Usinage : votre guide complet !

Usinage : votre guide complet !

L’usinage joue un rôle essentiel dans la production de pièces de précision et de haute qualité. Que vous soyez un professionnel de l’ingénierie ou un curieux désireux d’en apprendre davantage sur cette technique industrielle, ce guide complet de l’usinage est fait pour vous.

Usinage : définition

Qu’est-ce que ça veut dire usinage ?

L’usinage est un processus de fabrication qui consiste à donner forme à un matériau brut, tel que le métal, le plastique ou le bois, en enlevant de la matière pour obtenir une pièce finie avec des dimensions précises et des caractéristiques spécifiques. Automobile, aérospatial, énergie, électronique… L’usinage est une des méthodes les plus couramment utilisées dans l’industrie.

L’objectif principal de l’usinage est de créer des formes complexes et des surfaces finies avec une grande précision. Cela peut inclure la réalisation de cavités, de rainures, de filetages, de perçages et de surfaces planes ou courbes, en fonction des spécifications techniques du produit final.

L’une des principaux avantages de l’usinage réside dans sa polyvalence. L’usinage peut en effet être utilisé pour produire une large gamme de pièces, allant des simples composants individuels aux ensembles plus complexes. Par ailleurs, l’usinage est adapté à différents types de matériaux, notamment les métaux ferreux et non ferreux, les plastiques techniques ou les composites.

Zoom sur les machines d’usinage

Le processus d’usinage implique l’utilisation d’une machine-outil, telle qu’un tour, une fraiseuse, une rectifieuse ou une perceuse, qui est contrôlée avec précision pour enlever la matière de manière progressive et méthodique. Différents outils de coupe, tels que des forets, des fraises, des alésoirs et des lames, sont utilisés en fonction des besoins spécifiques de l’opération d’usinage.

Au fil des années, l’usinage a évolué avec l’introduction de nouvelles technologies et techniques. Les machines-outils modernes sont devenues de plus en plus automatisées, intégrant des systèmes de commande numérique et des capteurs avancés pour améliorer la précision, la productivité et la sécurité des opérations d’usinage. De nos jours, la plupart des entreprises utilisent ainsi des machines-outils à commande numérique (MOCN), adossée à un système informatique (FAO), ce qui permet d’automatiser partiellement ou totalement la procédure d’usinage.

C’est quoi un technicien d’usinage ?

Un technicien d’usinage est un professionnel qualifié spécialisé dans l’exécution des opérations d’usinage. Il est responsable de la préparation et de la mise en place des machines-outils, du choix des outils de coupe appropriés, du réglage des paramètres de coupe et de l’exécution des opérations d’usinage. Pour y parvenir, il doit être capable de lire et d’interpréter des plans techniques, de sélectionner les bonnes méthodes d’usinage en fonction des spécifications, et d’utiliser avec précision les machines et les instruments de mesure pour garantir la conformité aux tolérances requises.

En plus de ses compétences techniques, le technicien d’usinage doit posséder une solide compréhension des matériaux, des procédés d’usinage et des normes de sécurité. Il doit être capable d’analyser les problèmes potentiels, de résoudre les défauts de fabrication et de prendre des mesures correctives pour assurer la qualité des pièces usinées. Avec l’évolution rapide de l’industrie de l’usinage, les techniciens d’usinage sont par ailleurs tenus de se tenir à jour avec les nouvelles technologies et les avancées du domaine. Ils peuvent en effet être amenés à travailler sur des machines-outils avancées, à intégrer des systèmes de commande numérique et à utiliser des logiciels de conception assistée par ordinateur (CAO) pour optimiser les processus d’usinage.

 

Quelles sont les 4 opérations basiques d’usinage ?

Le tournage

Réalisée sur un tour, cette technique permet de fabriquer des pièces cylindriques, coniques, ou avec des formes complexes telles que des filetages ou des rainures. La pièce à usiner est fixée sur une broche rotative, tandis que l’outil de coupe est déplacé le long de la pièce pour enlever de la matière et lui donner la forme souhaitée.

Le fraisage

Le fraisage consiste à utiliser une fraise rotative pour enlever de la matière et créer des formes complexes telles que des rainures, des surfaces planes, des poches ou des contours. Les fraiseuses peuvent être utilisées pour l’usinage en 2D ou en 3D, en fonction des mouvements de la pièce et de l’outil de coupe.

Notons que le fraisage de surfaces planes consiste à utiliser une fraise spéciale pour obtenir des surfaces planes lisses et précises. Le fraisage de surfaces planes est souvent utilisé pour réaliser des surfaces d’appui ou des surfaces de référence dans les pièces.

Le perçage / alésage / taraudage

Le perçage est une opération permettant de réaliser des trous dans une pièce à l’aide d’un foret. Le foret tourne et pénètre dans la pièce, en enlevant de la matière pour créer un trou de diamètre et de profondeur précis. Le perçage peut être réalisé sur une perceuse classique ou sur une machine-outil plus avancée.

Complémentaire, le taraudage est une opération utilisée pour créer des filetages internes dans un trou préalablement percé. Un outil de taraud est utilisé pour couper des rainures en forme de filet à l’intérieur du trou, permettant ainsi de visser des boulons ou d’autres éléments filetés.

Enfin, l’alésage vise à agrandir et à améliorer la qualité d’un trou préalablement percé dans une pièce. Cette opération est généralement utilisée lorsque l’on cherche à obtenir des tolérances très précises, des finitions de surface de haute qualité ou des dimensions spécifiques.

La rectification

La rectification est une opération d’usinage de haute précision utilisée pour obtenir des surfaces très lisses et des dimensions précises. Cette opération est réalisée à l’aide d’une rectifieuse qui utilise des meules abrasives pour enlever de petites quantités de matière et obtenir des tolérances très strictes.

Ces opérations d’usinage sont à la base de nombreuses autres techniques d’usinage plus avancées. En fonction des spécifications de la pièce à usiner, des tolérances requises et des caractéristiques géométriques souhaitées, il est important de choisir la bonne opération d’usinage.

 

 

La gamme de solutions CAO, FAO, PDM et ERP TopSolid

Quel avenir pour l’usinage ?

Plusieurs grandes tendances sont à noter dans l’univers de l’usinage.

L’automatisation accrue

L’usinage est de plus en plus automatisé, avec l’introduction de robots et de systèmes de fabrication intelligents. Les machines-outils modernes sont équipées de capteurs avancés, de commandes numériques et de technologies d’intelligence artificielle pour optimiser les processus de production, améliorer la précision et la vitesse, et réduire les erreurs humaines.

L’impression 3D pour l’usinage

L’impression 3D est de plus en plus utilisée dans l’usinage, en particulier pour la fabrication de pièces complexes. Les technologies d’impression 3D métallique permettent en effet de produire des pièces avec des géométries internes complexes, ce qui réduit la nécessité d’opérations d’usinage supplémentaires. L’intégration de l’impression 3D et de l’usinage traditionnel offre des opportunités de conception et de fabrication plus flexibles.

La fabrication additive hybride

La fabrication additive hybride combine l’impression 3D avec l’usinage traditionnel. Cette approche permet de construire des pièces avec des structures complexes grâce à l’impression 3D, puis d’effectuer des opérations d’usinage pour obtenir des surfaces finies, des tolérances précises ou des fonctionnalités supplémentaires.

L’intégration de l’intelligence artificielle

L’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans l’usinage est en expansion. L’IA peut être utilisée pour analyser les données en temps réel provenant des machines-outils, optimiser les paramètres de coupe, détecter les défauts de fabrication et améliorer l’efficacité globale du processus d’usinage.

La durabilité et l’éco-responsabilité

L’usinage du futur se concentrera également sur la durabilité et l’éco-responsabilité. Les entreprises chercheront à réduire leur empreinte environnementale en adoptant des pratiques d’usinage plus économes en énergie, en utilisant des matériaux recyclables et en optimisant les processus pour réduire les déchets.

 

Médical, aéronautique, mécanique générale ou de précision, métiers du moule ou des outils à suivre, horlogerie, lunetterie, pièces mécano-soudées… Quel que soit votre métier, TopSolid’Cam répond à tous vos besoins en usinage ! Nos différents modules proposent en effet un large panel de solutions techniques pour vos besoins d’usinage en fraisage 2D, 3D, 4 ou 5 axes, en positionné ou en continu et également en tournage et en décolletage. Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez-nous !

Comment la conception 3D et l’ingénierie digitale optimisent les rapports d’avancement ?

Comment la conception 3D et l’ingénierie digitale optimisent les rapports d’avancement ?

Les projets tunnels, sans aucun contact avec le client, sauf au début et à la fin, est-ce de l’histoire ancienne ? Malheureusement non. C’est la hantise de nombreux clients et souvent un pis-aller pour certains prestataires soumis à des contraintes financières et de temps trop fortes. Ce qui disparaît en premier quand un projet commence à mal tourner : l’organisation, et en particulier la documentation, comme les rapports d’avancement. Ils sont pourtant d’une importance capitale pour toutes les parties prenantes.

Dans le secteur de l’industrie, en créer régulièrement peut réellement prendre beaucoup de temps, pour un résultat souvent aride voire inutilisable. Grâce à la conception 3D et à l’ingénierie digitale il est possible de générer rapidement des documents lisibles et des vues efficaces, qui apportent aux clients une vision claire de l’état du projet.

Un rapport d’avancement, c’est quoi exactement ?

Vous savez probablement ce qu’est un rapport d’avancement. En revanche, il est fort possible que vous n’en maîtrisiez pas toutes les subtilités ou pire, que vous pensiez que c’est plutôt inutile.

Alors mettons-nous d’accord…

Un rapport d’avancement est un document qui permet de suivre et de communiquer l’état d’un projet, à un moment donné, à différentes parties prenantes. Il fournit une vue d’ensemble des activités réalisées, des tâches accomplies, des résultats obtenus et des problèmes éventuellement rencontrés. Grâce à lui on peut évaluer la progression du projet et prendre des décisions basées sur des informations actualisées.

Un projet de CAO 3D, par exemple pour la conception d’une machine, pourrait inclure les éléments suivants :

  • Description du projet : Le rapport peut commencer par une description détaillée du projet incluant l’objectif du projet, les spécifications requises, les contraintes techniques, les exigences fonctionnelles, et les délais prévus.
  • Étapes de conception : Vue d’ensemble des différentes étapes de conception suivies pour concevoir la machine en utilisant la CAO 3D. Il peut s’agir de la modélisation 3D initiale, la création des assemblages, l’ajout des fonctionnalités spécifiques, l’optimisation des performances, etc.
  • Modèles 3D : Présenter les modèles 3D créés pour la machine à l’aide d’un logiciel de CAO 3D. Ces modèles peuvent montrer la structure de la machine, les composants individuels, les connexions, les mécanismes, etc. Ils servent à visualiser et à valider la conception.
  • Résultats des simulations : Si des simulations ont été effectuées pour évaluer les performances de la machine, les résultats de ces simulations peuvent être inclus dans le rapport d’avancement. Cela peut comprendre des analyses de résistance des matériaux, des simulations de mouvement, des tests de collision, etc.
  • Problèmes rencontrés : Mentionner les problèmes rencontrés tout au long du processus de conception. Ici, on soulèvera les difficultés techniques, les limitations du logiciel de CAO, les contraintes de fabrication, les retards, etc. Les mesures prises pour résoudre ces problèmes peuvent également être mentionné
  • Progression par rapport au plan initial : Le rapport peut fournir une comparaison entre l’état d’avancement réel du projet et le plan initial établi. Cela permet d’évaluer si le projet est en avance, en retard ou conforme au calendrier prévu. Les écarts éventuels peuvent être expliqués et des ajustements peuvent être suggérés.
  • Collaborations et communications : Tracer l’historique des interactions avec les autres membres de l’équipe de conception, les fournisseurs, les partenaires ou les clients. Cela inclut les réunions, les échanges d’informations, les demandes de clarification, etc.
  • Étapes suivantes : Enfin, le rapport d’avancement peut conclure en mettant en évidence les prochaines étapes du projet. Cela peut inclure les tâches restantes, les échéances à venir, les livrables prévus, les tests à effectuer, etc.

Il est toujours possible de simplifier le niveau de détail des rapports, pour ne garder que ce qui est réellement utile.

 

Quelle est l’influence d’un rapport d’avancement sur le déroulement d’un projet ?

Les rapports d’avancement s’intègrent dans le processus global de gestion de projet et leur rôle est essentiel.

Ils sont anticipés lors des phases de planification, complétés pendant les phases d’exécution, ils permettent d’identifier les écarts et prendre des mesures correctives lors des phases de suivi et de contrôle, facilitent la communication entre les parties prenantes et enfin, les informations recueillies aident à réévaluer et ajuster le projet.

Si vous voulez faire de bons rapports d’avancement, vous pouvez assez facilement vous y perdre. Alors comment faire pour rendre ça fluide ?

La gamme de solutions CAO, FAO, PDM et ERP TopSolid

L’aide de la conception 3D collaborative dans les rapports d’avancement

Au cours d’un projet, lors de la phase de conception, vous n’avez pas forcément besoin d’avoir un rendu en temps réel. Vous n’êtes pas arrivé au bout et beaucoup d’éléments peuvent encore varier.

Néanmoins, vous pouvez avoir envie de communiquer le projet en l’état à une personne externe. Par exemple le client, qui peut demander un rapport d’avancement à n’importe quel moment.  Vous devez être capable de proposer un modèle 3D, et vous pouvez le faire de deux façons : soit uniquement le visuel, soit le visuel avec l’arborescence des pièces.

Comment ?

Vous avez trois possibilités :

  • Projeter à l’extérieur le projet dans son état actuel sous la forme d’un 3D qui n’est pas forcément du rendu réaliste. Chez nous, cela s’appelle TopSolid Viewer : on fournit des données, puis l’interlocuteur les charge et voit la même chose que ce qu’on a sur notre poste.
  • Autoriser un utilisateur à se connecter sur un Product Data Manager (PDM). À ce moment il peut voir sa machine à travers une simple interface web, ou un téléphone portable ou une tablette mobile. Concrètement, on lui envoie un lien qui va lui donner un accès.
  • Dernière méthode : envoyer par un email un simple lien. L’utilisateur se connecte ensuite depuis un site web dans lequel on lui a partagé de l’information 3D.

 

Quand faut-il envoyer un rapport d’avancement lors d’un projet CAO 3D ?

Le processus décrit ci-dessus peut intervenir plusieurs fois dans le cycle de conception du produit. L’idée, c’est d’itérer avec le client, qui pourra faire des amendements, des ajustements, des corrections, etc.

L’historique doit permettre de pister toutes ces interactions et c’est là que le PDM prend tout son rôle. Grâce à lui, on sait tout ce qui s’est passé. On sait si on a envoyé un prototype à un client et à quelle date, on connaît sa réponse, puis le traitement qui a été fait suite à cette réponse, etc. Tout est pisté dans l’environnement de gestion.

Une fois au bout de votre projet, émaillé de nombreux échanges, partages, discussions, vous pouvez commencer à faire la revue en réalité virtuelle. C’est toujours itératif, et vous pouvez avoir envie de revenir sur différents choix de conception.

Si vous faites cela « à la main » (revenir sur les étapes de conception) la complexité peut devenir ingérable. Il vaut mieux que le système soit suffisamment intelligent pour tout reconstruire seul, sinon vous pouvez y passer un temps monstrueux.

 

La clé de voûte d’un bon rapport d’avancement : le Product Data Manager

Vous l’avez peut-être déjà constaté dans vos projets, chacun et chaque entreprise peut avoir sa propre définition de ce que devrait être un rapport d’avancement. De zéro formalisme (le client ne sait rien, ou au contraire, il dispose d’un accès total en temps réel sans explications) à un document complexe et parfois totalement inutilisable, les variations sont infinies.

Lire aussi Atouts et critères de choix du PDM pour la CFAO

Les techniques de CAO 3D collaboratives, couplées à un Product Data Manager (PDM) efficace, sont la clé. Elles permettent à la fois de gagner du temps et de la simplicité. Elles permettent également de normaliser les échanges, diminuer les risques d’erreurs, capitaliser les savoirs, ou encore sécuriser les données. Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez-nous !

La configuration sur-mesure : pourquoi les PME/PMI doivent-elles s’y mettre ?

La configuration sur-mesure : pourquoi les PME/PMI doivent-elles s’y mettre ?

Dans l’imaginaire collectif, une production rentable est synonyme d’uniformisation, dans l’objectif de concevoir en masse et à moindres coûts. Mais la production constante de nouveautés et la volonté d’hyperpersonnalisation des consommateurs viennent remettre en question cette idée. Pour faire face à ces enjeux, la configuration sur mesure fait office de solution particulièrement intéressante pour les petites et moyennes structures industrielles. Elle permet en effet de conjuguer l’envie de personnalisation des consommateurs et la viabilité économique de l’entreprise. Explications.

La configuration sur mesure, une composante de l’ingénierie digitale

Avec l’intégration de technologies numériques et l’automatisation des systèmes d’informations, l’ingénierie 4.0 (ou digitale) a révolutionné les processus de conception, fabrication et production d’objets. Dans ce contexte, la configuration-sur-mesure émerge : l’outil digital permet aux utilisateurs d’ultra personnaliser leurs produits en jouant sur une multiplicité de combinaisons possibles. Son produit étant simulé en 3D, le client a alors tout le loisir d’ajuster les modifications afin d’arriver au résultat espéré. Dans un environnement productif de plus en plus concurrentiel, la configuration sur mesure permet de répondre à la montée en puissance de la mass customisation – l’envie de personnalisation des consommateurs – et à l’enjeu de flexibilité de la production en résultant. Désormais, les industries souhaitant rester compétitives doivent être capables de modifier rapidement leurs lignes de fabrication sans perdre en qualité. Pour cela, il leur est donc essentiel d’investir dans un outil performant permettant de multiplier les configurations.  

 

La configuration sur mesure : un outil bénéfique à tous les niveaux de l’entreprise

Si la configuration sur mesure est avant tout perçue comme un outil d’aide à la vente, cette technique ne bénéficie pas qu’au service commercial – notamment dans le secteur industriel. La configuration sur mesure offre de multiples avantages à différents niveaux de l’entreprise. Elle permet de :

  • Décupler la fiabilité de la production: la visualisation 3D et le détail des modifications effectuées par le bureau d’études lors de la conception permettent de lancer la fabrication de produits complexes sans risques d’erreur.
  • Proposer des prix cohérents, mis à jour en temps réel : la configuration sur mesure offre la possibilité de voir l’avancée du prix en temps réel en fonction des modifications apportées lors de la conception. C’est l’assurance de vendre et de produire au juste prix sans rogner sur les marges.
  • Toucher un marché plus large: la multiplicité des configurations possibles permet de séduire une plus grande diversité d’acheteurs. De plus, la configuration sur mesure crée un lien continu entre la conception et le produit final, ce qui permet de lancer en fabrication uniquement les produits qui vont être vendus.
  • Favoriser l’autonomie des clients : décisionnaire du début jusqu’à la fin de la conception, l’utilisateur a ainsi la possibilité d’ultra-personnaliser son produit. La configuration sur mesure réduit ainsi les allers-retours entre le client et le bureau d’études et offre un gain de temps important à ce dernier.
  • Améliorer la compétitivité de tout type d’entreprise: grandes entreprises, PME, PMI… Cette technologie est accessible à tout type d’industrie. En effet, dans le cadre d’une stratégie de production en masse, les petites structures peuvent avoir du mal à rester rentables si elles n’ont pas la possibilité de se développer pour produire plus. Grâce à la configuration-sur-mesure, les TPE, PME et PMI ont ainsi la possibilité d’augmenter leur rentabilité, sans avoir à décupler leur production.

La gamme de solutions CAO, FAO, PDM et ERP TopSolid

Top Solid’Design : la configuration sur mesure au service des industriels

TopSolid’Design est un logiciel de CAO conçu pour optimiser le travail du bureau d’études à toutes les étapes de la conception. Dans cette optique, le module Configuration des produits permet aux concepteurs de proposer de la configuration sur mesure.

Le processus est relativement simple : les pièces sont configurées à partir du modèle 3D et de ses variantes possibles, le tout conçu à partir des données natives du bureau d’études. En quelques clics, l’utilisateur a ainsi la possibilité de modifier le visu du produit en fonction de ses envies et de son budget, qui s’adapte en temps réel. A la fin de la configuration, le bureau d’études reprend le fichier reconfiguré, y apporte les modifications requises par l’utilisateur et l’envoie en fabrication. Autant adapté en B2B (pour les clients industriels, revendeurs ou partenaires) qu’en B2C, ce module répond à la demande de personnalisation de l’utilisateur tout en optimisant le travail du bureau d’études.

Solution modulaire, TopSolid’Design interagit avec la plupart des formats du marché – y compris avec notre logiciel de fabrication TopSolid’Cam – sans pertes de données. Traçabilité de l’ensemble du processus de conception, gain de temps pour le bureau d’études grâce au travail collaboratif et au partage natif à la CAO, sécurité des données et des accès… Notre solution flexible s’adapte aux besoins des concepteurs dans le domaine de l’industrie.

Alors, prêts à essayer le logiciel TopSolid’Design ? Contactez-nous !

La CFAO au service de la rectification sur vos machines-outils

La CFAO au service de la rectification sur vos machines-outils

Plus précise que les opérations d’usinage traditionnelles, la rectification permet de modifier très finement la surface d’un produit grâce à la technique d’usinage par abrasion. Néanmoins, investir dans les machines-outils adéquates pour réaliser ce type d’opération représente un coût important pour les entreprises, d’autant plus que leur pilotage peut s’avérer difficile pour les programmeurs. Pour faciliter la rectification sur ces machines-outils, certains fabricants explorent ainsi les possibilités offertes par la CFAO. Mais quels avantages supplémentaires celle-ci présente-t-elle pour cette activité ? Explications.

Les enjeux de la rectification

En utilisant le principe d’usinage par abrasion, la rectification permet d’obtenir une précision dimensionnelle particulièrement élevée sur les pièces, ce qui permet de mieux répondre aux exigences du client. En effet, alors que les opérations d’usinage traditionnelles procèdent par enlèvement de copeaux, la rectification agit plus finement sur la matière en polissant celle-ci à l’aide d’une meule.

Si l’efficacité de cette méthode n’est pas remise en doute, elle constitue néanmoins un investissement important pour les entreprises : celles-ci doivent en effet acheter les machines-outils adaptées à ces opérations. Tout l’enjeu des organisations consiste donc à mesurer la rentabilité des solutions proposées. Pour accomplir des opérations de rectification elles ont alors la possibilité :

  • Soit d’investir dans des rectifieuses, des machines dédiées exclusivement à la rectification.
  • Soit d’investir dans des machines combinées permettant de faire à la fois de l’usinage et de la rectification.

 

Les limites d’une programmation « au pied de la machine »

Dans le premier cas de figure évoqué ci-dessus, c’est-à-dire sans solution qui combine usinage et rectification, les entreprises sont contraintes de s’adapter pour créer des programmes de rectification au pied de la machine.

Les inconvénients d’une telle approche sont multiples :

  • Manque de flexibilité: contrairement à la FAO, cette programmation ne permet pas de faire la simulation de la machine et les contrôles de collision.
  • Coût important: ce type de programmation nécessite d’acheter une rectifieuse en plus de la machine-outil, auxquels s’ajoutent des coûts de manutention.
  • Risques d’imprécisions: Le déplacement des pièces de la machine-outil à la rectifieuse amplifie les risques d’imprécision.
  • Temps de programmation conséquent : la programmation des machines-outils et le réglage de la rectifieuse peuvent s’avérer chronophages pour les équipes en charge.

Un rapport d’avancement, c’est quoi exactement ?

Vous savez probablement ce qu’est un rapport d’avancement. En revanche, il est fort possible que vous n’en maîtrisiez pas toutes les subtilités ou pire, que vous pensiez que c’est plutôt inutile.

Alors mettons-nous d’accord…

Un rapport d’avancement est un document qui permet de suivre et de communiquer l’état d’un projet, à un moment donné, à différentes parties prenantes. Il fournit une vue d’ensemble des activités réalisées, des tâches accomplies, des résultats obtenus et des problèmes éventuellement rencontrés. Grâce à lui on peut évaluer la progression du projet et prendre des décisions basées sur des informations actualisées.

Un projet de CAO 3D, par exemple pour la conception d’une machine, pourrait inclure les éléments suivants :

  • Description du projet : Le rapport peut commencer par une description détaillée du projet incluant l’objectif du projet, les spécifications requises, les contraintes techniques, les exigences fonctionnelles, et les délais prévus.
  • Étapes de conception : Vue d’ensemble des différentes étapes de conception suivies pour concevoir la machine en utilisant la CAO 3D. Il peut s’agir de la modélisation 3D initiale, la création des assemblages, l’ajout des fonctionnalités spécifiques, l’optimisation des performances, etc.
  • Modèles 3D : Présenter les modèles 3D créés pour la machine à l’aide d’un logiciel de CAO 3D. Ces modèles peuvent montrer la structure de la machine, les composants individuels, les connexions, les mécanismes, etc. Ils servent à visualiser et à valider la conception.
  • Résultats des simulations : Si des simulations ont été effectuées pour évaluer les performances de la machine, les résultats de ces simulations peuvent être inclus dans le rapport d’avancement. Cela peut comprendre des analyses de résistance des matériaux, des simulations de mouvement, des tests de collision, etc.
  • Problèmes rencontrés : Mentionner les problèmes rencontrés tout au long du processus de conception. Ici, on soulèvera les difficultés techniques, les limitations du logiciel de CAO, les contraintes de fabrication, les retards, etc. Les mesures prises pour résoudre ces problèmes peuvent également être mentionné
  • Progression par rapport au plan initial : Le rapport peut fournir une comparaison entre l’état d’avancement réel du projet et le plan initial établi. Cela permet d’évaluer si le projet est en avance, en retard ou conforme au calendrier prévu. Les écarts éventuels peuvent être expliqués et des ajustements peuvent être suggérés.
  • Collaborations et communications : Tracer l’historique des interactions avec les autres membres de l’équipe de conception, les fournisseurs, les partenaires ou les clients. Cela inclut les réunions, les échanges d’informations, les demandes de clarification, etc.
  • Étapes suivantes : Enfin, le rapport d’avancement peut conclure en mettant en évidence les prochaines étapes du projet. Cela peut inclure les tâches restantes, les échéances à venir, les livrables prévus, les tests à effectuer, etc.

Il est toujours possible de simplifier le niveau de détail des rapports, pour ne garder que ce qui est réellement utile.

 

Quelle est l’influence d’un rapport d’avancement sur le déroulement d’un projet ?

Les rapports d’avancement s’intègrent dans le processus global de gestion de projet et leur rôle est essentiel.

Ils sont anticipés lors des phases de planification, complétés pendant les phases d’exécution, ils permettent d’identifier les écarts et prendre des mesures correctives lors des phases de suivi et de contrôle, facilitent la communication entre les parties prenantes et enfin, les informations recueillies aident à réévaluer et ajuster le projet.

Si vous voulez faire de bons rapports d’avancement, vous pouvez assez facilement vous y perdre. Alors comment faire pour rendre ça fluide ?

 

 

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La CFAO comme moyen d’optimiser la rectification sur les machines-outils

Devant ces limites, certains fabricants ont développé des machines combinées, qui grâce à la CFAO, permettent :

  • D’usiner une pièce en fraisage et tournage dans un premier temps ;
  • De rectifier cette même pièce dans un second temps.

Comme les manipulations s’effectuent sur la même machine, la pièce n’a ainsi pas besoin d’être déplacée. Ce mode de fonctionnement permet donc d’éliminer les erreurs de repositionnement dues au déplacement de la pièce du centre d’usinage à la rectifieuse et offre un précieux gain de temps en termes de manutention.

 

Point d’attention : la nécessité d’avoir un outil CFAO dédié à la rectification

Pour les entreprises équipées de machines combinant usinage et rectification, le choix d’un logiciel de CFAO adapté est donc crucial. En effet, toutes les solutions de CFAO ne contiennent pas des opérations de rectifications dédiées : certaines d’entre elles proposent ainsi de détourner des opérations d’usinage en opérations de rectification. Procédé peu pertinent, car la méthode pour piloter une meule en rectification diffère beaucoup de celle utilisée en fraisage ou en tournage.

Ce type de solution n’apporte donc aucune plus-value au programmeur, contraint d’ajuster manuellement le code ISO afin d’obtenir le bon état de surface sur sa pièce. C’est pourquoi, il est fortement conseillé aux entreprises d’opter pour un outil CFAO qui a pensé l’opération de rectification de manière spécifique.

 

TopSolid’Cam : un logiciel conçu pour optimiser la rectification sur les machines-outils

Logiciel de CFAO complet et performant, TopSolid’Cam accompagne et facilite la conception des programmeurs grâce à :

  • Une intégration facile et complète de la solution ;
  • Une interopérabilité avec tous les logiciels de CAO ;
  • Un environnement de travail en gestion libre ;
  • Une optimisation de la production grâce à un processus de duplication ;
  • Différents niveaux de simulation ;
  • Une gestion et un suivi des modifications ;
  • Une réponse à des besoins variés en fraisage et usinage.

Plus spécifiquement, la fonctionnalité « rectification sur centre d’usinage » proposée par TopSolid’Cam permet aux clients équipés d’une machine-outil combinant usinage et rectification une gestion optimisée de cette opération. En effet, la solution offre la possibilité de programmer la rectification directement depuis le logiciel, avant même que la pièce ne soit montée sur la machine. Conçue spécifiquement pour faire de la rectification sur machine, cette fonctionnalité s’adapte aux caractéristiques de chaque opération et facilite le travail du programmeur.

Vous souhaitez en savoir plus sur la fonctionnalité « rectification sur centre d’usinage » proposé par TopSolid ? Faites une demande de démonstration auprès de notre équipe.

Facturation électronique : se préparer dès maintenant

Facturation électronique : se préparer dès maintenant

La réforme de la facturation électronique

 

L’ordonnance n° 2021-1190 du 15 septembre 2021 de la loi de finance 2020 a confirmé le calendrier de généralisation de la facturation électronique.

• L’article 153 indique que « les factures des transactions entre assujettis à la taxe sur la valeur ajoutée sont émises
sous forme électronique et les données y figurant sont transmises à l’administration pour leur exploitation à des fins, notamment, de modernisation de la collecte et des modalités de contrôle de la taxe sur la valeur ajoutée ».

• La mise en place du Contrôle des Transactions en Continu (CTC) a pour objectif de lutter contre la fraude à la TVA, d’apporter des gains de productivité grâce à la dématérialisation et de simplifier à terme les obligations déclaratives de TVA.

• Il rend obligatoire l’échange électronique de factures pour les transactions domestiques entre assujettis à la TVA (e-invoicing B2B [Business-to-Business]) complété par l’obligation de transmission de données complémentaires à l’administration pour les transactions interentreprises non domestiques appelé B2B International, et entre les entreprises et le consommateur final en France appelé B2C (Business-to-Consumer), ainsi qu’avec les données de paiement des transactions. La transmission de ces données est appelée e-reporting.

Le calendrier de la réforme

Le dispositif se déploiera progressivement jusqu’en 2026.

 

• Dès le 1er juillet 2024, toute entreprise assujettie à la TVA sera dans l’obligation d’utiliser le dispositif dès lors
que le fournisseur sera dans l’obligation d’émettre des factures électroniques.

• L’obligation pour les émissions de factures est échelonnée de juillet 2024 à janvier 2026.

Qu’entend-on par facture électronique ?

 

• Conformément à l’article 289 bis du Code général des impôts, une facture électronique est une facture émise, transmise et reçue sous une forme dématérialisée et qui comporte nécessairement un socle minimum de données sous forme structurée, ce qui la différencie des factures « papier » ou du PDF ordinaire.

• Une facture scannée, imprimée puis numérisée avant envoi ou générée en PDF ordinaire avec envoi par mail ne sera pas considérée comme facture électronique au sens du dispositif.

• Une facture électronique est une facture qui est émise, transmise et reçue dans un format électronique structuré permettant son traitement automatique. Elle doit contenir les mentions obligatoires et garantir l’intégrité du contenu (la facture ne doit pas être modifiée), l’authenticité de l’origine (garantir l’identité de l’émetteur) et la lisibilité (le fichier doit être lisible par tous).

• Conformément au Décret n°22-1299 du 7 octobre 2022 , rappel des nouvelles mentions obligatoires devant être présentes sur les factures :

• Le numéro SIREN (ou SIRET) du client (s’il est établi en France).
• L’adresse de livraison si elle est différente de l’adresse de facturation et de l’adresse du client.
• La nature de l’opération qui donne lieu à la création de la facture (vente de biens, vente de prestations de service ou opérations mixtes)
• Mention “Option pour le paiement de la TVA d’après les débits” lorsque l’entreprise assujettie a opté pour le paiement de la taxe d’après les débits.
• Le Portail Public de Facturation (PPF), qui centralisera à terme la totalité des transactions de facturation en France, accepte trois formats structurés : UBL (xml), CII (xml) et Factur-X (mixte PDF/A3-xml)

Le dispositif

 

Les transactions s’effectueront via l’écosystème du portail public de facturation appelé « Schéma en Y » :

 

• Pour assurer l’adressage des factures aux bons destinataires, un annuaire des entreprises est centralisé et accessible par le Portail public de facturation (PPF) ou les Plateformes de Dématérialisation Partenaires (PDP).

• Pour s’assurer de recevoir les factures (obligation au 1er juillet 2024), toutes les entreprises assujetties doivent s’identifier dans l’annuaire.

• Chaque entreprise devra également choisir au moins une plateforme (PDP ou PPF) avant juillet 2024.

• Attention, ne pas se précipiter dans le choix d’une plateforme PDP. À ce jour aucune plateforme privée n’est immatriculée. La liste des PDP immatriculées devrait être communiquée dans le courant du dernier trimestre 2023.

• Il est important d’analyser et d’identifier ses besoins, de s’informer sur le périmètre des prestations proposées par le PPF ou les PDP, et de s’assurer que ces services seront bien en adéquation avec les besoins.

• Les services du Portail Public de facturation gratuits sont détaillés sur le lien suivant : Services-du-Portail-Public-deFacturation

• Dans la situation de flux EDI déjà en place et opérationnels, le dispositif n’impose pas de remettre en cause la
solution en place. Certains prestataires de service EDI se positionnent comme candidat PDP, d’autres comme OD.
Il faut simplement s’assurer que le prestataire EDI, s’il se positionne comme OD, assurera la connexion avec la plateforme que vous choisirez.

La facturation électronique avec TopSolid’Erp

 

Topsolid ne se positionne pas comme candidat PDP. Cependant, pour faciliter les transactions de factures au sein de ce nouveau dispositif, un nouveau module « TopSolid’Erp / Facturx » permettra de réceptionner ou d’émettre les factures au format Factur-X qui est l’un des trois formats du socle accepté par le PPF et que les PDP doivent être en mesure de gérer également.

Factur-X est un format de facture électronique basé sur les standards franco-allemands en respect de la norme sémantique européenne EN16931 publiée par le Comité Européen de Normalisation (CEN) en 2017.

Avantage de Factur-X : c’est un format dit « hybride » ou « mixte » qui se compose à la fois du format lisible de la facture (fichier PDF/A3) contenant toutes les données utiles à son traitement, et des données de facture en fichier structuré (xml) permettant aux systèmes d’information de procéder à une intégration automatisée.

Le choix du PPF comme plateforme est possible, néanmoins nous vous conseillons de passer par un OD. La liaison entre « TopSolid’Erp / Facturx » et la solution OD devra être validée par nos services techniques puisque dépendante des outils proposés par le prestataire. Il en est de même pour les connexions PDP. Nous serons en mesure de réaliser des tests de connexion avec certaines PDP lorsque la liste des immatriculations sera diffusée.

Le nouveau module « Facturx » de TopSolid’Erp se positionne comme un « sas » de réception/émission de factures entre la base de données de TopSolid’Erp et la plateforme (OD/PPF – OD/PDP – PDP). Il sera compatible avec les versions 5.12 et 5.16 de TopSolid’Erp.

Le travail de préparation pour les entreprises

 

• La transition vers la facture électronique va sans doute engager des changements d’habitudes et des actions à prévoir pour être prêt lorsque vous serez concernés par les obligations du dispositif.

• Voici quelques conseils sur les actions à mener :

• Vérifier les informations des fiches tiers clients et fournisseurs (Adresses, SIREN, SIRET, TVA intracommunautaire,
IBAN, …).

• Vérifier la conformité des factures au regard des informations obligatoires (https://www.economie.gouv.fr/entreprises/factures-mentions-obligatoires).

• Vérifier la concordance de votre plan comptable avec les tiers et articles de TopSolid’Erp.

• Auditer les processus de facturations, achats et ventes et identifier les éventuelles nouvelles pratiques
à mettre en place (export, B2C, autoliquidation, factures rectificatives, acomptes, avoirs, …).

• Ce travail d’audit interne est très important. Il permet d’identifier vos besoins par rapport aux règles des cas d’usages
standardisés et orienter sur le choix de la plateforme en fonction des prestations proposées.

• Consulter votre expert-comptable.

S’informer, rester en veille sur les parutions officielles de l’administration fiscale.

https://www.economie.gouv.fr/cedef/facturation-electronique-entreprises
https://fnfe-mpe.org/reforme-2024-2026/
https://www.impots.gouv.fr/…donnees-de-facture-a-transmettre-sous-format-structure (pdf)
https://www.impots.gouv.fr/…donnees-de-transactions-a-transmettre-sous-format-structure (pdf)
https://www.impots.gouv.fr/…FAQ – Facturation électronique (pdf)

Mise en œuvre

 

Le coût de la mise en place de Factur-X va varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que vos besoins sur le niveau d’automatisation souhaité, si EDI ou pas, vos ressources disponibles et les prestataires de services que vous choisissez. Par exemple les tarifs des OD et PDP dépendront des fonctionnalités que vous proposeront ces acteurs. Cependant vous pouvez éventuellement recourir au service du PPF qui est gratuit, mais en contrepartie, vous ne bénéficierez que d’un service minimum.

Vous devrez également préparer votre système d’information pour respecter les exigences Factur-X, et il important de sensibiliser et de former votre personnel sur la facturation électronique.