

Contrairement à l’auto-contrôle manuel, l’usage de l’outil informatique et d’instruments de mesure connectés permet de :

  • Porter l’information au pied de la machine: via des ordinateurs, des tablettes…
  • Présenter uniquement les informations nécessaires: sur une interface simplifiée, tactile et simple d’utilisation.
  • Eviter les oublis: en guidant l’opérateur dans le processus de contrôle, « Sur quelle pièce je me trouve ? Quelle cote dois-je mesurer ? »
  • Détecter les défaillances de façon instantanée: via un code couleur, un paramétrage des limites de surveillance et une carte de contrôle dynamique.
  • Augmenter la traçabilité de chaque action: en permettant de savoir quel opérateur a contrôlé la cote et avec quel instrument de mesure.
  • Limiter les erreurs de saisie : grâce à la compatibilité avec les instruments de mesure connectés.
  • Réduire le temps de contrôle et augmenter la productivité: en utilisant un plan bullé avec localisation de la cote à contrôler.
  • Optimiser les contrôles et capitaliser les données pour alimenter les outils statistiques : via des indicateurs de capabilité, carte de contrôle, statistique des procédés.
  • Faciliter les recherches d’anomalies et la traçabilité des instruments de mesure : un outil de recherche multicritères permet d’identifier des projets et points de contrôle, selon des critères de sélection (dates, client, moyen de contrôle…).
  • Fluidifier la relation client: en imprimant à la demande les rapports d’auto-contrôle, FAI, et en créant des mises en page personnalisées.

Quels sont bénéfices de la dématérialisation de l’auto-contrôle pour les entreprises ?

Pour les entreprises, cette dématérialisation du processus d’auto-contrôle présente de nombreux avantages :

Une optimisation de la traçabilité des contrôles :

  • Historique des opérations
  • Instruments de mesure

 

Une augmentation de la productivité :

  • Interface simplifiée
  • Compatibilité avec les instruments de mesure connectés
  • Pas de ressaisie

 

Un pilotage en temps réel :

  • Indicateurs de dérive pour prévenir les effets de déréglage
  • Carte de contrôle dynamique

 

Une capitalisation des données :

  • Utilisation des données en statistique des procédés pour prévenir les dérives, plutôt que de gérer les défauts après fabrication
  • Rationalisation des plans d’échantillonnage

Parce que la lecture du plan est au centre des processus qualité de contrôle de pièce, TopSolid’Inspection travaille directement sur le plan 2D pour récupérer la valeur des cotes à relever. Cela permet de déclencher des traitements et des rapports de contrôle automatiques, offrant ainsi aux opérateurs la possibilité de se décharger de tâches très chronophages lorsqu’elles sont effectuées manuellement.

L’époque du contrôle manuel et contreproductif est révolue. Désormais, le logiciel TopSolid’Inspection vous permet d’automatiser toutes les étapes du processus de vérification, avec à la clef, un gain de temps, une fiabilité accrue et une efficacité optimale. De plus, les nombreuses fonctionnalités de TopSolid’Inspection vous permettent d’obtenir une meilleure productivité et une amélioration continue de vos processus de contrôle ! Vous souhaitez doter votre entreprise d’une solution connectée pour accélérer l’initialisation et le pilotage de vos projets d’inspection ?  Contactez-nous !

[Success Story] CATTIN by dker x TopSolid’Erp : pour un échange d’informations rapide, efficace et pertinent

[Success Story] CATTIN by dker x TopSolid’Erp : pour un échange d’informations rapide, efficace et pertinent

CATTIN by dker, c’est une histoire de famille depuis 1956, date à laquelle le grand-père a fondé l’entreprise. Utilisateur de TopSolid, CATTIN by dker est spécialisé dans l’usinage complexe de haute précision, du tournage au fraisage. Rencontre avec Philippe et Stéphane Rossignolo, 3e génération de dirigeants de la société.

L’univers CATTIN by dker

Créée au centre de Grenoble, l’entreprise est désormais implantée à Gières, dans l’Est grenoblois. Aujourd’hui, CATTIN by dker ne réalise pas moins de 4 millions d’euros de chiffre d’affaires. Depuis 3 générations, l’entreprise CATTIN by dker a ainsi su se forger une solide réputation dans le domaine de l’usinage complexe de haute précision. Grâce à 40 collaborateurs expérimentés et dotés de savoir-faire spécifiques, l’entreprise usine un large panel de matières, qui vont des plastiques techniques aux aluminiums, en passant par les inox, les titanes, les Inconel ou encore les matières non ferreuses.

De la réalisation du prototype jusqu’à la série, CATTIN by dker met son expertise au service de secteurs exigeants : aéronautique, spatial, défense, médical, électronique, cryogénie et recherche. Capable de répondre à des demandes complexes grâce à des moyens d’usinage spécifiques et à un contrôle de haute technologie, l’équipe accompagne les entreprises tout au long de leur processus de fabrication.

Les savoir-faire spécifiques de CATTIN by dker :

  • Contrôle endoscopique
  • Usinage de blocs forés
  • Bouchonnage étanche
  • Forage profond
  • Usinage en micromécanique (fraisage à partir de Ø 0,1 et perçage à partir de Ø 0,050)
  • Cintrage et gainage de barre 3D

CATTIN by dker, à la recherche d’un ERP pour centraliser les données

Pour répondre à la demande et gérer l’ensemble de ses processus, le choix d’investir dans une solution ERP s’est imposé pour CATTIN by dker. « Nous travaillons avec des clients exigeants, dans des secteurs assez précis, avec une grosse demande de traçabilité. Il nous fallait vraiment un logiciel métier qui réponde parfaitement à toutes ces demandes. », explique en effet Philippe Rossignolo. L’équipe de CATTIN by dker se penche alors sur les différentes solutions ERP disponibles sur le marché. Pour faire leur choix, plusieurs critères ont été établis. La solution devait notamment répondre aux besoins suivants :

  • Garantir la centralisation de l’information
  • Dématérialiser l’ensemble des documents et favoriser leur partage
  • Répondre à la demande de traçabilité
  • Gagner en pertinence et en réactivité

« L’un des aspects importants pour nous était également de travailler en direct avec l’éditeur du logiciel, et d’éviter les intermédiaires », précise Philippe Rossignolo.

L’équipe de CATTIN by dker a finalement choisi de travailler avec TopSolid’Erp. « L’idée c’était de trouver une solution globale dans laquelle nous pouvions centraliser l’ensemble des informations, et être capable de les transmettre à nos collaborateurs. », explique-t-il.

Les bénéfices de TopSolid pour CATTIN by dker

TopSolid’Erp, pour une information centralisée

Le premier bénéfice apporté par TopSolid’Erp est l’utilisation d’un système qui assure l’unicité de l’information. Des données centralisées dans une seule et même base de données, pour une communication fluide et pertinente ! « Vraiment, le point fort de TopSolid’Erp c’est la centralisation de l’information et le fait de pouvoir échanger avec nos collaborateurs de manière pertinente, rapide, efficace. En cela, nous avons obtenu de véritables gains de productivité. », confie à ce sujet Philippe Rossignolo.

A son frère Stéphane de poursuivre : « Le module iProd nous permet de dématérialiser nos ordres de fabrication et permet à nos collaborateurs dans l’atelier d’avoir un lien direct au planning, en temps réel. » Module d’acquisition de données pour le pointage d’activité, TopSolid’Erp-iProd est en effet destiné à distribuer le travail pour répondre à l’urgence, ainsi qu’à mettre tous les documents dématérialisés à disposition des opérateurs (OF, instructions, CAO…). Le suivi de production est ainsi réalisé, et la réactivité face aux aléas assurée.

 

TopSolid : une solution complète pour CATTIN by dker

Une maîtrise des délais

Afin d’aider les entreprises à maîtriser les flux de production et les délais, TopSolid’Erp dispose d’un véritable outil de planification et d’ordonnancement des ressources : le module GPAO. Les délais sont établis dès la réalisation du devis. En plus d’optimiser l’organisation, un tel module permet de pérenniser et d’améliorer les relations clients. Comme en témoigne Stéphane Rossignolo : « L’outil de planification intégré à TopSolid’Erp nous a permis de maîtriser les délais et d’améliorer l’organisation de la production. ».

 

Stratégie de développement de la solution

Les solutions TopSolid sont développées sur un même environnement. Ainsi, les entreprises peuvent déployer une stratégie de développement efficace, d’autant que l’outil TopSolid est adaptable pour répondre aux spécificités de chacune d’elles.

« Avec TopSolid’Erp nous avons mis en oeuvre une stratégie de développement de la solution : le déploiement commercial, la gestion des devis, le traitement des commandes. Également nos stocks : le stock matières, les stocks outillage. Mais aussi l’intégration de la GED, l’édition de nos OF, les remontées des temps d’atelier. Ainsi que le contrôle : relevé dimensionnel et relevé des informations directement au poste. », précise Philippe Rossignolo.

 

Traçabilité, contrôle et pérennité

CATTIN by dker utilise également TopSolid’Inspection, logiciel d’assistance au service qualité, permettant notamment la création de rapports de contrôle. TopSolid’Inspection récupère la valeur des cotes à relever sur le plan 2D, et déclenche des traitements automatiques habituellement très chronophages pour les équipes.

« TopSolid’Inspection nous permet de générer nos gammes de contrôle. Le module Z nous permet quant à lui de numériser tous nos documents, afin d’assurer une traçabilité et la pérennité de toute la gamme de fabrication. », se réjouit Stéphane Rossignolo.

 

Une adhésion immédiate des équipes CATTIN by dker à la solution TopSolid

Pour accompagner CATTIN by dker dans le déploiement du logiciel, l’équipe TOPSOLID a assuré toute la partie support. TOPSOLID considère en effet que la formation et l’accompagnement à la conduite du changement sont indispensables pour réussir tout projet. De plus, les solutions proposées par TOPSOLID sont pensées pour en faciliter la prise en main. C’est donc tout naturellement que les équipes de CATTIN by dker ont adhéré au projet. « L’ensemble de nos collaborateurs a facilement adhéré à la solution TopSolid’Erp, par sa facilité d’utilisation et le côté intuitif. », confie en effet Stéphane Rossignolo. Fiers de cette collaboration réussie avec CATTIN by dker, TOPSOLID leur souhaite beaucoup de succès dans leurs projets futurs !